jeudi 28 mars 2013

Est-ce qu'en sachant où l'on met les pieds, on pourrait malgré tout s'abstenir de les mettre ?

Dilemme fondamental évoqué à de nombreuses reprises dans ce cybercarnet.

Voilà un commentaire déposé par "Arche Humaine" qui veut mettre en lumière à son tour cette situation.
Bien entendu, les mots sont mesurés, conformes dans l'esprit de ce cybercarnet qui vise à décrire et réfléchir.
Le rôle de blâmer : il revient à des professionnels, des magistrats, qui pour certains d'entre eux étaient incompétents et qui aujourd'hui se retrouvent robotisés notamment avec le RPVA.

C'est la misère.

Voici ce commentaire déposé tel quel ce 27 mars 2013 sous le message intitulé "Les pièces et les conclusions dans les dossiers de procédure civile : l'un des plus grands avatars de la procédure civile", message publié le 20 janvier 2008.

Le droit est un éternel recommencement, qui toutefois doit viser des qualités exceptionnelles de mesure, de doute.
Trancher un litige ne signifie pas procéder au massacre de l'une des partie.
Ce sont des êtres humains qui tranchent, des êtres humains à qui l'on demande une mesure dépassant celle du commun des mortels dont ils font partie.

Cette mesure ne consiste pas à dominer, mais à trouver la voix de l'apaisement pour tous, y compris pour eux-mêmes.

Mais semble-t-il, l'ENM est dotée d’enseignants (intervenants) dont le seul objectif est de faire entrer dans les esprit des idées hors du commun pour affirmer une domination sur l'autre. De très récents contacts l'ont encore démontré.

(Précaution : l'auteur du commentaire cité ci-après relève peut-être d'un mouvement sectaire que ce cybercanet ne connait pas et ne cautionne pas).

Voici ce commentaire écrit comme une poésie en prose :
"
Merci de complémenter ce que je ne pensais pas possible.

Même un dossier solide et pour cela un exposé parfois long, moins les magistrats y prêtent attention, cela les embête de lire et d'autan qu'ils ont des temps chronométrés sur l'étude qu'ils font du dossier (restriction budgétaire et nombre de dossiers), pensent-ils que l'appel doit aussi travailler et leur défaut les importe peu, l'appel rattrapera ?

La Loi est notre guillotine mais, est-ce bien la Loi ? L'alambique devient de plus en plus meurtrissant pour ceux qui doivent en faire la preuve et au tout dernier moment, Ha oui ! Cette jurisprudence ! Mais non ! L'autre encore et encore. Mais que font nos députés ? ... Ils se servent de la cause pour leur cause.

En tout état des Lois, il sera à prévoir que la prochaine sera celle du Talion, je ne suis pas devin mais les gens en ont plein le dos de ce type de justice de Roi. L'indépendance de ces institution coupe elle-même la branche sur laquelle elle est assise. Le peuple devra juger lui-même et les faits le prouve.

La déontologie des affaires, entre collègues, chacun sait que sa justice est préférable et les faits divers le font découvrir de plus en plus dans le quotidien. Nous voulons passer à l'ère américain de justice et des demandes de dommages et intérêts à la française, quelque part, il ne faut pas prendre le gens pour des vaches à lait ou d'autres qualificatifs. 
"

(Précaution : l'auteur du commentaire cité ci-avant relève peut-être d'un mouvement sectaire que ce cybercanet ne connait pas et ne cautionne pas). 
Bonne lecture.

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