samedi 22 octobre 2011

Étonnantes statistiques sur ce cybercarnet : il ne manque plus que les adresses IP.

Et c'est une certitude, un hébergeur qui cumule autant de statistiques sur les cybercarnets qu'il héberge dispose de tous les moyens de savoir qui a consulté quoi.
Le système d'exploitation de l'ordinateur utilisé, le navigateur, l'heure, chaque page vue..., c'est entre autres les informations qu'il communique.
En ce moment, ce sont les questions de l'oral d'exposé-discussion avec les examinateurs de 2009 qui sont le plus consultées (oui, il n'y a pas celles de 2010).
À quoi cela sert-il d'élaborer des statistiques sur tout cela ? Voire à qui... ?
Une chose est utile : c'est de donner une vision de l'IEJ de l'UPEC (qui par ailleurs n'en a peut-être pas besoin car la qualité de la plupart de ses candidats n'est plus à démontrer : il y a une certaine exigence qui pèse sur eux et dont la publicité n'est plus à faire).

vendredi 21 octobre 2011

Question anonyme "légitime" ce vendredi 21 octobre 2011 à 11 heures 10, et réponse décevante.

Ce n'est pas le taux qui est en cause, mais certainement bien plus la véritable motivation des candidats.
La "prime" va donc beaucoup plus à ceux qui préparent l'examen dans une officine.
Les candidats de l'UPEC n'avaient pas la réputation d'y recourir largement, mais parmi les admissibles, la plupart y ont recours aujourd'hui : ils sont plus motivés à défaut d'être dotés.
Les temps changent et sans cette forte motivation assortie d'un soutien extérieur, il n'y a guère moyen de rivaliser avec d'autres facultés où cette règle est mise en œuvre depuis très longtemps.
À cet égard, certains articles de ce cybercarnet sont obsolètes.
Les "meilleurs" résultats obtenus ailleurs ne sont pas le fait d'une discrimination quelconque, mais d'une motivation bien plus forte.

Merci, anonyme de 13h59 ce samedi 22 octobre 2011 :
avez-vous lu quelque part un droit à un taux d'admissibilité ?  êtes-vous certain de la permanence du taux évoqué par vos soins ? connaissez-vous les taux de l'IEJ de l'UPEC ces dernières années ? pensez-vous que s'il y a un "animateur", celui-ci est dépourvu de tout moyen pour ne pas troubler votre "doute" ?
En répondant à toutes ces questions, vous vous douterez qu'il y a peut-être quelque chose de pertinent dans votre questionnement, mais peut-être aussi uniquement un doute, et par conséquent des supputations, des allégations téméraires, des propos infondés, un défaut probatoire éclatant... qui enrichi votre réflexion.
Le taux ne fait pas un bon défenseur.
Faites le parallèle avec par exemple le lycée Henri IV (simple exemple d'un taux de réussite inconnu ailleurs).

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Merci, anonyme de 09h24 ce lundi 24 octobre 2011.
Voici intégralement le texte de votre commentaire afin d'en assurer le maximum de lisibilité :
"
Il suffit en réalité de comparer les statistiques publics des IEJ de Paris avec ceux de Créteil pour constater une importante différence.


Paris V http://www.droit.univ-paris5.fr/IEJ/spip.php?article8
Paris I http://www.univ-paris1.fr/ufr/iej0/crfpa/ (ce lien ne fonctionne pas !)
" ... / ...
(NDLR : certains liens ne fonctionnent soit en raison du navigateur utilisé, soit parce qu'il s'agit d'adresse de page dynamique qui change de nom à chaque requête sur le serveur.
Pour solutionner ces deux questions : indiquer le navigateur utilisé et  donner simplement l'adresse de la page statique à partir de laquelle la requête est demandée)
.../... "
Certes, les statistiques ne font pas tout et il n'existe pas de "droit à l'admissibilité" à l'EFB mais il existe une tendance constante à Créteil qu'il est franchement difficile de nier.
Et le fait que les IEJ de Paris ne soient pas coordonnes apparaît comme injuste pour les candidats qui se frottent a des centres réputés difficiles.
Je voudrais juste comprendre ce qui justifie une telle diversité de résultats alors que tous les candidats appartiendront au même barreau. 
"
(NDLR : Maintenant que la question semble claire dans les esprits, sous les réserves indiquées ci-dessus, il ne reste qu'à aller la poser clairement à l'organisation, en l'occurrence à celle de l'IEJ de Créteil (feu Paris 12) aujourd'hui UPEC, afin de savoir si un "gâteau" ne serait pas partagé depuis tellement longtemps que plus personne ne chercherait à comprendre une certaine fatalité. Il n'est pas certain que la réponse puisse être donnée par l'interlocuteur du moment. Il ne sera donc pas très utile d'insister.
Autre point : il convient d'être plus précis -  tous les candidats du CRFPA rattaché à l'EFB (de Paris) et dit autrement tous les candidats admis relevant du ressort de la même cour d'appel de Paris n'appartiendront pas au même barreau, simplement d'une part parce chaque barreau est rattaché à un TGI, et d'autre part parce que chaque candidat heureux au CAPA peut s'inscrire au barreau de son choix. Il y a des échanges de candidats entre les CRFPA avant même l'entrée à l'école, et cela pour de multiples raisons (familiales pour la plupart, etc.)
Ici comme souvent, la prime ne va pas qu'aux meilleurs mais aussi à ceux qui prennent des informations en amont, vous savez ces informations secondaires que personne n'écoute et que personne ne prend en note, sauf ceux qui savent auparavant.)

(NDLR : Merci au commentaire anonyme de ce lundi 24 octobre 2011 à 10h48 d'enfoncer une porte ouverte et pour laquelle aucune réponse ne sera jamais donnée par quiconque y compris pour vous démentir.
Mais vous allez découvrir que c'est toujours comme cela, y compris dans les décisions de justice les plus "claires", qui du coup ne le sont pas véritablement...)

lundi 17 octobre 2011

2011-10-17 à 23h30 : France, 69 lecteurs ce jour, États-Unis, 2 lecteurs, à égalité : Canada, Cameroun, Italie, Lettonie, et enfin Suède : 1 lecteur ce jour.

Étonnant, non ces dénombrements !
Toute la difficulté réside dans le fait de vouloir lire ce qui n'est pas écrit : c'est ce que voudrait entreprendre fallacieusement ce commentaire anonyme déposé le lundi 17 octobre 2011 à 17 heures 16.
Ce n'est pas grave, il faut s'exprimer. La parole ne libère de rien : elle permet iniquement l'expression.
Il n'y avait pourtant rien de pessimiste ni d'affligeant dans le billet du 16 octobre 2011.
L'unique objectif est l'emploi, et de préférence convenablement rémunéré, sans excès ni indigence. 
Il existe tout de même des repères qui véritablement ne sont pas les mêmes pour tous : il y aurait bien une sorte d'atavisme favorable...
Il faut simplement un peu consulter des statistiques largement diffusées dans les médias et qui ont incontestablement un support concret.
Pour le reste, les résultats 2011 seront perçus en leur temps ce qui permettra de disposer d'une observation complémentaire sans parti pris. 
Ne nous trompons pas de sujet et faisons preuve de bonne foi.

dimanche 16 octobre 2011

Ces épreuves du CRFPA 2011 furent-elles prometteuses ?

Oui, le CRFPA ne s'arrête pas à la crise, mais incontestablement doit ralentir avec la crise.
Il ne s'agit pas de fourbir des cabinets de jeunes avocats très mal payés après un cursus de 8 années d'études supérieures.
Les épreuves du CRFPA 2011 doivent répondre aux attentes : 
- dit diplomatiquement : retenir les meilleurs d'un jour en souhaitant qu'ils le confirment par la suite,
- dit sans langue de bois : éliminer.
De la littérature professionnelle récente indique ce que les candidats attendent et ce que l'EFB attend : les attentes convergent sur la qualité, mais sur le plan concret, c'est une peu différent, voire éloigné.