lundi 20 décembre 2010

Bonnes fêtes de fin d'année 2010 (pour ceux qui veulent).

Et une meilleure année 2011, assurément.

dimanche 19 décembre 2010

Du nouveau à la bibliothèque universitaire de droit comme à celle de l'UPEC

De nouveaux postes de consultation, l'obligation de saisir un code et un mot de passe pour activer le poste, une ouverture de la bibliothèque le samedi de 10 heures à 17 heures : ce sont beaucoup de changements.
L'ouverture du samedi était demandée et certainement face à la saturation des grandes bibliothèques parisiennes, il s'agissait pour l'UPEC de Créteil de donner plus de marges d'accès aux étudiants.
Des postes à accès contrôlé permettent d'éviter des intrusions nombreuses et difficilement contrôlables dans la bibliothèque dans le seul but de "surfer".
Y compris les non étudiants y ont accès gratuitement après inscription préalable (pièce d'identité, photographie, justificatif de domicile récent).
Que d'évolutions appréciables.

vendredi 17 décembre 2010

Pas très bavards ces candidats 2011.

Du remue-ménage et du remue-méninges : quoi de mieux en cette fin de semaine de Noël ?

jeudi 9 décembre 2010

Neigeux, complexe, avec des effets juridiques.

Tout pour un juriste cette météorologie neigeuse avec cette pluie de neige ce mercredi 08 décembre 2010 : plus de 10 centimètres de neige début décembre, on devrait s'en souvenir, notamment en droit de obligations, en droit du travail, en droit de l'urbanisme, en droit public... en droit.

mardi 7 décembre 2010

Des sujets de droits fondamentaux du CRFPA 2010 à relater ?

Bonne idée que de soumettre des sujets entendus en matière de droits fondamentaux.
C'est une source de réflexions inépuisable bien au-delà des textes légaux et des éventuelles décisions de jurisprudence.
Raison pour laquelle ces droits deviennent dangereux dans un monde plus difficile où leur application concrète risque de hiérarchiser entre eux des droits, qui fondamentaux, devraient se situer tous sur un même barreau d'une échelle, le plus haut. La Cour de Strasbourg filtre elle-même, ne l'oublions pas !
.
(NDLR : Merci au commentaire anonyme déposé le mercredi 08 décembre 2010 à 11 heures 38.
Ce commentaire donne une information sommaire sur quelques sujets posés, et qui vous est livré sans devoir passer par la "case" commentaires :
"
j'ai entendu plusieurs sujets comme:
- la motivation des décisions de justice
- peut-on qualifier publiquement le président de la république de voyou ?
- vie privée et licenciement, à l'aulne de la jurisprudence sur les entreprises de tendance
et encore bien d'autres... 
"
Bravo si vous avez été un public attentif et avez capté ces sujets et bien d'autres, leur libellé laissant penser de façon brute que le style des sujets aurait un peu changé et serait plus ouvert à la discussion.
Encore des précisions viendraient-elles démentir ou confirmer cette idée, qui ne reflète pas l'attitude prise ou à prendre de tels ou tels examinateurs du jours.
Merci pour tout le monde pour cette information).

Cette consultation des copies, cela a donné quoi que ne sachaient déjà les candidats sur leurs prestations ?

La consultation d'une copie d'examen du passé présente-t-elle un véritable intérêt or les questions juridiques de contentieux potentiel contre l'examen ?
Il ne s'agit pas d'une provocation et il revient aux candidats de le dire.

Un point qui semble avoir échappé à certains commentateurs, encore faut-il procéder à sa vérification :

les examinateurs du jour à l'oral d'exposé-discussion, avec eux, n'ont qu'une photocopie de la seule première page du dossier d'inscription cartonné d'après ce qui a pu être vu dans les salles d'examen par le passé.
Cette première page ne mentionne pas les matières choisies, ni pour les écrits, ni pour les oraux.
En revanche, le jury (dont on ignore la composition - d'ailleurs variable et opaque) qui délibère (le seul véritable "jury" qui mérite ce nom est celui qui délibère, qui signe la liste) a nécessairement tout le dossier du candidat - délibération réalisée dans un lieu et à un horaire tenus secrets, puisqu'il peut éventuellement "ajuster" des notes, et théoriquement dans un sens toujours favorable.
Tout cela reste à vérifier, et bon courage à qui saura trouver la vérité - relative, pour un examen qui ressemble à un concours, mais n'en est pas un.
À cet égard comme à bien d'autres, il en va de même pour un concours, mise à part pour le respect des règles  qui est peut-être, ce qui là encore est à démontrer, plus contradictoire.

lundi 6 décembre 2010

2010-12-06 : du remu-méninges sur le site de l'IEJ de l'UPEC...

Comme on peut le voir sur cette page, le site de l'IEJ de l'UPEC à Créteil (ex-Paris XII) est en pleine effervescence ce lundi 06 décembre 2010.
Des sujets, oui, pour la première fois des sujets d'examen des écrits 2010, apparaissent et disparaissent.
Au moins un reste accessible.
C'est peu compréhensible mise à part sur un point : le report des frais d'impression de sujets sur les candidats eux-mêmes, ce qui fait écho à une déclaration récente visant à supprimer "de moitié" les éditions papier "par les administrations".
Seuls les candidats sur place doivent savoir ce qu'il se passe... et il semble y en a peu de "gentils".
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Il est clair que la facilité apportée par la dématérialisation est largement handicapée par le manque de contacts humains, ce qui peut-être n'a pas facilité la situation de certains candidats au CRFPA 2010...
Nous sommes encore dans un univers d'êtres humains et bien que le décret du 1er octobre 2010 organise la pauvreté de la justice, c'est bien dans des ressources humaines qu'il nous revient de rechercher l'intelligence novatrice.
Tout cela, ce n'est que pour bavarder, en apparences, car derrière émergent des idées concrètes sur une situation périlleuse et actuelle.

Merci aux commentateurs anonymes de la fin de semaine 49 de 2010.

Merci pour les commentaires anonymes déposés les dimanche 05 et lundi 06 décembre dans la nuit sous le billet intitulé "Analyse sommaire des résultats d'admission du CRFPA 2010 de l'UPEC de Créteil" publié le 04 décembre 2010.
Il semble y avoir une passe d'armes entre commentateurs sur une question qui ne semble pas si claire. 
Au surplus, des commentaires lacunaires viennent se répéter. 
Ce cybercarnet n'est pas un "défouloir" et ne vise pas à ce que des lecteurs-commentateurs en insultent d'autres sous couvert d'anonymat.
Si l'aigreur est compréhensible pour certains, il convient de rester mesuré lorsqu'on prétend DÉFENDRE
Il ne s'agit pas de nourrir des prétextes entre candidats et ex-candidats, mais par exemple, de donner, car il y a tout de même dû avoir du public aux oraux publics, des cas concrets pour ces témoins, de difficultés particulières rencontrées aux oraux publics.
Les notes incroyablement basses sont inédites à cet oral public depuis des années tandis que les notes particulièrement hautes sont très rares cette année. 
Était-ce la difficulté des sujets, une exigence plus forte des examinateurs, une préparation globalement moins bonne des candidats, autant de questions auxquelles ce cybercarnet ne peut pas répondre.
Seul le public détient une part de la réponse, et qu'il peut dévoiler en toute objectivité sans utiliser d'invectives inutiles sur un cybercarnet qui n'est pas un forum de discussion.
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(NDLR : Merci au commentaire anonyme déposé le 06 décembre 2010 à 15 heures 21.
La réponse à la question est simple : NON.
Encore faut-il relire la question, sachant que les résultats sont publics par voie d'affichage, comme le texte réglementaire organisant l'examen le prévoit.
Ce cybercarnet n'a pas vocation à donner des noms.
Ce sera d'ailleurs probablement le dernière fois qu'on y lira un autre commentaire visant une matière et visant un enseignant sous la première lettre de son nom de famille, ce quel que soit l'intérêt du commentaire par ailleurs.
Il est possible de parler des matières, en terme mesurés et à propos, mais certainement pas de citer le nom des enseignants, en aucune manière.)
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(NDLR2 : Merci au commentaire anonyme déposé le mardi 07 décembre 2010 à 18 heures 38.
Ce commentaire est libellé de la façon suivante :
"
Que pensez-vous du sujet suivant, sur lequel l'un des candidats est tombé au grand oral: "La Cour de cassation est-elle soumise aux droits fondamentaux ?" 
"
Incontestablement, c'est un sujet merveilleux, éblouissant, et des conseils donnés ici disaient d'aller suivre les conférences de la Cour de cassation, pour lesquelles il est assez facile de s'inscrire en ligne sur son site, permettaient d'argumenter. Plus une seule conférence n'est épargnée par ce droit européen qui immobilise les hauts magistrats, selon eux, les dépouillant de leurs pouvoirs sous les fourches caudines de la Cour de Strasbourg. 
Pour information, un colloque a lieu ce vendredi 10 décembre 2010 sur les "Rencontres de procédure civile". Les inscriptions sont certainement terminées.
De façon générale, les magistrats sont des orateurs aussi brillants qu'ils sont anti-européens dans leur discours. Leur anti-européanisme "primaire" n'est pas celui des avocats.
L'antagonisme, la polémique, vus par le futur avocat est incontestable, et il devait certainement se livrer, au travers d'une jurisprudence européenne qui depuis des années donne des coups de pieds au ... aux magistrats des hautes juridictions, à rechercher de façon critique comment la Cour de cassation tente de s'en protéger par des subterfuges : notamment en visant les textes fondamentaux européens pour mieux les contourner tout en disant : "bien, vous voyez, nous avons visé le texte européen et nous y conformons". Commentaire spécieux et inconsistant.
La place des droits fondamentaux doit être celle d'un parapluie sous lequel aucune goutte ne passe. Nous en sommes loin, et même du côté de la Cour de Strasbourg, qui, il faut en être conscient, sait également "éliminer" plutôt que de rétablir un droit.)
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(NDLR3 : Merci au commentaire anonyme déposé le mardi 07 décembre 2010 à 22 heures 38.
Vous avez parfaitement raison, mais hors les juridictions d'exception, cela intéresse qui ?
La Cour de cassation apprécie très modérément d'être le juge d'exception de "petits" juges de proximité. Les autres magistrats lorgnent en permanence sur ce que disent les juridictions d'exception, ce notamment afin de prospérer dans leur carrière, sauf exception - et nous en connaissons une à l'UPEC, aujourd'hui à la 2ème chambre civile, par exemple, examinateur, et probablement encore pour le CRFPA 2010.
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Tiens, les magistrats seraient des fonctionnaires comme les autres qui nourrissent une carrière. Pas tous.
Les premiers sont des gens sérieux qui argumentent leurs décisions de faits exact et d'un droit lu de la façon la plus objective qui soit. Les seconds n'espèrent plus rien, sauf, comme tous les fonctionnaires, de parvenir à la retraite en bonne santé.
Un point commun pour tous ou quasiment : peu importe ce que deviennent leurs décisions et les justiciables, concernés. Peut-être si on raisonnait en commençant par là également pour les "petits" justiciables, des décisions plus justes leur seraient rendues.
On ne digresse pas tellement du commentaire et on revient à l'ampleur du sujet, incontestablement fondamentale).

samedi 4 décembre 2010

CRFPA 2010 : consultation des copies - très rapide - le mardi 07 décembre à 12 heures.

Un affichage est réalisé afin de proposer aux candidats au CRFPA 2010 de l'UPEC de Créteil (ex-Paris XII) de s'inscrire afin de consulter leurs copies le mardi 07 décembre 2010 à 12 heures.
Cette consultation ne vise pas à commenter les copies par leur notateur.
Les notateurs sont en général absents à cette occasion.
La consultation ne vise qu'à constater de visu sa note et des annotations de correction, rien de plus.
Cette consultation peut être envisagée :
- soit par l'inscription sur la liste vierge proposée et affichée à l'extérieur du secrétariat de l'IEJ,
- soit par courriel, sur le courriel habituel de l'IEJ de l'UPEC.

Analyse sommaire des résultats d'admission du CRFPA 2010 de l'UPEC de Créteil

Le terme "ajourné" ne figure pas sur la liste d'admission, mais est simplement remplacé par un "Aj" qui semble vouloir mettre en avant les "ADM" dans une typologie en majuscules. 
Pour les ajournés :
on dénombre cinq admissibles à qui il manque moins de 1,5 point, et concrètement, un admissible à qui il manque 0,5 point, deux admissibles à qui il manque 1 point, deux admissibles à qui il manque 1,25 point.
De façon générale, et à défaut d'analyse plus fine pour découvrir si le ratio est identique pour les admis, les dispenses ont été peu utilisées par ces candidats.
Pour les admis :
on dénombre 14 mentions assez bien, les autres étant passables. 
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L'oral d'exposé-discussion n'a donné lieu qu'à 32 notes égales ou au-dessus de la moyenne dont peu de notes exceptionnelles, mais tout de même un incroyable 28,5 sur 30, probablement largement mérité et d'ailleurs récompensé. Aucun ajourné n'a obtenu la moyenne à cette épreuve, et certains d'entre eux ont même des notes incroyablement basses tandis qu'ils ne sont globalement pas loin de l'admission.
Contrairement à des constats effectués pour les examens passés, cette année, il y a une concordance entre l'oral d'exposé-discussion avec les examinateurs et le résultat d'admission, ce qui laisserait penser que cette épreuve a été largement sous-estimée dans le gain potentiel qu'il devait procurer.
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Lors de l'affichage du tableau d'admissibilité, certains candidats et "commentateurs" des tableaux voyaient l'affaire faire sur la simple "habitude". Ils sont aujourd'hui certainement en partie démentis.
Les "habitudes" sont faites pour les "vieux", et certainement pas lorsqu'on a tout à gagner à ne pas sombrer dans ses sirènes reposantes. Même avec beaucoup de prudence et à défaut de s'accoutumer aux habitudes, il apparaît concrètement que l'affaire n'est jamais faite.
Peut-être ces propos ne visaient-ils qu'à rassurer pour mieux éliminer l'adversaire dans un contexte professionnel extrêmement difficile et dont il a certainement été question lors des oraux d'exposé-discussion avec les examinateurs, question très actuelle, si l'on écarte nombre de réformes qui ne verront probablement jamais le jour dans la décennie en cours, notamment compte tenu d'un budget de la justice qui demeure insuffisant dans un contexte budgétaire préoccupant.

vendredi 3 décembre 2010

CRFPA 2010 - UPEC de Créteil : vendredi 03 décembre 2010 - résultats d'admission.

56 candidats étaient admissibles.
Des "habitudes" semblent concrètement être contredites : 44 admis.
Il semble convenable de revenir à certaines réalités qui dépassent largement le cadre du CRFPA de l'IEJ de l'UPEC de Créteil.
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(NDLR : Merci au commentaire anonyme déposé le samedi 04 décembre 2010 à 17 heures 53.
Il convient de se rapporter aux résultats des précédentes années et du discours de candidats "confiants" dans des oraux qui n'élimineraient pas.
Objectivement, cette année, le ratio admis/admissibles connaît une chute incontestable.
Il convient de vous laisser le soin de contrôler ces propos par vous-mêmes, vos propres calculs).

Pour comprendre le mécanisme de la lecture... soit-disant !


De quoi faire travailler notre hémisphère gauche (texte 2), une petite
gymnastique et on a vite compris le mécanisme...enfin, ceux qui sont
intelligents....
Subject: petit test
lecture = lcetrue
Ce paragraphe, tu l'as certainement lu et réussi à le lire un jour ou
l'autre.
En voici un autre semblable.....vu notre âge qui avance, voyons si notre
mémoire
est encore alerte.
cuocuo
si vuos pvueoz lrie ccei, vuos aevz asusi nu dôrle de cvreeau.
Puveoz-vuos lrie
ceci? Seleuemnt 56 porsnenes sur cnet en snot cpalabes. Je n'en cyoaris
pas mes
yuex que je sios cabaple de cdrpormendre ce que je liasis.
Le povuoir phoémanénl du crveeau huamin. Soeln une rcheerche fitae à
l'Unievristé de Cmabridge, il n'y a pas d'iromtpance sur l'odrre dnas
luqeel les
lerttes snot, la suele cohse imotprante est que la priremère et la
derènire
letrte du mot siot à la bnone palce. La raoisn est que le ceverau hmauin
ne lit
pas les mtos par letrte mias ptuôlt cmome un tuot. Étonannt n'est-ce pas?
Et moi
qui ai tujoours psneé que svaoir élpeer éatit ipomratnt! Si vuos poevuz
le lrie,
fitaes le svirue !!!Combien ont réussi à lire ce paragraphe ?
Si vous avez reussi, augmentez le numérateur 171226 en transférant le
texte

Deuxième texte ci-dessous
Voilà de quoi stimuler ton cerveau avant de commencer une nouvelle
semaine !
Si tu arrives à lire ceci, tu as l'hémisphère gauche bien développé !
Vous
devez le transférer uniquement si vous réussissez à lire ce message. Il
paraît
que si vous y réussissez, cela indique que vous avez l'hémisphère gauche
bien
développé et que vous êtes intelligent. Si vous réussissez à lire les
premiers
mots, le cerveau déchiffre les autres. Amusez-vous !

UN B34U JOUR D'373,
J'37415 5UR L4 PL4G3 37 J3 R3G4RD415 D3UX J3UN35 F1LL35 JOU4N7 D4N5 L3
54BL3.
3LL35 CON57RU15413N7 UN CHÂ734U D3 54BL3, 4V3C 7OUR5, P4554G35 C4CH35 37
PON7-L3V15. 4LOR5 QU'3LL35 73RM1N413N7, UN3 V4GU3 357 4RR1V33 37 4 7OU7
D37RU17,
R3DU154N7 L3 CH4734U 3N UN 745 D3 54BL3 37 D'3CUM3.J'41 CRU QU'4PR35 74N7
D'3FFOR7, L35 F1LL37735 COM3NÇ3R413N7 4 PL3UR3R, M415 4U CON7R41R3 3LL35
COURRUR3N7 5UR L4 PL4G3, R14N7 37 JOU4N7 37 COMM3NÇ3R3N7 4 CON57RU1R3 UN
4U7R3
CHÂ734U. J'41 COMPR15 QU3 J3 V3N415 D'4PPR3NDR3 UN3 GR4ND3 L3ÇON. NOU5
P455ON5
UN3 GR4ND3 P4R713 D3 NO7R3 V13 4 CON57RU1R3 D35 CHO535 M415 LOR5QU3 PLU5
74RD
UN3 V4GU3 L35 D3MOL17, L35 53UL35 CHO535 QU1 R3573N7 5ON7 L'4M1713,
L'4MOUR 37 L
'4FF3C71ON 37 L35 M41N5 D35 G3N5 QU1 5ON7 C4P4BL35 D3 NOU5 F41R3 5OUR1R3.