lundi 20 décembre 2010

Bonnes fêtes de fin d'année 2010 (pour ceux qui veulent).

Et une meilleure année 2011, assurément.

dimanche 19 décembre 2010

Du nouveau à la bibliothèque universitaire de droit comme à celle de l'UPEC

De nouveaux postes de consultation, l'obligation de saisir un code et un mot de passe pour activer le poste, une ouverture de la bibliothèque le samedi de 10 heures à 17 heures : ce sont beaucoup de changements.
L'ouverture du samedi était demandée et certainement face à la saturation des grandes bibliothèques parisiennes, il s'agissait pour l'UPEC de Créteil de donner plus de marges d'accès aux étudiants.
Des postes à accès contrôlé permettent d'éviter des intrusions nombreuses et difficilement contrôlables dans la bibliothèque dans le seul but de "surfer".
Y compris les non étudiants y ont accès gratuitement après inscription préalable (pièce d'identité, photographie, justificatif de domicile récent).
Que d'évolutions appréciables.

vendredi 17 décembre 2010

Pas très bavards ces candidats 2011.

Du remue-ménage et du remue-méninges : quoi de mieux en cette fin de semaine de Noël ?

jeudi 9 décembre 2010

Neigeux, complexe, avec des effets juridiques.

Tout pour un juriste cette météorologie neigeuse avec cette pluie de neige ce mercredi 08 décembre 2010 : plus de 10 centimètres de neige début décembre, on devrait s'en souvenir, notamment en droit de obligations, en droit du travail, en droit de l'urbanisme, en droit public... en droit.

mardi 7 décembre 2010

Des sujets de droits fondamentaux du CRFPA 2010 à relater ?

Bonne idée que de soumettre des sujets entendus en matière de droits fondamentaux.
C'est une source de réflexions inépuisable bien au-delà des textes légaux et des éventuelles décisions de jurisprudence.
Raison pour laquelle ces droits deviennent dangereux dans un monde plus difficile où leur application concrète risque de hiérarchiser entre eux des droits, qui fondamentaux, devraient se situer tous sur un même barreau d'une échelle, le plus haut. La Cour de Strasbourg filtre elle-même, ne l'oublions pas !
.
(NDLR : Merci au commentaire anonyme déposé le mercredi 08 décembre 2010 à 11 heures 38.
Ce commentaire donne une information sommaire sur quelques sujets posés, et qui vous est livré sans devoir passer par la "case" commentaires :
"
j'ai entendu plusieurs sujets comme:
- la motivation des décisions de justice
- peut-on qualifier publiquement le président de la république de voyou ?
- vie privée et licenciement, à l'aulne de la jurisprudence sur les entreprises de tendance
et encore bien d'autres... 
"
Bravo si vous avez été un public attentif et avez capté ces sujets et bien d'autres, leur libellé laissant penser de façon brute que le style des sujets aurait un peu changé et serait plus ouvert à la discussion.
Encore des précisions viendraient-elles démentir ou confirmer cette idée, qui ne reflète pas l'attitude prise ou à prendre de tels ou tels examinateurs du jours.
Merci pour tout le monde pour cette information).

Cette consultation des copies, cela a donné quoi que ne sachaient déjà les candidats sur leurs prestations ?

La consultation d'une copie d'examen du passé présente-t-elle un véritable intérêt or les questions juridiques de contentieux potentiel contre l'examen ?
Il ne s'agit pas d'une provocation et il revient aux candidats de le dire.

Un point qui semble avoir échappé à certains commentateurs, encore faut-il procéder à sa vérification :

les examinateurs du jour à l'oral d'exposé-discussion, avec eux, n'ont qu'une photocopie de la seule première page du dossier d'inscription cartonné d'après ce qui a pu être vu dans les salles d'examen par le passé.
Cette première page ne mentionne pas les matières choisies, ni pour les écrits, ni pour les oraux.
En revanche, le jury (dont on ignore la composition - d'ailleurs variable et opaque) qui délibère (le seul véritable "jury" qui mérite ce nom est celui qui délibère, qui signe la liste) a nécessairement tout le dossier du candidat - délibération réalisée dans un lieu et à un horaire tenus secrets, puisqu'il peut éventuellement "ajuster" des notes, et théoriquement dans un sens toujours favorable.
Tout cela reste à vérifier, et bon courage à qui saura trouver la vérité - relative, pour un examen qui ressemble à un concours, mais n'en est pas un.
À cet égard comme à bien d'autres, il en va de même pour un concours, mise à part pour le respect des règles  qui est peut-être, ce qui là encore est à démontrer, plus contradictoire.

lundi 6 décembre 2010

2010-12-06 : du remu-méninges sur le site de l'IEJ de l'UPEC...

Comme on peut le voir sur cette page, le site de l'IEJ de l'UPEC à Créteil (ex-Paris XII) est en pleine effervescence ce lundi 06 décembre 2010.
Des sujets, oui, pour la première fois des sujets d'examen des écrits 2010, apparaissent et disparaissent.
Au moins un reste accessible.
C'est peu compréhensible mise à part sur un point : le report des frais d'impression de sujets sur les candidats eux-mêmes, ce qui fait écho à une déclaration récente visant à supprimer "de moitié" les éditions papier "par les administrations".
Seuls les candidats sur place doivent savoir ce qu'il se passe... et il semble y en a peu de "gentils".
.
Il est clair que la facilité apportée par la dématérialisation est largement handicapée par le manque de contacts humains, ce qui peut-être n'a pas facilité la situation de certains candidats au CRFPA 2010...
Nous sommes encore dans un univers d'êtres humains et bien que le décret du 1er octobre 2010 organise la pauvreté de la justice, c'est bien dans des ressources humaines qu'il nous revient de rechercher l'intelligence novatrice.
Tout cela, ce n'est que pour bavarder, en apparences, car derrière émergent des idées concrètes sur une situation périlleuse et actuelle.

Merci aux commentateurs anonymes de la fin de semaine 49 de 2010.

Merci pour les commentaires anonymes déposés les dimanche 05 et lundi 06 décembre dans la nuit sous le billet intitulé "Analyse sommaire des résultats d'admission du CRFPA 2010 de l'UPEC de Créteil" publié le 04 décembre 2010.
Il semble y avoir une passe d'armes entre commentateurs sur une question qui ne semble pas si claire. 
Au surplus, des commentaires lacunaires viennent se répéter. 
Ce cybercarnet n'est pas un "défouloir" et ne vise pas à ce que des lecteurs-commentateurs en insultent d'autres sous couvert d'anonymat.
Si l'aigreur est compréhensible pour certains, il convient de rester mesuré lorsqu'on prétend DÉFENDRE
Il ne s'agit pas de nourrir des prétextes entre candidats et ex-candidats, mais par exemple, de donner, car il y a tout de même dû avoir du public aux oraux publics, des cas concrets pour ces témoins, de difficultés particulières rencontrées aux oraux publics.
Les notes incroyablement basses sont inédites à cet oral public depuis des années tandis que les notes particulièrement hautes sont très rares cette année. 
Était-ce la difficulté des sujets, une exigence plus forte des examinateurs, une préparation globalement moins bonne des candidats, autant de questions auxquelles ce cybercarnet ne peut pas répondre.
Seul le public détient une part de la réponse, et qu'il peut dévoiler en toute objectivité sans utiliser d'invectives inutiles sur un cybercarnet qui n'est pas un forum de discussion.
.
(NDLR : Merci au commentaire anonyme déposé le 06 décembre 2010 à 15 heures 21.
La réponse à la question est simple : NON.
Encore faut-il relire la question, sachant que les résultats sont publics par voie d'affichage, comme le texte réglementaire organisant l'examen le prévoit.
Ce cybercarnet n'a pas vocation à donner des noms.
Ce sera d'ailleurs probablement le dernière fois qu'on y lira un autre commentaire visant une matière et visant un enseignant sous la première lettre de son nom de famille, ce quel que soit l'intérêt du commentaire par ailleurs.
Il est possible de parler des matières, en terme mesurés et à propos, mais certainement pas de citer le nom des enseignants, en aucune manière.)
.
(NDLR2 : Merci au commentaire anonyme déposé le mardi 07 décembre 2010 à 18 heures 38.
Ce commentaire est libellé de la façon suivante :
"
Que pensez-vous du sujet suivant, sur lequel l'un des candidats est tombé au grand oral: "La Cour de cassation est-elle soumise aux droits fondamentaux ?" 
"
Incontestablement, c'est un sujet merveilleux, éblouissant, et des conseils donnés ici disaient d'aller suivre les conférences de la Cour de cassation, pour lesquelles il est assez facile de s'inscrire en ligne sur son site, permettaient d'argumenter. Plus une seule conférence n'est épargnée par ce droit européen qui immobilise les hauts magistrats, selon eux, les dépouillant de leurs pouvoirs sous les fourches caudines de la Cour de Strasbourg. 
Pour information, un colloque a lieu ce vendredi 10 décembre 2010 sur les "Rencontres de procédure civile". Les inscriptions sont certainement terminées.
De façon générale, les magistrats sont des orateurs aussi brillants qu'ils sont anti-européens dans leur discours. Leur anti-européanisme "primaire" n'est pas celui des avocats.
L'antagonisme, la polémique, vus par le futur avocat est incontestable, et il devait certainement se livrer, au travers d'une jurisprudence européenne qui depuis des années donne des coups de pieds au ... aux magistrats des hautes juridictions, à rechercher de façon critique comment la Cour de cassation tente de s'en protéger par des subterfuges : notamment en visant les textes fondamentaux européens pour mieux les contourner tout en disant : "bien, vous voyez, nous avons visé le texte européen et nous y conformons". Commentaire spécieux et inconsistant.
La place des droits fondamentaux doit être celle d'un parapluie sous lequel aucune goutte ne passe. Nous en sommes loin, et même du côté de la Cour de Strasbourg, qui, il faut en être conscient, sait également "éliminer" plutôt que de rétablir un droit.)
.
(NDLR3 : Merci au commentaire anonyme déposé le mardi 07 décembre 2010 à 22 heures 38.
Vous avez parfaitement raison, mais hors les juridictions d'exception, cela intéresse qui ?
La Cour de cassation apprécie très modérément d'être le juge d'exception de "petits" juges de proximité. Les autres magistrats lorgnent en permanence sur ce que disent les juridictions d'exception, ce notamment afin de prospérer dans leur carrière, sauf exception - et nous en connaissons une à l'UPEC, aujourd'hui à la 2ème chambre civile, par exemple, examinateur, et probablement encore pour le CRFPA 2010.
.
Tiens, les magistrats seraient des fonctionnaires comme les autres qui nourrissent une carrière. Pas tous.
Les premiers sont des gens sérieux qui argumentent leurs décisions de faits exact et d'un droit lu de la façon la plus objective qui soit. Les seconds n'espèrent plus rien, sauf, comme tous les fonctionnaires, de parvenir à la retraite en bonne santé.
Un point commun pour tous ou quasiment : peu importe ce que deviennent leurs décisions et les justiciables, concernés. Peut-être si on raisonnait en commençant par là également pour les "petits" justiciables, des décisions plus justes leur seraient rendues.
On ne digresse pas tellement du commentaire et on revient à l'ampleur du sujet, incontestablement fondamentale).

samedi 4 décembre 2010

CRFPA 2010 : consultation des copies - très rapide - le mardi 07 décembre à 12 heures.

Un affichage est réalisé afin de proposer aux candidats au CRFPA 2010 de l'UPEC de Créteil (ex-Paris XII) de s'inscrire afin de consulter leurs copies le mardi 07 décembre 2010 à 12 heures.
Cette consultation ne vise pas à commenter les copies par leur notateur.
Les notateurs sont en général absents à cette occasion.
La consultation ne vise qu'à constater de visu sa note et des annotations de correction, rien de plus.
Cette consultation peut être envisagée :
- soit par l'inscription sur la liste vierge proposée et affichée à l'extérieur du secrétariat de l'IEJ,
- soit par courriel, sur le courriel habituel de l'IEJ de l'UPEC.

Analyse sommaire des résultats d'admission du CRFPA 2010 de l'UPEC de Créteil

Le terme "ajourné" ne figure pas sur la liste d'admission, mais est simplement remplacé par un "Aj" qui semble vouloir mettre en avant les "ADM" dans une typologie en majuscules. 
Pour les ajournés :
on dénombre cinq admissibles à qui il manque moins de 1,5 point, et concrètement, un admissible à qui il manque 0,5 point, deux admissibles à qui il manque 1 point, deux admissibles à qui il manque 1,25 point.
De façon générale, et à défaut d'analyse plus fine pour découvrir si le ratio est identique pour les admis, les dispenses ont été peu utilisées par ces candidats.
Pour les admis :
on dénombre 14 mentions assez bien, les autres étant passables. 
.
L'oral d'exposé-discussion n'a donné lieu qu'à 32 notes égales ou au-dessus de la moyenne dont peu de notes exceptionnelles, mais tout de même un incroyable 28,5 sur 30, probablement largement mérité et d'ailleurs récompensé. Aucun ajourné n'a obtenu la moyenne à cette épreuve, et certains d'entre eux ont même des notes incroyablement basses tandis qu'ils ne sont globalement pas loin de l'admission.
Contrairement à des constats effectués pour les examens passés, cette année, il y a une concordance entre l'oral d'exposé-discussion avec les examinateurs et le résultat d'admission, ce qui laisserait penser que cette épreuve a été largement sous-estimée dans le gain potentiel qu'il devait procurer.
.
Lors de l'affichage du tableau d'admissibilité, certains candidats et "commentateurs" des tableaux voyaient l'affaire faire sur la simple "habitude". Ils sont aujourd'hui certainement en partie démentis.
Les "habitudes" sont faites pour les "vieux", et certainement pas lorsqu'on a tout à gagner à ne pas sombrer dans ses sirènes reposantes. Même avec beaucoup de prudence et à défaut de s'accoutumer aux habitudes, il apparaît concrètement que l'affaire n'est jamais faite.
Peut-être ces propos ne visaient-ils qu'à rassurer pour mieux éliminer l'adversaire dans un contexte professionnel extrêmement difficile et dont il a certainement été question lors des oraux d'exposé-discussion avec les examinateurs, question très actuelle, si l'on écarte nombre de réformes qui ne verront probablement jamais le jour dans la décennie en cours, notamment compte tenu d'un budget de la justice qui demeure insuffisant dans un contexte budgétaire préoccupant.

vendredi 3 décembre 2010

CRFPA 2010 - UPEC de Créteil : vendredi 03 décembre 2010 - résultats d'admission.

56 candidats étaient admissibles.
Des "habitudes" semblent concrètement être contredites : 44 admis.
Il semble convenable de revenir à certaines réalités qui dépassent largement le cadre du CRFPA de l'IEJ de l'UPEC de Créteil.
.
(NDLR : Merci au commentaire anonyme déposé le samedi 04 décembre 2010 à 17 heures 53.
Il convient de se rapporter aux résultats des précédentes années et du discours de candidats "confiants" dans des oraux qui n'élimineraient pas.
Objectivement, cette année, le ratio admis/admissibles connaît une chute incontestable.
Il convient de vous laisser le soin de contrôler ces propos par vous-mêmes, vos propres calculs).

Pour comprendre le mécanisme de la lecture... soit-disant !


De quoi faire travailler notre hémisphère gauche (texte 2), une petite
gymnastique et on a vite compris le mécanisme...enfin, ceux qui sont
intelligents....
Subject: petit test
lecture = lcetrue
Ce paragraphe, tu l'as certainement lu et réussi à le lire un jour ou
l'autre.
En voici un autre semblable.....vu notre âge qui avance, voyons si notre
mémoire
est encore alerte.
cuocuo
si vuos pvueoz lrie ccei, vuos aevz asusi nu dôrle de cvreeau.
Puveoz-vuos lrie
ceci? Seleuemnt 56 porsnenes sur cnet en snot cpalabes. Je n'en cyoaris
pas mes
yuex que je sios cabaple de cdrpormendre ce que je liasis.
Le povuoir phoémanénl du crveeau huamin. Soeln une rcheerche fitae à
l'Unievristé de Cmabridge, il n'y a pas d'iromtpance sur l'odrre dnas
luqeel les
lerttes snot, la suele cohse imotprante est que la priremère et la
derènire
letrte du mot siot à la bnone palce. La raoisn est que le ceverau hmauin
ne lit
pas les mtos par letrte mias ptuôlt cmome un tuot. Étonannt n'est-ce pas?
Et moi
qui ai tujoours psneé que svaoir élpeer éatit ipomratnt! Si vuos poevuz
le lrie,
fitaes le svirue !!!Combien ont réussi à lire ce paragraphe ?
Si vous avez reussi, augmentez le numérateur 171226 en transférant le
texte

Deuxième texte ci-dessous
Voilà de quoi stimuler ton cerveau avant de commencer une nouvelle
semaine !
Si tu arrives à lire ceci, tu as l'hémisphère gauche bien développé !
Vous
devez le transférer uniquement si vous réussissez à lire ce message. Il
paraît
que si vous y réussissez, cela indique que vous avez l'hémisphère gauche
bien
développé et que vous êtes intelligent. Si vous réussissez à lire les
premiers
mots, le cerveau déchiffre les autres. Amusez-vous !

UN B34U JOUR D'373,
J'37415 5UR L4 PL4G3 37 J3 R3G4RD415 D3UX J3UN35 F1LL35 JOU4N7 D4N5 L3
54BL3.
3LL35 CON57RU15413N7 UN CHÂ734U D3 54BL3, 4V3C 7OUR5, P4554G35 C4CH35 37
PON7-L3V15. 4LOR5 QU'3LL35 73RM1N413N7, UN3 V4GU3 357 4RR1V33 37 4 7OU7
D37RU17,
R3DU154N7 L3 CH4734U 3N UN 745 D3 54BL3 37 D'3CUM3.J'41 CRU QU'4PR35 74N7
D'3FFOR7, L35 F1LL37735 COM3NÇ3R413N7 4 PL3UR3R, M415 4U CON7R41R3 3LL35
COURRUR3N7 5UR L4 PL4G3, R14N7 37 JOU4N7 37 COMM3NÇ3R3N7 4 CON57RU1R3 UN
4U7R3
CHÂ734U. J'41 COMPR15 QU3 J3 V3N415 D'4PPR3NDR3 UN3 GR4ND3 L3ÇON. NOU5
P455ON5
UN3 GR4ND3 P4R713 D3 NO7R3 V13 4 CON57RU1R3 D35 CHO535 M415 LOR5QU3 PLU5
74RD
UN3 V4GU3 L35 D3MOL17, L35 53UL35 CHO535 QU1 R3573N7 5ON7 L'4M1713,
L'4MOUR 37 L
'4FF3C71ON 37 L35 M41N5 D35 G3N5 QU1 5ON7 C4P4BL35 D3 NOU5 F41R3 5OUR1R3.

mercredi 24 novembre 2010

mardi 16 novembre 2010

Aucun suivi des oraux cette année : désolé.

...

mais, si vous suivez un peu ces oraux d'exposé-discussion avec les examinateurs, et si vous voulez déposer des commentaires, vous le pouvez en veillant à ne pas fausser l'égalité des chances entre les candidats, en restant neutres et impartiaux, comme cette justice que l'on envie.
Les dates sont indiquées sur le site "officiel" de l'IEJ de l'UPEC de Créteil, là :
http://sites.google.com/site/iejcreteil/home

vendredi 12 novembre 2010

Données démographiques 2009 sur la profession d'avocat.

Des données démographiques sur la profession d'avocat sont disponibles dans le rapport édité par la Caisse Nationale des Barreaux Français en 2009, ici : http://www.cnbf.fr/public/spec/upload/1517.pdf
Par ailleurs, un site très instructif et non satyrique, plus "convenu" que celui du petit syndicat Cosal.
Le site de Monsieur Patrick Michaud, avocat : http://www.cercle-du-barreau.org/, qui communique le lien vers ce rapport est par ailleurs un site très instructif et non satyrique, plus "convenu" que celui du petit syndicat Cosal.

mercredi 10 novembre 2010

Allez lire les commentaires là : nous n'y sommes pour strictement rien.

C'est du 08 novembre 2010, et en réalité, les commentaires sont plutôt de ce matin :
http://cosal.net/?page=archives/actu&id=4073

La montre.

Combien de candidats admissibles au CRFPA 2009 sont venus dans l'amphithéâtre ou la salle d'examen pour l'oral d'exposé-discussion avec les examinateurs et ont posé ostensiblement leur montre à côté d'eux afin que les examinateurs comprennent à leur tour que les candidats maîtrisaient le temps d'exposé qui leur était offert ?
L'observation est plus nuancée : si des candidats ont joué la montre de façon visible tant par la présence visible de l'objet que par un exposé qui tournait en rond, d'autres candidats qui avaient le même objet n'ont pas tenu le temps voulu. 
Les examinateurs en ont-ils pris la mouche ?
Non.
Et ils ont dû être même un peu surpris qu'autant de candidats maîtrisent enfin ce paramètre.
Avec un bémol qui aura échappé à certains d'entre eux (candidats) : il faut apprendre à exhiber l'objet avec discrétion, et cela malgré le stress inévitable de cette épreuve.

mardi 9 novembre 2010

"Il n'y a pas de fumée sans feu" : commentaire indigne d'un juriste !

L'usage de ce proverbe est à bannir en toutes circonstances et spécialement pour un juriste habité du doute nécessaire à ses futures fonctions juridiques, quelle qu'elles soient.
Voici un commentaire de ce proverbe très réducteur d'une réalité mal appréhendée, sur un site spécialisé dont l'adresse est la suivante :
"
Les pompiers le savent et tout spécialement ceux qui observent les forêts pour les protéger des incendies. La première chose que l'on voit, c'est la fumée, symptôme de l'incendie qui débute.
Le proverbe renvoie à l'expérience : toute nouveauté est la conséquence d'une cause. Ici la fumée provient d'un feu. Le proverbe a la force de la logique pour lui et il faut bien le dire, l'expérience commune lui donne raison.
Cependant, nous garderons un peu de prudence. En effet, s'il n'y a pas de fumée sans feu, les pervers et les méchantes personnes peuvent détourner le proverbe pour atteindre leur fin. On connaît l'adage machiavélique : calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose. Et une fois qu'il reste quelque chose, rien n'est plus facile de présenter ce quelque chose comme la fumée d'un feu que l'on dira bien réel. Alors que dans ce cas, la fumée ne renvoie pas à un feu mais bien à un incendiaire qui se sert de la fumée pour se cacher.
C'est avec des proverbes comme celui-là que des personnes ont été conduites au suicide ne pouvant supporter les rumeurs injustes accompagnées de leur auto justification "il n'y a pas de fumée sans feu". Le proverbe agit alors comme la dernière étape avant le lynchage public.
Au fond, ce proverbe fonctionne bien dans le domaine des sciences physiques. Mais dans le domaine des hommes, on se gardera de l'employer sans une grande prudence.
"
Peut-être à méditer par son utilisateur impétueux, dont on peut comprendre par ailleurs la colère, colère qui doit restée mesurée néanmoins.
.
(NDLR : Désolé pour le commentaire anonyme déposé le mardi 09 novembre 2010 à 11 heures 31 qui tente de nouveau de stigmatiser une matière alors que bien d'autres sont concernées et que bien d'autres sont épargnées. Parmi les matières concernées,  et même hors de ces matières, certains enseignants parlent bien aux candidats de "stratégie", y compris lors de la réunion de présentation, car personne n'ignore, ni du côté enseignants, ni du côté candidats, que certaines matières sont plus "payées" que d'autres. Il n'y a pas de raison de contester une "réalité", mais de comprendre en quoi cette réalité doit être prouvée : c'est une toute autre affaire d'apporter la preuve. 
Ce commentaire redondant et stigmatisant ne peut être conservé, ne vous en déplaise, avec en complément le conseil de lire de nouveau le commentaire du proverbe reproduit ci-dessus à titre de citation, à partir de sa troisième phrase, le lire plus lentement peut-être pour mieux en comprendre la portée. 
Enfin, rien ne vous interdit de vous plonger dans la jurisprudence de l'examen du CRFPA et tenter de voir ce qui réussit, rarement, et ce qui échoue fréquemment. La stigmatisation ne réussit jamais, les faits quelquefois, mais pas toujours car le juge sait bien ce qu'il adviendrait s'il devait toujours être juste : on le "taxerait" de partialité, car la réalité concrète est bien souvent cachée là : plutôt que d'obtenir la justice, il faut souvent se satisfaire d'une décision de justice.
Il est vrai que nous avons beaucoup de mal à appréhender que dans de nombreux cas, la Cour de Strasbourg ne se montre pas plus juste qu'une autre, ne voyant pas "objectivement" de violation des droits de l'homme là où l'une d'elles serait "flagrante". On ne peut pas se satisfaire que de mots, bien que concrètement, ce soit souvent la cas : comprenez-vous ou non le faussé qui existe entre une décision et ce qu'ont dû endurer les justiciables et qui n'est pas reproduit, qui n'est connu qu'au stade de l'instruction et n'est pas public, n'est jamais public ?
La "honte", mais aussi le "scandale" par exemple, ne sont pas des arguments de droit.
Le juge ne tranche pas des questions de "honte" ou de "scandale", ne se préoccupe pas des "efforts surhumains", du "malheur", mais en revanche des litiges ayant une base légale.
Cela montre bien que nos études très théoriques ne sont pas adaptées à l'appréhension pratique du droit qu'il faut aller faire respecter et trancher, soit devant une juridiction, soit par la voie bien plus importante concrètement des méthodes alternatives au règlement des litiges, et notamment la médiation, inapplicable ici.
Il ne s'agit pas de remettre en cause vos propos, mais plutôt de tenter concrètement de voir ce qu'ils peuvent induire à eux seuls : rien d'autre que de la stigmatisation, ce qui est déjà beaucoup, peu utile, ne fait que faire écho à ce proverbe qu'il convient de bannir dans notre domaine.)
.
(NDLR2 : Désolé pour le commentaire anonyme déposé le mardi 09 novembre 2010 à 15 heures 02 qui tente de nouveau de stigmatiser une matière en prétendant ne pas en parler ! Méthode connue...
Merci pour le "jugement" de "coquille vide".
Quant à la prétendue "frustration légitime de dizaines d'étudiants", il aurait été peut-être plus véridique d'évoquer la déception légitime de candidats sérieux et non admissibles, et la déception de candidats qui ont participé sans avoir véritablement aucune illusion sur leur résultat, sauf "coup de chance" qui ne peut pas concerner 127 candidats. 
Très sérieusement, on sait depuis très longtemps que le taux d'admissibilité au CRFPA n'a jamais dépassé les 35 % à l'IEJ Paris XII (nouvelle UPEC). Les candidats ont tout de même pu se compter dans l'amphithéâtre au début octobre 2010 et sans aucun mystère savoir qu'entre un sur quatre et un sur trois ne serait pas admissible à cet examen qui vise avant tout à ÉLIMINER.
Ce cybercarnet ne vous convient pas : ne le consultez pas, et pour les prétendues informations, prenez les ragots et rumeurs de couloir en attendant de créer vous-même un cybercarnet, ou mieux encore un site, et combler un prétendu "déficit d'information".
Ce cybercarnet ne prétend pas "informer" des ragots et rumeurs, et pour les informations juridiques habituelles, les sites des assemblées parlementaires, des juridictions d'exception, des AAI, des organes constitutionnels, des éditeurs de revues spécialisées, sont, réunis, parfaits.
Quant aux bannières ou pages que se permet d'ouvrir Google en toute impunité, adressez-vous à Google, car le temps pris ici est donné généreusement, sans aucune vanité, probablement pour rien et ne sert à rien.
Ce cybercarnet n'a jamais été à la recherche d'un lectorat. Tapez ce mot dans la ligne de recherche implantée d'office par Google dans sa matrice, et certainement le trouverez-vous beaucoup de fois et toujours dans la même approche : on ne vous demande rien et on vous laisse vous exprimer, mais on n'a pas les moyens de s'offrir un procès en diffamation ou injure, et on ne vous en laissera pas l'opportunité tant que faire se peut.
Vous pouvez facilement imaginer :
1- que les admissibles vont être très satisfaits de lire ce type de commentaires qui leur donne éventuellement à penser que les non admissibles ont ce qu'ils méritent, n'étant pas de bons stratèges ;
2- que les enseignants-correcteurs resteront impassibles devant de tels commentaires en se disant que décidément, des juristes capables d'écrire cela ne méritent pas d'obtenir leur examen.
En réalité, c'est encore plus complexe puisqu'on se donne une "marge d'erreur" assez importante d'avocats qui n'y arriveront pas dans un système commercial où tout est permis, encore que la déontologie soit remise à l'ordre du jour aujourd'hui comme régulateur "naturel".
Pour aller plus loin encore, consultez ce fameux site du syndicat COSAL et découvrez les procédures d'omission dont il est actuellement fait état, notamment dans l'article circonstancié du 06 novembre 2010.
On ne tire aucun profit de quiconque sur ce cybercarnet, ni du syndicat COSAL, ni de Google.
Il est incontestable que ne pas être admissible est un obstacle majeur à l'entrée dans la vie professionnelle attendue ; mais ce cybercarnet ne peut rien y changer.) 
.
(NDLR3 : Merci pour le commentaire anonyme déposé le mardi 09 novembre 2010 à 20 heures 12.
Quitte à vous décevoir, s'agissant de toute flagornerie, elle est inutile et non sollicitée, les "informations" étant mises à disposition et chacun pouvant en faire ce qu'il en veut s'il les comprend convenablement - sous réserve qu'elles soient suffisamment claires et accessibles.
Sur la stratégie, on comprends votre étonnement, mais :
- l'accès au CRFPA n'est pas un concours, mais un simple examen dans le cadre d'un IEJ.
Il est clair que dans le cadre d'un concours, l'organisation serait bien plus affutée, et que par exemple, un code ni annoté ni commenté serait bien comme il est dit dans le texte réglementaire et non avec du surlignage et des notes repositionnables largement toléré ;  une prescription de notation serait parfaitement respectée avec toutefois un paramètre complémentaire dont on a déjà eu l'occasion d'écrire quelques mots : même dans les concours - nationaux particulièrement, mais également régionaux ou autres, il existe des réunions de péréquation afin d'harmoniser les notes ; au final, on "triche" sur les notes et le Conseil d'État n'y a jamais rien vu de mal à en dire !!! Pour le coup, cette péréquation est totalement injuste puisqu'elle ne vise pas à retenir les meilleurs, mais à équilibrer territorialement les candidats. Cette péréquation n'est pas pratiquée pour tous les concours : ne lisez pas autre chose !
Pour revenir à notre sujet, un candidat-tricheur dans un concours serait noté comme tel (zéro éliminatoire de rigueur, pour le moins) et ferait l'objet d'une procédure de la part de l'organisateur ; c'est le candidat-tricheur qui devrait s'expliquer, et non pas les autres concurrents - n'essayez pas de les qualifier de "victimes" car ce n'est pas le terme qui convient puisqu'on n'est pas victime du candidat-tricheur, mais témoin d'une organisation pas assez rigoureuse.
Pour donner un exemple abstrait qui mettra tout le monde d'accord sur les notations, sauf les ex-correcteurs, certains concours de fonctionnaires ne sont tout simplement pas ouverts pour l'exercice 2010-2011, y compris dans les ministères régaliens, la politique de suppression d'un fonctionnaire sur deux étant réaffirmée vivement, comme personne ne peut l'ignorer, conjugué avec l'allongement de l'âge du départ en retraite, questions qui seront probablement posées concrètement pour l'oral d'exposé-discussion avec les examinateurs, avec un complément bien connu maintenant : qu'en pensez-vous, vous futur avocat ?
- cet examen n'est pas "national", mais régional, le CRFPA de Paris ayant pour particularité nationale de s'auto-dénommer "EFB" ; il est probable qu'il existe une certaine "organisation" d'une part entre les CRFPA, et d'autre part à l'intérieur des CRFPA, pour distribuer le "gâteau", le "R" signifiant "régional" ; dans une certaine mesure, il faut gérer le stock et le flux ; on sait d'expérience qu'il n'est pas très bien géré, ou qu'il peut difficilement être mieux géré puisque les avocats passés d'âge continuent néanmoins à exercer : il ne faut pas oublier qu'ils bloquent le renouvellement à leur avantage personnel, et peu importe les dégâts sur les générations suivantes, y compris leurs propres enfants, qu'ils placent prioritairement néanmoins ;
- sur la "stratégie", malheureusement, et c'est trop tard pour les non admissibles de ce CRFPA 2010, vous n'avez pas assez bien écouté la réunion de présentation où la question est souvent posée par des candidats déconfits l'avant dernière année (oui, le 15 octobre, ce ne sont pas les candidats de fin d'année qui vont venir à cette réunion alors qu'ils ne connaissent pas encore les résultats d'admissibilité en cours, mais des candidats de l'avant dernière cession) : avec une bien meilleure écoute, loin des textos incessants et du brouhaha permanent, vous auriez entendu cette phrase de contexte qui vous aura échappé : il y bien une stratégie à adopter dans le choix des matières au choix. Pour mieux vous en rendre compte, questionnez des admis (qui en général sont peu loquaces sur leur choix de matière lorsqu'ils ne disent pas tout simplement un "gros" mensonge à ce sujet) sur la stratégie adoptée dans les matières au choix : si vous obtenez des réponses véridiques, on vous dira que malgré l'attrait pour telle ou telle matière, on en a choisi une autre pour les écrits car on sait par avance qu'elle "payait" mieux. Personne parmi les candidats ne prétend changer cet état de fait qui perdure certainement depuis de (trop) nombreuses années. Soyons toujours prudents dans les formulations bien que les choses soient connues des "anciens", des redoublants, etc. 
Peut-être l'ignoriez-vous : maintenant, vous le savez clairement, ce que d'ailleurs des enseignants spécialisés ne cachent pas !
- sur des faits de rectitude ou autre, on ne les conteste pas en tant que tel : chacun à des yeux et des oreilles et peut s'en servir ; mais on tente de vous expliquer que cela ne suffit pas devant un magistrat, surtout pour une procédure exclusivement écrite, les éventuels "bavardages" ("plaidoiries" serait le meilleur terme) à une audience, malgré toute la science qu'ils révéleraient, s'avérant illusoires puisque non écrits et donc non retenus par la juridiction, règle partiellement processuelle et contestable - mais toujours avec le problème de preuve si le discours n'est pas "acté" par un greffier. Il est certain que cette question est difficile à appréhender lorsqu'on n'est pas dans le "bain", et lorsqu'on y est, on doit souvent abjurer toutes ses valeurs pour découvrir que véritablement, la justice est rare : ce qui est rare est d'autant plus important pour être défendu avec acharnement, comme le diffuse ce mardi 09 novembre 2010 au soir une émission en direct sur France 2 intitulée "Prise directe - Face à l'injustice : des hommes et des femmes..." présentée par Madame Béatrice SCHöNBERG.
Attention néanmoins au retour en force de la déontologie dans un but parfaitement avoué de compléter partiellement le tri que ni le CRFPA ni le CAPA n'auraient pu faire. Question qui sera probablement abondamment abordée lors des oraux d'exposé-discussion avec les examinateurs pour ce CRFPA 2010.
Encore une fois, la plupart des enseignants, souvent également avocats, n'en font pas mystère dans leurs cours, et même quasiment aucun : le ton est plus libre lors des cours de réactualisation car les enseignants savent qu'il va falloir abattre certains rêves, et ne plus se bercer de l'illusionnisme des arrêts qui ne reflètent jamais les souffrances endurées par les justiciables, les coups bas de certains auxiliaires de justice qui ne cherchent qu'à tromper les magistrats, qui pour certains n'en ont cure. Une chaîne de coups bas et de dilettantisme, ce n'est pas simple à dénouer. Un célèbre Garde des Sceaux a tenté de s'y livrer il n'y a pas si longtemps : l'échec est total.
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Certainement savez-vous qui est par ailleurs le Directeur de l'IEJ de l'UPEC : il compte sur la place parisienne et au-delà...
Bref, lâchez un peu les textos et autres Twitter... pour revenir à une réalité que vous avez voulu croire autre.
Sortez des croyances et questionnez les enseignants, mais ne tombez pas dans l'impertinence. Un enseignant n'est pas un ennemi et est passé par là, peut-être dans un contexte moins difficile, peut-être bercé de plus d'illusions réalisables.
Désolé de dépasser un peu le cadre de ce commentaire, mais il faut tenter de comprendre qu'il se joue des choses importantes pas très loin et que cela aura un effet concret sur une décennie d'avocats au minimum.)

dimanche 7 novembre 2010

À la lumière de certains commentaires, on peut comprendre que l'entrée dans la vie active est une chose parfaitement sérieuse.

Toutefois, aucun procès ne peut se faire sur ce cybercarnet ni prendre comme support ce cybercarnet.
Il convient de lire avec grands soins la jurisprudence, d'appréhender exactement ce qui est dit, de le distinguer de ce qui n'est pas dit car jetterait un discrédit peu élogieux sur un examen important dans un parcours professionnel en devenir.
Comme l'a dit un commentaire, une réforme est "dans les tuyaux".
D'ailleurs pour les heureux admissibles, il serait bon d'aller sur le site du CSM pour y lire l'existence d'un "recueil de déontologie des magistrats 2010" qui n'y figure pas (puisqu'il est édité en version "papier" par Dalloz pour la "modique" somme de 15 euros pour 40 "petites" pages "utiles") et le comparer au code de déontologie des avocats.
En réalité, on peut penser qu'il ne s'agit pas réellement de se livrer à une comparaison entre un "recueil" et un code puisque les personnes concernées sont censées travailler en harmonie les unes avec les autres dans une optique commune : assurer la confiance des justiciables dans leur justice, et peut-être de façon très accessoire, rendre la justice.
Enfin, merci d'arrêter de stigmatiser une matière dans un IEJ, car on peut légitiment penser que tout le monde se livre à des courtoisies, notamment, doit-on le rappeler, pour maintenir l'existence de cours de réactualisation, dans un IEJ comme dans un autre.
Si peut-être toutes les matières ne sont pas concernées, si probablement beaucoup de candidats sont loyaux, l'organisation de l'examen reste lourde.
Sauf mauvaise vue (puisqu'un ligne a été noircie), d'où l'utilité de photographier les listes à tout moment, aucun candidat n'a obtenu la note de zéro dans aucune épreuve, et seule une défaillance est notée pour 732 copies notées : il serait donc bon de se modérer dans des commentaires ici, car faut-il le réécrire, on ne fait pas de procès ici...
Et par ailleurs commencer à appréhender la réalité concrète du contentieux...
Peut-être faut-il comprendre la difficulté de faire valoir son bon droit devant un magistrat : prenez connaissance du recueil de déontologie du magistrat et découvrez là où on le cantonne, et ce qu'il peut, lui, être humain comme tout justiciable, en tirer comme conséquence dans ses décisions, notamment sur une règle bien connue des processualistes  : ne pas juger ni infra petita ni ultra petita, ni extra petita.
Autant comprendre tout de suite les difficultés dans toutes les procédures : la nécessité des témoignages "valables", le recueil des "preuves" tangibles, et l'aléa de la juridiction.
Pardonnez ce ton direct qui vise simplement à éviter de sombrer et laisser vivre des propos peu élogieux, ce alors même qu'au moins un surveillant aurait entrepris de se montrer efficace sans que cela n'apparaisse sur la liste des admissibles.
S'il y avait eu des zéros sur la liste, cela aurait été une autre affaire, comme quoi l'IEJ sait y faire si éventuellement, un candidat peut voir sa copie déchirée, peut-être sans pour autant être exclu manu militari (c'est excessif) de l'amphithéâtre d'examen. Les examinateurs/surveillants/correcteurs ne sont pas nés le matin de l'examen : ils connaissent déjà pas mal d'airs d'une musique que personne n'apprécie d'entendre. Car quel autre candidat peut témoigner, alors qu'il est affairé sur son sujet, qu'il fait une pose pour observer longuement ce qui se passe autour de lui ou devant lui et en maîtriser tous les tenants et aboutissants de ce qu'il voit sur l'instant, peut-être filme la scène avec son téléphone portable (interdit dans la salle d'examen) ?
Pourquoi pensez-vous qu'il soit interdit d'enregistrer les audiences, ce qui d'ailleurs semble plus relever du mythe que de la réalité concrète, mise à part pour les audiences pénales, expressément prévu et réprimé par le code pénal ? Pensez-vous qu'il ne s'y dit que des choses censées de part et d'autre de la barre ?
Si des candidats ont été vus et considérés comme tricheurs, il sembleraient que pour ceux-là, l'affaire soit faite sans qu'il soit besoin de recourir à une justice imparfaite.
Si des conditions objectives sont réunies, effectivement, un contentieux peut être envisagé avec toutes les précautions nécessaire et sans "témérité". Maîtrisez-vous les conséquences concrètes d'un contentieux "téméraire" ?
Maîtrisez-vous même la rédaction d'une requête ? Cinq années d'études de droit sans voir la couleur d'une requête, dans la seule abstraction des livres, dont certains sont incontestablement très orientés sur la pratique professionnelle... et des codes. Est-ce suffisant pour rédiger une requête recevable ?
Et cette recevabilité, quant est-elle jugée ?
Le temps qu'il a fallu pour instruire l'affaire et d'abord voir sa recevabilité ne s'est-il pas écoulé de manière telle qu'en cas d'irrecevabilité, le délai pour déposer une requête recevable est forclos ?
Et cette forclusion, quant est-elle jugée ?
Aujourd'hui, il faut s'en rassurer ou s'en inquiéter, beaucoup de requêtes sont reçues par les juridictions et déclarées recevables malgré un formalisme processuel très incomplet : les magistrats s'en contentent bien souvent, à défaut de quoi on irait vite leur soutenir que leur pointillisme serait contraire à la lisibilité de la loi que nul n'est censé ignorer, et surtout aux droits fondamentaux comme le fameux article 6... Paradoxal, tout cela, n'est-ce pas ?
Il existe des cas d'annulation, rares, très rares, car la preuve est bien plus difficile à apporter qu'il n'y parait en apparences. Mais voilà quelques données qu'il faut appréhender dans leur dimension contentieuse. Il existe d'autres données, peut-être moins essentielles.
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Enfin, pour un commentaire apparemment découragé : non, il ne faut surtout pas abandonner ni le droit ni la justice, mais prendre un autre chemin qui visera à mettre en œuvre des valeurs qui sont de moins en moins fréquemment dites et assumées.
Concrètement, pour prendre quelque chose de parlant : si plus personne n'est en mesure de dire aujourd'hui ce qu'est la famille au plan juridique, ce n'est pas pour autant qu'elle n'existe plus juridiquement à travers une déconstruction du code civil entreprise sur ce sujet depuis plusieurs décennies pour s'adapter à une réalité soit-disant assumée. 
Doit-on penser que ce qui a nécessité des dizaines de décennies à être construit peut être rasé en quelques années pour s'adapter à la "demande" ?
Ce système chaotique ne peut pas fonctionner pour toute la vie d'un homme, qui brève d'un certain point de vue, est bien longue pour d'autres.

samedi 6 novembre 2010

Un petit déchaînement sur des questions bien concrètes traitées dans l'abstraction juridique.

Il est (mal)heureux que certains candidats ait une idée de l'injustice mais ne maîtrisent pas comment la faire valoir en temps utiles : il est trop tard pour parler ou se plaindre d'éventuelles et putatives "tricheries".
Heureux de ne pas être confronté à la Justice et à ses juges.
C'est sur le champ qu'une éventuelle tricherie doit être constatée. A posteriori, en parler ne présente plus aucun intérêt, même si l'affaire pouvait être sérieuse.
Ce qui se passe dans l'amphithéâtre d'examen doit être acté dans l'amphithéâtre lui-même : plus tard, on peut en parler dans le néant probablement. 
Encore est-il correct de ne citer aucun nom de quiconque.
Par le passé, ces questions n'ont pas été sans exister : mais comme le sait tout juriste, même inexpérimenté, il y a avant l'intime conviction un problème de preuve.
Tout le monde est en droit de se plaindre de ce qu'il veut ; sa plainte doit être éventuellement étudiée si elle apparaît vraisemblable ; à défaut d'en apporter une preuve tangible, elle sera au mieux "oubliée", au pire fera l'objet d'une procédure en retour pour dénonciation calomnieuse.
Cette prudence est encore méconnue lors de la préparation au CRFPA, raison pour laquelle elle est traitée avec indifférence afin de ne pas jeter l'opprobre sur quiconque ou de stigmatiser quiconque ou quelque matière que se soit.
Mais plus tard, que d'injustices encore, et quelquefois, tout de même, une justice juste qui répond à cet adage anglais : 
"il ne s'agit pas seulement qu'une décision de justice soit rendue, encore faut-il que l'on ait l'impression que la justice a été rendue"
Un beau programme en devenir dans certaines d'affaires...
Inutile de jeter de l'huile sur un feu éteint depuis plus d'un mois.



Il y a certainement plus à dire sur ces résultats d'admisibilité au CRFPA 2010 de l'IEJ de l'UPEC à Créteil : aussi, à vous la parole.

Cette parole ne peut être faite que sous la forme de commentaires, ce cybercarnet n'étant pas un site et ne pouvant fonctionner pas comme un forum.
Des commentaires "intelligents"...
Ce cybercarnet n'a pas vocation à faire "bouger les lignes" fixées par l'EFB à tous les IEJ qui en dépendent.
On peut facilement penser que le "gâteau" est pré-réparti entre eux, avec des influences variables d'une année sur l'autre et qui amènent des candidats à faire du nomadisme.
Un IEJ est accessible ou ne l'est pas, le candidat peut faire sa préparation dans de très bonnes conditions ou non, le candidat a les moyens de s'offrir une préparation privée lui garantissant un pourcentage avec ce que l'on en sait concrètement : un pourcentage est un pourcentage alors que ce qui est recherché est la réussite à l'examen d'entrée au CRFPA, et non pas le pourcentage de réussite à l'examen d'entrée au CRFPA...
C'est long, ce n'est pas simple, et la suite ne s'annonce pas nécessairement très florissante, même si elle est souvent bien meilleure que ce qu'il en est dit, la déontologie étant souvent aveugle s'agissant des rémunérations en espèces... dont y compris certains "très grands" avocats sont taxés de bénéficier sous couvert du média internet, qui s'il donne une certaine liberté de parole, ne démontre souvent rien de concret, rien qui justifie la moindre poursuite pénale sur de simple allégations.
Théoriquement, nos chères études de droit le montrent plus ou moins, on ne lance pas une affaire sur des allégations mais sur des faits : la réalité concrète est bien contrastée.
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(NDLR : Désolé pour le commentaire anonyme déposé le samedi 06 novembre 2010 à 21 heures 49.
Il cite le nom d'un enseignant, raison pour laquelle il ne peut rester visible sur ce cybercarnet. L'émetteur peut aussi bien le renouveler sans citer aucun nom.
Merci par avance de respecter une règle absolue d'anonymat pour tous commentaires, et y compris pour un acte positif d'un surveillant d'amphithéâtre.)



vendredi 5 novembre 2010

Un "petit" commentaire : l'admissibilité...

... peu ou prou, répond au vœu de l'EFB exprimé l'an passé :
l'EFB veut des promotions moins importantes notamment en raison d'un départ retardé des anciens qui bouche l'installation des jeunes, d'un trop grand nombre d'avocats sur la place parisienne, d'un périmètre du droit dont la disparition est d'ores et déjà actée même si elle n'est pas annoncée de façon encore claire, d'un amendement dans la loi de finances 2011 visant à réduire l'attribution de l'aide juridictionnelle...
Des questions internes et externes dont les conséquences sont inéluctables.
L'avocat conservant un monopole que la CJUE regarde depuis un moment d'un mauvais œil...

Convocation aux "petits oraux" : il manquerait une partie de la liste en DPF...mais pas seulement...

Probabilité tangible puisque la liste alphabétique s'arrête au 16ème candidat dont les initiales sont "LE".
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VOIR le COMMENTAIRE IMPORTANT anonyme déposé le samedi 06 novembre 2010 à 11 heures 11.
Merci pour ce commentaire utile à tous.

56 admissibles - CFRPA 2010 : IEJ de l'UPEC à Créteil (ex-Paris XII) - résultats d'admissibilité

Les résultats d'admissibilité sont affichés ce vendredi 05 novembre 2010 comme annoncé par affichage précédant et sur le site de l'IEJ.
13 pages qui concrètement sont présentées sur 12 pages avec une moyenne par défaut de 15 résultats par page, puisqu'au final 183 candidats ont participé à ce cru 2010, cru modeste en nombre, y compris s'agissant du nombre de candidats admissibles, imprudemment dénommés comme "admis" sur la liste d'admissibilité... un  juriste saura comprendre...
12 pages qui semblent correspondre à la totalité des résultats, la première page comportant 14 candidats dont le premier nom de famille commence par "AB", et la dernière page comportant 19 candidats dont le dernier nom de famille commence par "ZU".
Une kyrielle de note finissant par ",25", notation impossible si l'on se réfère aux prescriptions réglementaires de notation de l'examen, une particularité du CRFPA à l'IEJ de l'UPEC de Créteil qui aurait tendance à persister.
La plus faible note d'admissibilité est de 4,5 sur 60, et correspond à un candidat qui a fait acte de présence, tandis que la plus forte note d'admissibilité s'élève à 42,5 sur 60.
Pourquoi une présentation par page sinon pour remarquer que certaines pages ne contiennent que des "ajournés", remarque sans importance, mais entendue ici ou là de certains candidats, et qui montre pour le moins une observation d'ensemble des résultats proche de l'analyse. 

CRFPA 2010 affichage du vendredi 05 novembre 2010




admissibles ajournés total page note maximum page note minimum page
page 01 AB à BA 9 5 14 37,25 4,5


page 02 BE à BO 4 11 15 34,25 23,5





page 03 BO à CH 5 10 15 42,5 18
page 04 CH à DE 9 6 15 39,5 6,75
page 05 DI à FL 4 11 15 38,75 13,25





page 06 FR à HA 5 10 15 33,5 16,5
page 07 HA à LA 5 10 15 37 11
page 08 LE à MA 8 7 15 34,5 18,5
page 09 MA à OI 0 15 15 29 12
page 10 OU à RI 3 12 15 41 7,25
page 11 RO à SO 0 15 15 28,75 11
page 12 SO à ZU 4 15 19 41,25 11


56 127 183


mercredi 20 octobre 2010

Que voulez-vous savoir que vous ne sachiez pas déjà ?

Ici, ce n'est pas un site, mais un simple cybercarnet, "blogue" diront d'autres.
Nous ne pouvons pas donner des informations que nous n'avons pas ni être redondant d'informations qui fourmillent ailleurs sur des questions générales qui sont aussi bien abordées.
Ce n'est pas le lieu des ragots et rumeurs, mais un lieu de réflexion, n'en déplaise à ceux qui ont tout intérêt à entretenir leur idée personnelle contre un soutient et des indications pour suivre un parcours difficile et qui s'annonce plus difficile encore.
Songez à la ridicule condamnation récente à quelques 5 milliards d'euros : les magistrats ont-ils voulu se jeter le discrédit sur eux-mêmes ? Un avocat n'a-t-il pas menti sur la réalité de la somme ? Qui va payer cette somme ? Qui paye lorsque le condamné est insolvable ?
Car il y a bien quelqu'un qui paye, on le sait tous. Et ce ne sont pas que des mots. Il existe bien une commission qui siège dans les palais de justice pour cela... Injuste, ridicule, mais où veut-on aller sur ce chemin ?
Incontestablement, il va falloir douter et y réfléchir concrètement pour l'oral d'exposé-discussion, car un examinateur posera immanquablement la question. Nous n'en sommes pas là !
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Merci pour votre attention et les désagréments de commentaires peu élogieux qui n'ont pas leur place ici, non pas en raison d'une quelconque "censure" ou prétendue telle, mais parce qu'il n'est pas tolérable d'accepter des propos injurieux qui voudraient prendre des apparences plus convenables. Ici, nous ne sommes pas au Quai d'Orsay où les couleuvres prospèrent. Personne n'est dupe.
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Vous n'êtes pas satisfaits : allez voir ailleurs (redite de billets antérieurs).

Une certitude : pas beaucoup d'informations concrètes de la part des lecteurs mais quelques unes tout de même qu'il convient de saluer car elles étaient pertinentes. Grand merci à eux pour nous.
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Dernière précision : le lectorat n'a aucune importance. Il y a bien longtemps que les "compteurs" ne sont plus consultés, l'administration utilisant une autre voie qui n'impose pas d'afficher le cybercarnet - d'où d'ailleurs des fautes de frappes qui ne sont pas vues. Il semble que seul Google s'y intéresse et ouvre en arrière-plan des pages publicitaires intempestives. Souvenez-vous, il y a longtemps déjà, des sollicitations pour "cliquer" sur les bandeaux annonces, puis de la suppression pure et simple des dits bandeaux, pollution qui dissipe de la lecture du fond, n'importe quel stage professionnel venant vous expliquer le pourcentage d'informations non comprises en raison des animations. Il faut apprendre à ne pas les lire, et peut-être lire ailleurs des informations similaires, contraires ou concordantes, qui sait. Ne nous fâchons pas pour si peu !

vendredi 8 octobre 2010

Merci aux informations sommaires concernant les sujets d'admissibilité au CRFPA 2010 de l'UPEC de Créteil.

Ces informations, même sommaires, ne préjugent pas de la notation, mais peut-être d'un relèvement de la "barre" après une période au cours de laquelle il était bon de lever certains mystères, ou au moins tenter de les lever, étant moins en cause l'IEJ lui-même que des méthodes obscurantistes qui ne permettaient pas d'en faire l'éloge.
Tout le monde constate qu'il y a du progrès, même si peu participent à cette idée qui devraient rassembler : on ne fait pas la DÉFENSE dans son coin, mais dans un processus qui vise à donner aux magistrats les éclairages nécessaires à trancher avec équité les questions qui leurs sont posées. 
Sur ce dernier point, nous sommes loin du compte, n'est-ce pas ! 
Pourvu que le C.S.M. ouvre une période de retrait des magistrats les moins justes pour laisser la place à d'autres qui ont cette réelle capacité de trancher en nuance et au plus juste en s'appuyant sur des faits et pièces concrètes et utiles.
On parlera certainement beaucoup de cette réforme du C.S.M. cette année, mais aussi de la Q.P.C. et ses avatars déjà portés à la connaissance de tous.

jeudi 7 octobre 2010

Jeudi 07 octobre 2010 : admissibilité au CRFPA 2010 de l'IEJ de l'UPEC à Créteil : dernière ligne droite avec la redoutée note de synthèse juridique.

Dernière épreuve d'admissibilité aujourd'hui : encore quelques heures de concentration soutenue à passer avec succès.

mercredi 6 octobre 2010

L'art de mettre sous le tapis la poussière : justiciables ingrats et rêveurs.

Le Conseil d'État n'est pas en peine pour dissimuler un dossier à la vue de la critique.
Il lui suffit en réalité de quelques mots, et puis "taisez-vous".
La méthode n'est pas originale, mais vise à ne surtout pas critiquer le président de la CAA de Paris dont tous les juristes connaissent le nom.
En réalité, il s'agit de la décrépitude confirmée d'une juridiction qui fait peu de cas des gens, ne les voyant que comme des "dossiers" qu'il faut encore traiter.
La situation n'est pas toujours la même et il n'est pas possible de systématiser.
Mais face à des décisions grotesques, inacceptables, sans fondement juridique, où quelques mots seulement visent à rejeter un pourvoi, il y a matière à s'inquiéter sur les premiers de la classe qui constituent le "vivier" instructeur de ces écrits qui ne font pas honneur à l'institution.
Il faut connaître ces décisions et ne pas en ignorer l'importance, qui certainement va bien plus loin qu'un principe général du droit extrait de force en tout état de cause d'un texte existant qui demeurait inappliqué.
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C'est un peu vague et n'est qu'un invitation à aller voir ce type de décisions afin de comprendre (ou au moins le tenter) de voir ce qu'elles cachent.

Que de la méthode pour jeudi... à venir.

Merci pour les sujets du mardi.

Merci pour les sujets du lundi.

dimanche 3 octobre 2010

Quelques heures avant de mettre en oeuvre les connaissances acquises et quelques réflexes.

Ce lundi 04 octobre 2010 à partir de 13 heures, lecture lente et rapidité d'exécution, interrogation "en creux" sur certains points du sujet, manipulation aisée des codes bardés de notes repositionnables, une écriture fluide et facilement intelligible tout en étant technique...
Vite dit quand on ne le fait pas !
Bon travail.

vendredi 1 octobre 2010

Des pronostics sur les sujets 2010 ???

Les paris sont-ils ouverts, avec des projets de réforme à foison, et qui bien souvent ne débouchent sur rien de concret ?
Il est déjà difficile d'apprendre le droit positif, alors apprendre un droit hypothétique, cela devient très compliqué.
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(NDLR : Merci aux commentaires qui échauffent les esprits comme chaque année à la veille de cet examen d'entrée dans une vie active attendue qui n'est pas toujours celle de la DÉFENSE.
Les auteurs du sujet de DO sont assez fins et ne pratiquent pas vraiment la divination.
Le rendez-vous est donné lundi 04 septembre 2010 à 13 heures afin de connaître la nature même du sujet.
Les pronostics ne sont pas utiles, et trois années auparavant un commentaire d'arrêt avait échauffé certains esprits - à juste titre, semblait-il, car les examinateurs ne cherchent habituellement pas le candidat disposant de la meilleure mémoire, voire ayant connu du sujet dans une formation privée, voire, qui sait... - pas plus de supputations infondées lorsqu'on ne maîtrise pas le maniement de la preuve en droit civil, qui concrètement repose sur l'illusionnisme selon certains magistrats, ce qui fait déjà beaucoup d'aléas hors de toute idée de l'équité.
Les examinateurs le savent et y font particulièrement attention.
L'an passé, comme tout candidat sérieux le sait, il s'agissait d'un "vieil" arrêt qui était posé en sujet final.
Désolé pour la pauvreté du discours, mais une demande de récusation pour suspicion légitime retient toute notre attention ainsi qu'une requête subséquente, ou l'inverse, mais cela, c'est de la procédure).
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(NDLR : Merci au commentaire déposé le dimanche 03 octobre 2010 à 11 heures 05.
C'est une réflexion au coin du bon sens, trop souvent ignorée par certains magistrats véritablement puissants.)

Ennuyeux : le site "officiel" du CRFPA de l'UPEC de Créteil ne dit pas tout : où est l'information sur la lettre tirée au sort ?

On comptait sur ce site pour avoir les informations à l'identique des affichages.
C'est souvent le cas, il faut bien en convenir, y compris dans le respect de la couleur.
Mais, sauf erreur, cela ne semble pas systématique.
D'où la nécessité d'aller sur place, ce qui ne constitue pas une mauvaise chose dans une faculté de droit dont les locaux sont encore neufs et entretenus, et aller notamment à la bibliothèque qui se modernise.

Quelques heures avant les examens écrits du CRFPA 2010 de l'UPEC de Créteil: début le lundi 04 octobre 2010 à 13 heures.

La mise en œuvre d'une année d'étude.

La lettre déjà tirée au sort pour l'oral d'exposé discussion avec les examinateurs : lettre "O".

La lettre alphabétique permettant d'établir les convocations pour l'oral d'exposé discussion avec les examinateurs du CRFPA de l'UPEC de Créteil, oraux qui ne commenceront pas avant le 15 novembre 2010, est d'ores et déjà tirée au sort.
Il s'agit de la lettre "O".
On ne comprend pas l'intérêt de la dévoiler si tôt, ce qui inévitablement constitue un facteur de stress supplémentaire avant même le début des épreuves écrites du CRFPA 2010.
Au surplus, on ne sait toujours pas dans quelles conditions elle est "tirée au sort"...
Il faut voir le bon côté des choses.

mardi 28 septembre 2010

Pour une même matinée d'audiences, trois avocats sortent de la salle en se plaignant ouvertement à qui veut l'entendre d'un problème récurent de la juridiction...

Pour une même matinée d'audiences, trois avocats sortent de la salle en se plaignant ouvertement à qui veut l'entendre d'un problème récurent de la juridiction...
Ce n'est pas une situation inédite, voire cela devient une situation habituelle pour certaines juridictions où des magistrats ne font manifestement plus de droit, mais règlent des comptes avec leur hiérarchie, en s'acharnant de façon totalement injustifiée sur les justiciables et leurs représentants.
Il y a deux années auparavant, Maître Gilbert Collard disait, prêchant dans un désert d'oreilles parfaitement ouvertes qu'il y avait des problèmes grandissants dans la magistrature que rien ne venait arrêter.
On peut raisonnablement se douter que de tels problèmes vont ressurgir sur les justiciables qui en sont déjà les premières victimes.
Les procès des victimes du service public public de la justice, service public régalien s'il en est, n'en finissent plus.
Mais avant même ces procès - qui sont avant tout de nouvelles procédures - des auxiliaires de justice se plaignent ouvertement des audiences de certaines juridictions, donnant un aspect très général à une situation qui commence à être parfaitement connue.
Et le meilleur des avocats ne parvient plus lui même à le démontrer par sa science puisque celle-ci n'est plus écoutée.
Les magistrats ne sont pas si nombreux, mais s'autorise de telles pratiques, sans le moindre fondement légal, que la justice n'est plus en mesure de s'y retrouver.
Un exemple très concret :
          (censuré), juridiction collégiale dont la composition varie entre les audiences, mais qui au total, sous couvert des délibérés, n'aura passé sa matinée qu'à maudire les avocats et leurs clients et mis tout cela en long délibéré afin d'évacuer la question.
Cela se passe où : pas ici, mais à (censuré).
Cet exemple est bien trop grave d'une situation qui commence à prendre de l'ampleur et qui ne permet pas de dire exactement la juridiction visée, ni où elle siège.
Si le justice devient le lieu de ne faire valoir aucun droit, il ne va pas falloir simplement changer de gouvernement, mais aussi de système de justice, dont l'imperfection humaine n'est plus suffisante pour expliciter les errances vues aujourd'hui.
Intolérable, inacceptable, inconséquent, des mots habituels souvent exagérés. Là, des mots largement insuffisants pour relater une situation concrète explosive.

samedi 25 septembre 2010

Rideau...

Merci au commentaire anonyme déposé le dimanche 26 septembre 2010 à 16 heures  06.
Commentaire sobre et énigmatique, autant que peut l'être ce titre sans contenu.
Nous y reviendrons un peu plus tard si vous le permettez, des obligations pressantes en cours nécessitant d'y différer.
Savez-vous ce qu'est un juge menteur ?
Nécessairement si vous savez ce qu'est un avocat menteur.
Connaissez-vous un avocat non menteur ?
Certainement moins qu'un juge honnête.
Aucune généralisation ne doit être entreprise ni pour les uns ni pour les autres...
De bien belles histoires au coin du feu pour la DÉFENSE et la Justice où les obligations sont bien méconnues.

samedi 11 septembre 2010

Oui, ce cybercarnet perd de l'intérêt, mais il ne tient qu'à vous d'aller jusqu'à la faculté et de faire les sujets.

Ce cybercarnet ne sert pas de "boniche" aux lecteurs.

Autant utiliser un terme dans son sens le plus déplorable alors que la profession est parfaitement honorable...
Des lecteurs n'auront pas compris le côté participatif et mémoriel de ce cybercarnet, qui n'a aucune vocation à remplacer leur travail personnel pour l'obtention d'un examen d'accès à une école professionnelle, examen de plus en plus sélectif.
Cela ne vous plaît pas ??? 
Aller voir ailleurs, personne ne vous retient ici.
Merci pour votre inattention.
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(NDLR : Merci au commentaire anonyme déposé le samedi 11 septembre 2010 à 21 heures 07.
Vos excellentes critiques sont parfaitement justifiées. 
Mais dans l'ignorance des sujets, il sera difficile de vous les communiquer. Un gentil candidat comprendra certainement qu'il peut les communiquer et que ce sera sans aucune influence sur les résultats d'admission.
Sur votre éloquence, que de félicitations et d'éloges puisque vous maîtrisez déjà parfaitement le verbiage de l'avocat ce qui constitue un atout incontestable pour vous-mêmes, mais aucunement ni pour l'examen ni pour votre futur professionnel. Vous n'êtes pas sans rappeler un certain avocat que l'on voit en ce moment très fréquemment à la télévision, et dont probablement vous ignorez le sort qu'il réserve à ses collaborateurs. Beaucoup d'emphase qui dissimule mal une gène importante en raison du défaut apparent d'argument solide de défense... que d'autres se chargeront de combler, peut-être en n'attaquant pas ou peu.)
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(NDLR 2 : Merci au commentaire anonyme déposé le dimanche 12 septembre 2010 à 00 heure 26.
Faute de frappe impardonnable et qui probablement n'aurait jamais existé en écriture manuscrite.)

mercredi 8 septembre 2010

lundi 6 septembre 2010

Dernier examen blanc du CRFPA 2010 : moins d'effet de la grève prévue le 07/09/2010.

Un examen blanc qui mérite par son organisation avec moins d'effet attendu de la grève prévue le mardi 07 septembre 2010.
Grève non contestable, droit fondamental...

mardi 31 août 2010

Quelques jours avant le dernier examen blanc du CRFPA 2010.

C'est au cours de la semaine 36 de 2010 (et plus concrètement du 06 au 10 septembre 2010) qu'aura lieu le dernier examen blanc complet du CRFPA 2010.

2010-08-31 : dernier jour du mois d'août 2010 - dernières semaines de révisions.

Pour un examen visant à éliminer.
Contrairement à une tendance qui s'annonçait fin 2009-début 2010, les vieux briscards du droit renoncent à quitter leur prestigieux cabinet, leur descendance ne semblant pas être en mesure de porter le flambeau avec les espérances nourries.
Du coup, l'engorgement persiste. 
Remercions par avance ceux qui renoncent pour laisser de la place aux autres.
Il n'empêche qu'il est grand temps pour les dernières révisions qui ne peuvent pas se limiter à un simple bachotage intensif de quelques semaines... et pourtant.
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(NDLR : Merci au commentaire déposé le mardi 31 août 2010 à 19 heures 39 par Samim.
Commentaire très enthousiaste de ce lecteur tant pour l'UPEC que pour sa formation au CRFPA qu'il réalisera en parallèle avec son M1 : choix incontestablement intelligent.
Le jeu de mot n'est peut-être pas si clair. En assistant à quelques cours de praticiens-enseignants du CRFPA, en captant leur discours souvent très clair sur certaines réalités concrètes de la profession, une autre façon d'appréhender les lourdes difficultés rencontrées par une profession très dévalorisée devrait apparaître plus clairement.
La profession n'est pas en attente d'un concert d'illusions, mais d'entreprises concrètes de revalorisation, notamment par la définition d'un périmètre d'intervention aujourd'hui attaqué d'un côté par les notaires, de l'autre par les experts-comptables, sans même parler des missions réalisées depuis l'étranger à force de dumping social.
Sujet complexe que personne ne tente de juguler aujourd'hui.)
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(NDLR2 : Merci au commentaire anonyme déposé le 1er septembre 2010 à 16 heures 34.
Bien sûr qu'il faut parler d'un numerus closus "officiel" après celui officieux qui a sévi depuis tant d'années et qui ne faisait que susciter l'incompréhension.
Et comme chaque médaille à son revers, il faut immédiatement songer aux droits qui vont alors être ainsi créés, d'un côté comme de l'autre, de l'examen du CRFPA qui ne pourra plus dissimuler son caractère de concours... et qui probablement au final ne donnera pas une situation plus favorable aux professionnels du droits sur le territoire français où le périmètre se réduit dangereusement...
Quant au CAPA, à une collaboration dans un contexte si porteur, la formalité n'en sera que plus aisée.
Qui peut y croire ?
Mais qui aujourd'hui peut avoir une "vision" sur l'évolution des trois à quatre prochaines décennies ?
C'est peut-être là le cœur de la question : des querelles intestines et aucune vision même à plus brève échéance sur l'évolution de la profession, accompagnée d'une inflation législative mégalomaniaque.)
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(NDLR3 : Merci au commentaire déposé le jeudi 02 septembre 2010 à 11 heures 10 par Samim.
Enthousiasme et la tête bien faite : deux atouts pour réussir cet examen qui va incontestablement être plus sélectif alors que d'aucun se plaignait déjà qu'il l'était beaucoup.)