C'était trop beau de retrouver une situation 'normalisée' pour la préparation du CRFPA par l'UPEC après quelques années d'efforts pour un cybercarnet, alors très consulté tant pour les candidats que par un certains nombre de magistrats et avocats, y compris de notre plus haute juridiction civile, afin de parvenir à un équilibre entre les CRFPA parisiens.
Les vieux démons reviennent et reprennent leur place après une période de frénésie tout aussi étonnante.
Une toute petite leçon : hors les réseaux x ou y, il existe des gens, des vrais gens, des gens qui se rencontrent, se parlent ou s'évitent, ces gens de la vraie vie qui ne constituent des bytes que de façon temporaire comme pour leur vraie vie.
Personne n'a cherché à poursuivre la travail soutenu de ce cybercarnet sans prétention, mais le plus objectif possible. Les moyens étaient pourtant simples puisqu'il suffisait de contribuer, voire de donner ses coordonnées afin d'établir le contact (coordonnées qui sont administrées et donc conservées confidentielles) et poursuivre ce travail.
Les résultats de décembre 2013 reviennent à ce qu'ils étaient avant une période d’euphorie, période qui avait précédé un sentiment d'éviction des candidats de l'UPEC (ex-Paris XII) au détriment de préparations au CRFPA parisien mieux dotées.
Pendant la période d'euphorie, qui a été somme toute brève, les résultats étaient totalement disproportionnés pour des prestations vues en 'live', avec des notations (pas toutes) sans rapport direct avec ces prestations. Aujourd'hui, ils (elles) ont acquis leur titre de défenseur, voire au surplus avec des mentions qui pleuvaient lors de cette période.
Finalement, à la déraison a succédé à déraison puis le rétablissement de la raison et du sommeil de la préparation au CRFPA de l'UPEC.
Pas un signe, et voilà !