mercredi 20 octobre 2010

Que voulez-vous savoir que vous ne sachiez pas déjà ?

Ici, ce n'est pas un site, mais un simple cybercarnet, "blogue" diront d'autres.
Nous ne pouvons pas donner des informations que nous n'avons pas ni être redondant d'informations qui fourmillent ailleurs sur des questions générales qui sont aussi bien abordées.
Ce n'est pas le lieu des ragots et rumeurs, mais un lieu de réflexion, n'en déplaise à ceux qui ont tout intérêt à entretenir leur idée personnelle contre un soutient et des indications pour suivre un parcours difficile et qui s'annonce plus difficile encore.
Songez à la ridicule condamnation récente à quelques 5 milliards d'euros : les magistrats ont-ils voulu se jeter le discrédit sur eux-mêmes ? Un avocat n'a-t-il pas menti sur la réalité de la somme ? Qui va payer cette somme ? Qui paye lorsque le condamné est insolvable ?
Car il y a bien quelqu'un qui paye, on le sait tous. Et ce ne sont pas que des mots. Il existe bien une commission qui siège dans les palais de justice pour cela... Injuste, ridicule, mais où veut-on aller sur ce chemin ?
Incontestablement, il va falloir douter et y réfléchir concrètement pour l'oral d'exposé-discussion, car un examinateur posera immanquablement la question. Nous n'en sommes pas là !
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Merci pour votre attention et les désagréments de commentaires peu élogieux qui n'ont pas leur place ici, non pas en raison d'une quelconque "censure" ou prétendue telle, mais parce qu'il n'est pas tolérable d'accepter des propos injurieux qui voudraient prendre des apparences plus convenables. Ici, nous ne sommes pas au Quai d'Orsay où les couleuvres prospèrent. Personne n'est dupe.
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Vous n'êtes pas satisfaits : allez voir ailleurs (redite de billets antérieurs).

Une certitude : pas beaucoup d'informations concrètes de la part des lecteurs mais quelques unes tout de même qu'il convient de saluer car elles étaient pertinentes. Grand merci à eux pour nous.
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Dernière précision : le lectorat n'a aucune importance. Il y a bien longtemps que les "compteurs" ne sont plus consultés, l'administration utilisant une autre voie qui n'impose pas d'afficher le cybercarnet - d'où d'ailleurs des fautes de frappes qui ne sont pas vues. Il semble que seul Google s'y intéresse et ouvre en arrière-plan des pages publicitaires intempestives. Souvenez-vous, il y a longtemps déjà, des sollicitations pour "cliquer" sur les bandeaux annonces, puis de la suppression pure et simple des dits bandeaux, pollution qui dissipe de la lecture du fond, n'importe quel stage professionnel venant vous expliquer le pourcentage d'informations non comprises en raison des animations. Il faut apprendre à ne pas les lire, et peut-être lire ailleurs des informations similaires, contraires ou concordantes, qui sait. Ne nous fâchons pas pour si peu !

vendredi 8 octobre 2010

Merci aux informations sommaires concernant les sujets d'admissibilité au CRFPA 2010 de l'UPEC de Créteil.

Ces informations, même sommaires, ne préjugent pas de la notation, mais peut-être d'un relèvement de la "barre" après une période au cours de laquelle il était bon de lever certains mystères, ou au moins tenter de les lever, étant moins en cause l'IEJ lui-même que des méthodes obscurantistes qui ne permettaient pas d'en faire l'éloge.
Tout le monde constate qu'il y a du progrès, même si peu participent à cette idée qui devraient rassembler : on ne fait pas la DÉFENSE dans son coin, mais dans un processus qui vise à donner aux magistrats les éclairages nécessaires à trancher avec équité les questions qui leurs sont posées. 
Sur ce dernier point, nous sommes loin du compte, n'est-ce pas ! 
Pourvu que le C.S.M. ouvre une période de retrait des magistrats les moins justes pour laisser la place à d'autres qui ont cette réelle capacité de trancher en nuance et au plus juste en s'appuyant sur des faits et pièces concrètes et utiles.
On parlera certainement beaucoup de cette réforme du C.S.M. cette année, mais aussi de la Q.P.C. et ses avatars déjà portés à la connaissance de tous.

jeudi 7 octobre 2010

Jeudi 07 octobre 2010 : admissibilité au CRFPA 2010 de l'IEJ de l'UPEC à Créteil : dernière ligne droite avec la redoutée note de synthèse juridique.

Dernière épreuve d'admissibilité aujourd'hui : encore quelques heures de concentration soutenue à passer avec succès.

mercredi 6 octobre 2010

L'art de mettre sous le tapis la poussière : justiciables ingrats et rêveurs.

Le Conseil d'État n'est pas en peine pour dissimuler un dossier à la vue de la critique.
Il lui suffit en réalité de quelques mots, et puis "taisez-vous".
La méthode n'est pas originale, mais vise à ne surtout pas critiquer le président de la CAA de Paris dont tous les juristes connaissent le nom.
En réalité, il s'agit de la décrépitude confirmée d'une juridiction qui fait peu de cas des gens, ne les voyant que comme des "dossiers" qu'il faut encore traiter.
La situation n'est pas toujours la même et il n'est pas possible de systématiser.
Mais face à des décisions grotesques, inacceptables, sans fondement juridique, où quelques mots seulement visent à rejeter un pourvoi, il y a matière à s'inquiéter sur les premiers de la classe qui constituent le "vivier" instructeur de ces écrits qui ne font pas honneur à l'institution.
Il faut connaître ces décisions et ne pas en ignorer l'importance, qui certainement va bien plus loin qu'un principe général du droit extrait de force en tout état de cause d'un texte existant qui demeurait inappliqué.
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C'est un peu vague et n'est qu'un invitation à aller voir ce type de décisions afin de comprendre (ou au moins le tenter) de voir ce qu'elles cachent.

Que de la méthode pour jeudi... à venir.

Merci pour les sujets du mardi.

Merci pour les sujets du lundi.

dimanche 3 octobre 2010

Quelques heures avant de mettre en oeuvre les connaissances acquises et quelques réflexes.

Ce lundi 04 octobre 2010 à partir de 13 heures, lecture lente et rapidité d'exécution, interrogation "en creux" sur certains points du sujet, manipulation aisée des codes bardés de notes repositionnables, une écriture fluide et facilement intelligible tout en étant technique...
Vite dit quand on ne le fait pas !
Bon travail.

vendredi 1 octobre 2010

Des pronostics sur les sujets 2010 ???

Les paris sont-ils ouverts, avec des projets de réforme à foison, et qui bien souvent ne débouchent sur rien de concret ?
Il est déjà difficile d'apprendre le droit positif, alors apprendre un droit hypothétique, cela devient très compliqué.
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(NDLR : Merci aux commentaires qui échauffent les esprits comme chaque année à la veille de cet examen d'entrée dans une vie active attendue qui n'est pas toujours celle de la DÉFENSE.
Les auteurs du sujet de DO sont assez fins et ne pratiquent pas vraiment la divination.
Le rendez-vous est donné lundi 04 septembre 2010 à 13 heures afin de connaître la nature même du sujet.
Les pronostics ne sont pas utiles, et trois années auparavant un commentaire d'arrêt avait échauffé certains esprits - à juste titre, semblait-il, car les examinateurs ne cherchent habituellement pas le candidat disposant de la meilleure mémoire, voire ayant connu du sujet dans une formation privée, voire, qui sait... - pas plus de supputations infondées lorsqu'on ne maîtrise pas le maniement de la preuve en droit civil, qui concrètement repose sur l'illusionnisme selon certains magistrats, ce qui fait déjà beaucoup d'aléas hors de toute idée de l'équité.
Les examinateurs le savent et y font particulièrement attention.
L'an passé, comme tout candidat sérieux le sait, il s'agissait d'un "vieil" arrêt qui était posé en sujet final.
Désolé pour la pauvreté du discours, mais une demande de récusation pour suspicion légitime retient toute notre attention ainsi qu'une requête subséquente, ou l'inverse, mais cela, c'est de la procédure).
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(NDLR : Merci au commentaire déposé le dimanche 03 octobre 2010 à 11 heures 05.
C'est une réflexion au coin du bon sens, trop souvent ignorée par certains magistrats véritablement puissants.)

Ennuyeux : le site "officiel" du CRFPA de l'UPEC de Créteil ne dit pas tout : où est l'information sur la lettre tirée au sort ?

On comptait sur ce site pour avoir les informations à l'identique des affichages.
C'est souvent le cas, il faut bien en convenir, y compris dans le respect de la couleur.
Mais, sauf erreur, cela ne semble pas systématique.
D'où la nécessité d'aller sur place, ce qui ne constitue pas une mauvaise chose dans une faculté de droit dont les locaux sont encore neufs et entretenus, et aller notamment à la bibliothèque qui se modernise.

Quelques heures avant les examens écrits du CRFPA 2010 de l'UPEC de Créteil: début le lundi 04 octobre 2010 à 13 heures.

La mise en œuvre d'une année d'étude.

La lettre déjà tirée au sort pour l'oral d'exposé discussion avec les examinateurs : lettre "O".

La lettre alphabétique permettant d'établir les convocations pour l'oral d'exposé discussion avec les examinateurs du CRFPA de l'UPEC de Créteil, oraux qui ne commenceront pas avant le 15 novembre 2010, est d'ores et déjà tirée au sort.
Il s'agit de la lettre "O".
On ne comprend pas l'intérêt de la dévoiler si tôt, ce qui inévitablement constitue un facteur de stress supplémentaire avant même le début des épreuves écrites du CRFPA 2010.
Au surplus, on ne sait toujours pas dans quelles conditions elle est "tirée au sort"...
Il faut voir le bon côté des choses.