Et une meilleure année 2011, assurément.
lundi 20 décembre 2010
Bonnes fêtes de fin d'année 2010 (pour ceux qui veulent).
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dimanche 19 décembre 2010
Du nouveau à la bibliothèque universitaire de droit comme à celle de l'UPEC
De nouveaux postes de consultation, l'obligation de saisir un code et un mot de passe pour activer le poste, une ouverture de la bibliothèque le samedi de 10 heures à 17 heures : ce sont beaucoup de changements.
L'ouverture du samedi était demandée et certainement face à la saturation des grandes bibliothèques parisiennes, il s'agissait pour l'UPEC de Créteil de donner plus de marges d'accès aux étudiants.
Des postes à accès contrôlé permettent d'éviter des intrusions nombreuses et difficilement contrôlables dans la bibliothèque dans le seul but de "surfer".
Y compris les non étudiants y ont accès gratuitement après inscription préalable (pièce d'identité, photographie, justificatif de domicile récent).
Que d'évolutions appréciables.
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vendredi 17 décembre 2010
Pas très bavards ces candidats 2011.
Du remue-ménage et du remue-méninges : quoi de mieux en cette fin de semaine de Noël ?
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vendredi 10 décembre 2010
2010-12-10 : alors, ce droit des obligations du jour, cela s'est bien passé ?
?
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jeudi 9 décembre 2010
Neigeux, complexe, avec des effets juridiques.
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mardi 7 décembre 2010
Des sujets de droits fondamentaux du CRFPA 2010 à relater ?
- la motivation des décisions de justice
- peut-on qualifier publiquement le président de la république de voyou ?
- vie privée et licenciement, à l'aulne de la jurisprudence sur les entreprises de tendance
et encore bien d'autres...
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Cette consultation des copies, cela a donné quoi que ne sachaient déjà les candidats sur leurs prestations ?
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Un point qui semble avoir échappé à certains commentateurs, encore faut-il procéder à sa vérification :
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lundi 6 décembre 2010
2010-12-06 : du remu-méninges sur le site de l'IEJ de l'UPEC...
Au moins un reste accessible.
.
Nous sommes encore dans un univers d'êtres humains et bien que le décret du 1er octobre 2010 organise la pauvreté de la justice, c'est bien dans des ressources humaines qu'il nous revient de rechercher l'intelligence novatrice.
Tout cela, ce n'est que pour bavarder, en apparences, car derrière émergent des idées concrètes sur une situation périlleuse et actuelle.
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Merci aux commentateurs anonymes de la fin de semaine 49 de 2010.
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samedi 4 décembre 2010
CRFPA 2010 : consultation des copies - très rapide - le mardi 07 décembre à 12 heures.
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Analyse sommaire des résultats d'admission du CRFPA 2010 de l'UPEC de Créteil
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vendredi 3 décembre 2010
CRFPA 2010 - UPEC de Créteil : vendredi 03 décembre 2010 - résultats d'admission.
Il convient de vous laisser le soin de contrôler ces propos par vous-mêmes, vos propres calculs).
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Pour comprendre le mécanisme de la lecture... soit-disant !
gymnastique et on a vite compris le mécanisme...enfin, ceux qui sont
intelligents....
Subject: petit test
lecture = lcetrue
Ce paragraphe, tu l'as certainement lu et réussi à le lire un jour ou
l'autre.
En voici un autre semblable.....vu notre âge qui avance, voyons si notre
mémoire
est encore alerte.
cuocuo
si vuos pvueoz lrie ccei, vuos aevz asusi nu dôrle de cvreeau.
Puveoz-vuos lrie
ceci? Seleuemnt 56 porsnenes sur cnet en snot cpalabes. Je n'en cyoaris
pas mes
yuex que je sios cabaple de cdrpormendre ce que je liasis.
Le povuoir phoémanénl du crveeau huamin. Soeln une rcheerche fitae à
l'Unievristé de Cmabridge, il n'y a pas d'iromtpance sur l'odrre dnas
luqeel les
lerttes snot, la suele cohse imotprante est que la priremère et la
derènire
letrte du mot siot à la bnone palce. La raoisn est que le ceverau hmauin
ne lit
pas les mtos par letrte mias ptuôlt cmome un tuot. Étonannt n'est-ce pas?
Et moi
qui ai tujoours psneé que svaoir élpeer éatit ipomratnt! Si vuos poevuz
le lrie,
fitaes le svirue !!!Combien ont réussi à lire ce paragraphe ?
Si vous avez reussi, augmentez le numérateur 171226 en transférant le
texte
Deuxième texte ci-dessous
Voilà de quoi stimuler ton cerveau avant de commencer une nouvelle
semaine !
Si tu arrives à lire ceci, tu as l'hémisphère gauche bien développé !
Vous
devez le transférer uniquement si vous réussissez à lire ce message. Il
paraît
que si vous y réussissez, cela indique que vous avez l'hémisphère gauche
bien
développé et que vous êtes intelligent. Si vous réussissez à lire les
premiers
mots, le cerveau déchiffre les autres. Amusez-vous !
UN B34U JOUR D'373,
J'37415 5UR L4 PL4G3 37 J3 R3G4RD415 D3UX J3UN35 F1LL35 JOU4N7 D4N5 L3
54BL3.
3LL35 CON57RU15413N7 UN CHÂ734U D3 54BL3, 4V3C 7OUR5, P4554G35 C4CH35 37
PON7-L3V15. 4LOR5 QU'3LL35 73RM1N413N7, UN3 V4GU3 357 4RR1V33 37 4 7OU7
D37RU17,
R3DU154N7 L3 CH4734U 3N UN 745 D3 54BL3 37 D'3CUM3.J'41 CRU QU'4PR35 74N7
D'3FFOR7, L35 F1LL37735 COM3NÇ3R413N7 4 PL3UR3R, M415 4U CON7R41R3 3LL35
COURRUR3N7 5UR L4 PL4G3, R14N7 37 JOU4N7 37 COMM3NÇ3R3N7 4 CON57RU1R3 UN
4U7R3
CHÂ734U. J'41 COMPR15 QU3 J3 V3N415 D'4PPR3NDR3 UN3 GR4ND3 L3ÇON. NOU5
P455ON5
UN3 GR4ND3 P4R713 D3 NO7R3 V13 4 CON57RU1R3 D35 CHO535 M415 LOR5QU3 PLU5
74RD
UN3 V4GU3 L35 D3MOL17, L35 53UL35 CHO535 QU1 R3573N7 5ON7 L'4M1713,
L'4MOUR 37 L
'4FF3C71ON 37 L35 M41N5 D35 G3N5 QU1 5ON7 C4P4BL35 D3 NOU5 F41R3 5OUR1R3.
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mercredi 24 novembre 2010
mardi 16 novembre 2010
Aucun suivi des oraux cette année : désolé.
...
Les dates sont indiquées sur le site "officiel" de l'IEJ de l'UPEC de Créteil, là :
http://sites.google.com/site/iejcreteil/home
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vendredi 12 novembre 2010
Données démographiques 2009 sur la profession d'avocat.
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mercredi 10 novembre 2010
Allez lire les commentaires là : nous n'y sommes pour strictement rien.
C'est du 08 novembre 2010, et en réalité, les commentaires sont plutôt de ce matin :
http://cosal.net/?page=archives/actu&id=4073
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La montre.
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mardi 9 novembre 2010
"Il n'y a pas de fumée sans feu" : commentaire indigne d'un juriste !
Le proverbe renvoie à l'expérience : toute nouveauté est la conséquence d'une cause. Ici la fumée provient d'un feu. Le proverbe a la force de la logique pour lui et il faut bien le dire, l'expérience commune lui donne raison.
Cependant, nous garderons un peu de prudence. En effet, s'il n'y a pas de fumée sans feu, les pervers et les méchantes personnes peuvent détourner le proverbe pour atteindre leur fin. On connaît l'adage machiavélique : calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose. Et une fois qu'il reste quelque chose, rien n'est plus facile de présenter ce quelque chose comme la fumée d'un feu que l'on dira bien réel. Alors que dans ce cas, la fumée ne renvoie pas à un feu mais bien à un incendiaire qui se sert de la fumée pour se cacher.
C'est avec des proverbes comme celui-là que des personnes ont été conduites au suicide ne pouvant supporter les rumeurs injustes accompagnées de leur auto justification "il n'y a pas de fumée sans feu". Le proverbe agit alors comme la dernière étape avant le lynchage public.
Au fond, ce proverbe fonctionne bien dans le domaine des sciences physiques. Mais dans le domaine des hommes, on se gardera de l'employer sans une grande prudence.
.
(NDLR : Désolé pour le commentaire anonyme déposé le mardi 09 novembre 2010 à 11 heures 31 qui tente de nouveau de stigmatiser une matière alors que bien d'autres sont concernées et que bien d'autres sont épargnées. Parmi les matières concernées, et même hors de ces matières, certains enseignants parlent bien aux candidats de "stratégie", y compris lors de la réunion de présentation, car personne n'ignore, ni du côté enseignants, ni du côté candidats, que certaines matières sont plus "payées" que d'autres. Il n'y a pas de raison de contester une "réalité", mais de comprendre en quoi cette réalité doit être prouvée : c'est une toute autre affaire d'apporter la preuve.
Ce commentaire redondant et stigmatisant ne peut être conservé, ne vous en déplaise, avec en complément le conseil de lire de nouveau le commentaire du proverbe reproduit ci-dessus à titre de citation, à partir de sa troisième phrase, le lire plus lentement peut-être pour mieux en comprendre la portée.
Enfin, rien ne vous interdit de vous plonger dans la jurisprudence de l'examen du CRFPA et tenter de voir ce qui réussit, rarement, et ce qui échoue fréquemment. La stigmatisation ne réussit jamais, les faits quelquefois, mais pas toujours car le juge sait bien ce qu'il adviendrait s'il devait toujours être juste : on le "taxerait" de partialité, car la réalité concrète est bien souvent cachée là : plutôt que d'obtenir la justice, il faut souvent se satisfaire d'une décision de justice.
Il est vrai que nous avons beaucoup de mal à appréhender que dans de nombreux cas, la Cour de Strasbourg ne se montre pas plus juste qu'une autre, ne voyant pas "objectivement" de violation des droits de l'homme là où l'une d'elles serait "flagrante". On ne peut pas se satisfaire que de mots, bien que concrètement, ce soit souvent la cas : comprenez-vous ou non le faussé qui existe entre une décision et ce qu'ont dû endurer les justiciables et qui n'est pas reproduit, qui n'est connu qu'au stade de l'instruction et n'est pas public, n'est jamais public ?
La "honte", mais aussi le "scandale" par exemple, ne sont pas des arguments de droit.
Le juge ne tranche pas des questions de "honte" ou de "scandale", ne se préoccupe pas des "efforts surhumains", du "malheur", mais en revanche des litiges ayant une base légale.
Cela montre bien que nos études très théoriques ne sont pas adaptées à l'appréhension pratique du droit qu'il faut aller faire respecter et trancher, soit devant une juridiction, soit par la voie bien plus importante concrètement des méthodes alternatives au règlement des litiges, et notamment la médiation, inapplicable ici.
Il ne s'agit pas de remettre en cause vos propos, mais plutôt de tenter concrètement de voir ce qu'ils peuvent induire à eux seuls : rien d'autre que de la stigmatisation, ce qui est déjà beaucoup, peu utile, ne fait que faire écho à ce proverbe qu'il convient de bannir dans notre domaine.)
Merci pour le "jugement" de "coquille vide".
Quant à la prétendue "frustration légitime de dizaines d'étudiants", il aurait été peut-être plus véridique d'évoquer la déception légitime de candidats sérieux et non admissibles, et la déception de candidats qui ont participé sans avoir véritablement aucune illusion sur leur résultat, sauf "coup de chance" qui ne peut pas concerner 127 candidats.
Très sérieusement, on sait depuis très longtemps que le taux d'admissibilité au CRFPA n'a jamais dépassé les 35 % à l'IEJ Paris XII (nouvelle UPEC). Les candidats ont tout de même pu se compter dans l'amphithéâtre au début octobre 2010 et sans aucun mystère savoir qu'entre un sur quatre et un sur trois ne serait pas admissible à cet examen qui vise avant tout à ÉLIMINER.
Ce cybercarnet ne vous convient pas : ne le consultez pas, et pour les prétendues informations, prenez les ragots et rumeurs de couloir en attendant de créer vous-même un cybercarnet, ou mieux encore un site, et combler un prétendu "déficit d'information".
Ce cybercarnet ne prétend pas "informer" des ragots et rumeurs, et pour les informations juridiques habituelles, les sites des assemblées parlementaires, des juridictions d'exception, des AAI, des organes constitutionnels, des éditeurs de revues spécialisées, sont, réunis, parfaits.
Quant aux bannières ou pages que se permet d'ouvrir Google en toute impunité, adressez-vous à Google, car le temps pris ici est donné généreusement, sans aucune vanité, probablement pour rien et ne sert à rien.
Ce cybercarnet n'a jamais été à la recherche d'un lectorat. Tapez ce mot dans la ligne de recherche implantée d'office par Google dans sa matrice, et certainement le trouverez-vous beaucoup de fois et toujours dans la même approche : on ne vous demande rien et on vous laisse vous exprimer, mais on n'a pas les moyens de s'offrir un procès en diffamation ou injure, et on ne vous en laissera pas l'opportunité tant que faire se peut.
Vous pouvez facilement imaginer :
1- que les admissibles vont être très satisfaits de lire ce type de commentaires qui leur donne éventuellement à penser que les non admissibles ont ce qu'ils méritent, n'étant pas de bons stratèges ;
2- que les enseignants-correcteurs resteront impassibles devant de tels commentaires en se disant que décidément, des juristes capables d'écrire cela ne méritent pas d'obtenir leur examen.
En réalité, c'est encore plus complexe puisqu'on se donne une "marge d'erreur" assez importante d'avocats qui n'y arriveront pas dans un système commercial où tout est permis, encore que la déontologie soit remise à l'ordre du jour aujourd'hui comme régulateur "naturel".
Pour aller plus loin encore, consultez ce fameux site du syndicat COSAL et découvrez les procédures d'omission dont il est actuellement fait état, notamment dans l'article circonstancié du 06 novembre 2010.
On ne tire aucun profit de quiconque sur ce cybercarnet, ni du syndicat COSAL, ni de Google.
Il est incontestable que ne pas être admissible est un obstacle majeur à l'entrée dans la vie professionnelle attendue ; mais ce cybercarnet ne peut rien y changer.)
Quitte à vous décevoir, s'agissant de toute flagornerie, elle est inutile et non sollicitée, les "informations" étant mises à disposition et chacun pouvant en faire ce qu'il en veut s'il les comprend convenablement - sous réserve qu'elles soient suffisamment claires et accessibles.
Sur la stratégie, on comprends votre étonnement, mais :
- l'accès au CRFPA n'est pas un concours, mais un simple examen dans le cadre d'un IEJ.
Il est clair que dans le cadre d'un concours, l'organisation serait bien plus affutée, et que par exemple, un code ni annoté ni commenté serait bien comme il est dit dans le texte réglementaire et non avec du surlignage et des notes repositionnables largement toléré ; une prescription de notation serait parfaitement respectée avec toutefois un paramètre complémentaire dont on a déjà eu l'occasion d'écrire quelques mots : même dans les concours - nationaux particulièrement, mais également régionaux ou autres, il existe des réunions de péréquation afin d'harmoniser les notes ; au final, on "triche" sur les notes et le Conseil d'État n'y a jamais rien vu de mal à en dire !!! Pour le coup, cette péréquation est totalement injuste puisqu'elle ne vise pas à retenir les meilleurs, mais à équilibrer territorialement les candidats. Cette péréquation n'est pas pratiquée pour tous les concours : ne lisez pas autre chose !
Pour revenir à notre sujet, un candidat-tricheur dans un concours serait noté comme tel (zéro éliminatoire de rigueur, pour le moins) et ferait l'objet d'une procédure de la part de l'organisateur ; c'est le candidat-tricheur qui devrait s'expliquer, et non pas les autres concurrents - n'essayez pas de les qualifier de "victimes" car ce n'est pas le terme qui convient puisqu'on n'est pas victime du candidat-tricheur, mais témoin d'une organisation pas assez rigoureuse.
Pour donner un exemple abstrait qui mettra tout le monde d'accord sur les notations, sauf les ex-correcteurs, certains concours de fonctionnaires ne sont tout simplement pas ouverts pour l'exercice 2010-2011, y compris dans les ministères régaliens, la politique de suppression d'un fonctionnaire sur deux étant réaffirmée vivement, comme personne ne peut l'ignorer, conjugué avec l'allongement de l'âge du départ en retraite, questions qui seront probablement posées concrètement pour l'oral d'exposé-discussion avec les examinateurs, avec un complément bien connu maintenant : qu'en pensez-vous, vous futur avocat ?
- cet examen n'est pas "national", mais régional, le CRFPA de Paris ayant pour particularité nationale de s'auto-dénommer "EFB" ; il est probable qu'il existe une certaine "organisation" d'une part entre les CRFPA, et d'autre part à l'intérieur des CRFPA, pour distribuer le "gâteau", le "R" signifiant "régional" ; dans une certaine mesure, il faut gérer le stock et le flux ; on sait d'expérience qu'il n'est pas très bien géré, ou qu'il peut difficilement être mieux géré puisque les avocats passés d'âge continuent néanmoins à exercer : il ne faut pas oublier qu'ils bloquent le renouvellement à leur avantage personnel, et peu importe les dégâts sur les générations suivantes, y compris leurs propres enfants, qu'ils placent prioritairement néanmoins ;
- sur la "stratégie", malheureusement, et c'est trop tard pour les non admissibles de ce CRFPA 2010, vous n'avez pas assez bien écouté la réunion de présentation où la question est souvent posée par des candidats déconfits l'avant dernière année (oui, le 15 octobre, ce ne sont pas les candidats de fin d'année qui vont venir à cette réunion alors qu'ils ne connaissent pas encore les résultats d'admissibilité en cours, mais des candidats de l'avant dernière cession) : avec une bien meilleure écoute, loin des textos incessants et du brouhaha permanent, vous auriez entendu cette phrase de contexte qui vous aura échappé : il y bien une stratégie à adopter dans le choix des matières au choix. Pour mieux vous en rendre compte, questionnez des admis (qui en général sont peu loquaces sur leur choix de matière lorsqu'ils ne disent pas tout simplement un "gros" mensonge à ce sujet) sur la stratégie adoptée dans les matières au choix : si vous obtenez des réponses véridiques, on vous dira que malgré l'attrait pour telle ou telle matière, on en a choisi une autre pour les écrits car on sait par avance qu'elle "payait" mieux. Personne parmi les candidats ne prétend changer cet état de fait qui perdure certainement depuis de (trop) nombreuses années. Soyons toujours prudents dans les formulations bien que les choses soient connues des "anciens", des redoublants, etc.
Peut-être l'ignoriez-vous : maintenant, vous le savez clairement, ce que d'ailleurs des enseignants spécialisés ne cachent pas !
- sur des faits de rectitude ou autre, on ne les conteste pas en tant que tel : chacun à des yeux et des oreilles et peut s'en servir ; mais on tente de vous expliquer que cela ne suffit pas devant un magistrat, surtout pour une procédure exclusivement écrite, les éventuels "bavardages" ("plaidoiries" serait le meilleur terme) à une audience, malgré toute la science qu'ils révéleraient, s'avérant illusoires puisque non écrits et donc non retenus par la juridiction, règle partiellement processuelle et contestable - mais toujours avec le problème de preuve si le discours n'est pas "acté" par un greffier. Il est certain que cette question est difficile à appréhender lorsqu'on n'est pas dans le "bain", et lorsqu'on y est, on doit souvent abjurer toutes ses valeurs pour découvrir que véritablement, la justice est rare : ce qui est rare est d'autant plus important pour être défendu avec acharnement, comme le diffuse ce mardi 09 novembre 2010 au soir une émission en direct sur France 2 intitulée "Prise directe - Face à l'injustice : des hommes et des femmes..." présentée par Madame Béatrice SCHöNBERG.
Attention néanmoins au retour en force de la déontologie dans un but parfaitement avoué de compléter partiellement le tri que ni le CRFPA ni le CAPA n'auraient pu faire. Question qui sera probablement abondamment abordée lors des oraux d'exposé-discussion avec les examinateurs pour ce CRFPA 2010.
Encore une fois, la plupart des enseignants, souvent également avocats, n'en font pas mystère dans leurs cours, et même quasiment aucun : le ton est plus libre lors des cours de réactualisation car les enseignants savent qu'il va falloir abattre certains rêves, et ne plus se bercer de l'illusionnisme des arrêts qui ne reflètent jamais les souffrances endurées par les justiciables, les coups bas de certains auxiliaires de justice qui ne cherchent qu'à tromper les magistrats, qui pour certains n'en ont cure. Une chaîne de coups bas et de dilettantisme, ce n'est pas simple à dénouer. Un célèbre Garde des Sceaux a tenté de s'y livrer il n'y a pas si longtemps : l'échec est total.
.
Certainement savez-vous qui est par ailleurs le Directeur de l'IEJ de l'UPEC : il compte sur la place parisienne et au-delà...
Bref, lâchez un peu les textos et autres Twitter... pour revenir à une réalité que vous avez voulu croire autre.
Sortez des croyances et questionnez les enseignants, mais ne tombez pas dans l'impertinence. Un enseignant n'est pas un ennemi et est passé par là, peut-être dans un contexte moins difficile, peut-être bercé de plus d'illusions réalisables.
Désolé de dépasser un peu le cadre de ce commentaire, mais il faut tenter de comprendre qu'il se joue des choses importantes pas très loin et que cela aura un effet concret sur une décennie d'avocats au minimum.)
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Cybercarnet21
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dimanche 7 novembre 2010
À la lumière de certains commentaires, on peut comprendre que l'entrée dans la vie active est une chose parfaitement sérieuse.
S'il y avait eu des zéros sur la liste, cela aurait été une autre affaire, comme quoi l'IEJ sait y faire si éventuellement, un candidat peut voir sa copie déchirée, peut-être sans pour autant être exclu manu militari (c'est excessif) de l'amphithéâtre d'examen. Les examinateurs/surveillants/correcteurs ne sont pas nés le matin de l'examen : ils connaissent déjà pas mal d'airs d'une musique que personne n'apprécie d'entendre. Car quel autre candidat peut témoigner, alors qu'il est affairé sur son sujet, qu'il fait une pose pour observer longuement ce qui se passe autour de lui ou devant lui et en maîtriser tous les tenants et aboutissants de ce qu'il voit sur l'instant, peut-être filme la scène avec son téléphone portable (interdit dans la salle d'examen) ?
Pourquoi pensez-vous qu'il soit interdit d'enregistrer les audiences, ce qui d'ailleurs semble plus relever du mythe que de la réalité concrète, mise à part pour les audiences pénales, expressément prévu et réprimé par le code pénal ? Pensez-vous qu'il ne s'y dit que des choses censées de part et d'autre de la barre ?
Si des candidats ont été vus et considérés comme tricheurs, il sembleraient que pour ceux-là, l'affaire soit faite sans qu'il soit besoin de recourir à une justice imparfaite.
Si des conditions objectives sont réunies, effectivement, un contentieux peut être envisagé avec toutes les précautions nécessaire et sans "témérité". Maîtrisez-vous les conséquences concrètes d'un contentieux "téméraire" ?
Maîtrisez-vous même la rédaction d'une requête ? Cinq années d'études de droit sans voir la couleur d'une requête, dans la seule abstraction des livres, dont certains sont incontestablement très orientés sur la pratique professionnelle... et des codes. Est-ce suffisant pour rédiger une requête recevable ?
Et cette recevabilité, quant est-elle jugée ?
Le temps qu'il a fallu pour instruire l'affaire et d'abord voir sa recevabilité ne s'est-il pas écoulé de manière telle qu'en cas d'irrecevabilité, le délai pour déposer une requête recevable est forclos ?
Et cette forclusion, quant est-elle jugée ?
Aujourd'hui, il faut s'en rassurer ou s'en inquiéter, beaucoup de requêtes sont reçues par les juridictions et déclarées recevables malgré un formalisme processuel très incomplet : les magistrats s'en contentent bien souvent, à défaut de quoi on irait vite leur soutenir que leur pointillisme serait contraire à la lisibilité de la loi que nul n'est censé ignorer, et surtout aux droits fondamentaux comme le fameux article 6... Paradoxal, tout cela, n'est-ce pas ?
Il existe des cas d'annulation, rares, très rares, car la preuve est bien plus difficile à apporter qu'il n'y parait en apparences. Mais voilà quelques données qu'il faut appréhender dans leur dimension contentieuse. Il existe d'autres données, peut-être moins essentielles.
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Cybercarnet21
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samedi 6 novembre 2010
Un petit déchaînement sur des questions bien concrètes traitées dans l'abstraction juridique.
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Cybercarnet21
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Il y a certainement plus à dire sur ces résultats d'admisibilité au CRFPA 2010 de l'IEJ de l'UPEC à Créteil : aussi, à vous la parole.
Ce cybercarnet n'a pas vocation à faire "bouger les lignes" fixées par l'EFB à tous les IEJ qui en dépendent.
On peut facilement penser que le "gâteau" est pré-réparti entre eux, avec des influences variables d'une année sur l'autre et qui amènent des candidats à faire du nomadisme.
Un IEJ est accessible ou ne l'est pas, le candidat peut faire sa préparation dans de très bonnes conditions ou non, le candidat a les moyens de s'offrir une préparation privée lui garantissant un pourcentage avec ce que l'on en sait concrètement : un pourcentage est un pourcentage alors que ce qui est recherché est la réussite à l'examen d'entrée au CRFPA, et non pas le pourcentage de réussite à l'examen d'entrée au CRFPA...
C'est long, ce n'est pas simple, et la suite ne s'annonce pas nécessairement très florissante, même si elle est souvent bien meilleure que ce qu'il en est dit, la déontologie étant souvent aveugle s'agissant des rémunérations en espèces... dont y compris certains "très grands" avocats sont taxés de bénéficier sous couvert du média internet, qui s'il donne une certaine liberté de parole, ne démontre souvent rien de concret, rien qui justifie la moindre poursuite pénale sur de simple allégations.
Théoriquement, nos chères études de droit le montrent plus ou moins, on ne lance pas une affaire sur des allégations mais sur des faits : la réalité concrète est bien contrastée.
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Cybercarnet21
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vendredi 5 novembre 2010
Un "petit" commentaire : l'admissibilité...
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Cybercarnet21
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Convocation aux "petits oraux" : il manquerait une partie de la liste en DPF...mais pas seulement...
Merci pour ce commentaire utile à tous.
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Cybercarnet21
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56 admissibles - CFRPA 2010 : IEJ de l'UPEC à Créteil (ex-Paris XII) - résultats d'admissibilité
12 pages qui semblent correspondre à la totalité des résultats, la première page comportant 14 candidats dont le premier nom de famille commence par "AB", et la dernière page comportant 19 candidats dont le dernier nom de famille commence par "ZU".
La plus faible note d'admissibilité est de 4,5 sur 60, et correspond à un candidat qui a fait acte de présence, tandis que la plus forte note d'admissibilité s'élève à 42,5 sur 60.
Pourquoi une présentation par page sinon pour remarquer que certaines pages ne contiennent que des "ajournés", remarque sans importance, mais entendue ici ou là de certains candidats, et qui montre pour le moins une observation d'ensemble des résultats proche de l'analyse.
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page 06 | FR à HA | 5 | 10 | 15 | 33,5 | 16,5 |
page 07 | HA à LA | 5 | 10 | 15 | 37 | 11 |
page 08 | LE à MA | 8 | 7 | 15 | 34,5 | 18,5 |
page 09 | MA à OI | 0 | 15 | 15 | 29 | 12 |
page 10 | OU à RI | 3 | 12 | 15 | 41 | 7,25 |
page 11 | RO à SO | 0 | 15 | 15 | 28,75 | 11 |
page 12 | SO à ZU | 4 | 15 | 19 | 41,25 | 11 |
56 | 127 | 183 |
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Libellés : 56 admissibles
mercredi 20 octobre 2010
Que voulez-vous savoir que vous ne sachiez pas déjà ?
.
Dernière précision : le lectorat n'a aucune importance. Il y a bien longtemps que les "compteurs" ne sont plus consultés, l'administration utilisant une autre voie qui n'impose pas d'afficher le cybercarnet - d'où d'ailleurs des fautes de frappes qui ne sont pas vues. Il semble que seul Google s'y intéresse et ouvre en arrière-plan des pages publicitaires intempestives. Souvenez-vous, il y a longtemps déjà, des sollicitations pour "cliquer" sur les bandeaux annonces, puis de la suppression pure et simple des dits bandeaux, pollution qui dissipe de la lecture du fond, n'importe quel stage professionnel venant vous expliquer le pourcentage d'informations non comprises en raison des animations. Il faut apprendre à ne pas les lire, et peut-être lire ailleurs des informations similaires, contraires ou concordantes, qui sait. Ne nous fâchons pas pour si peu !
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vendredi 8 octobre 2010
Merci aux informations sommaires concernant les sujets d'admissibilité au CRFPA 2010 de l'UPEC de Créteil.
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jeudi 7 octobre 2010
Jeudi 07 octobre 2010 : admissibilité au CRFPA 2010 de l'IEJ de l'UPEC à Créteil : dernière ligne droite avec la redoutée note de synthèse juridique.
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mercredi 6 octobre 2010
L'art de mettre sous le tapis la poussière : justiciables ingrats et rêveurs.
La situation n'est pas toujours la même et il n'est pas possible de systématiser.
.
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lundi 4 octobre 2010
Quel type de sujet, finalement ? Combien de candidats présents (à la louche) ?
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dimanche 3 octobre 2010
Quelques heures avant de mettre en oeuvre les connaissances acquises et quelques réflexes.
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vendredi 1 octobre 2010
Des pronostics sur les sujets 2010 ???
Désolé pour la pauvreté du discours, mais une demande de récusation pour suspicion légitime retient toute notre attention ainsi qu'une requête subséquente, ou l'inverse, mais cela, c'est de la procédure).
C'est une réflexion au coin du bon sens, trop souvent ignorée par certains magistrats véritablement puissants.)
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Ennuyeux : le site "officiel" du CRFPA de l'UPEC de Créteil ne dit pas tout : où est l'information sur la lettre tirée au sort ?
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Quelques heures avant les examens écrits du CRFPA 2010 de l'UPEC de Créteil: début le lundi 04 octobre 2010 à 13 heures.
La mise en œuvre d'une année d'étude.
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La lettre déjà tirée au sort pour l'oral d'exposé discussion avec les examinateurs : lettre "O".
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mardi 28 septembre 2010
Pour une même matinée d'audiences, trois avocats sortent de la salle en se plaignant ouvertement à qui veut l'entendre d'un problème récurent de la juridiction...
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samedi 25 septembre 2010
Rideau...
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lundi 20 septembre 2010
Toujours une difficulté avec la date réglementaire limite d'inscription dans un IEJ, lorsqu'il reste de la place.
31 décembre : mais qui le dit ?
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samedi 11 septembre 2010
Oui, ce cybercarnet perd de l'intérêt, mais il ne tient qu'à vous d'aller jusqu'à la faculté et de faire les sujets.
Ce cybercarnet ne sert pas de "boniche" aux lecteurs.
Faute de frappe impardonnable et qui probablement n'aurait jamais existé en écriture manuscrite.)
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mercredi 8 septembre 2010
lundi 6 septembre 2010
Dernier examen blanc du CRFPA 2010 : moins d'effet de la grève prévue le 07/09/2010.
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mardi 31 août 2010
Quelques jours avant le dernier examen blanc du CRFPA 2010.
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2010-08-31 : dernier jour du mois d'août 2010 - dernières semaines de révisions.
La profession n'est pas en attente d'un concert d'illusions, mais d'entreprises concrètes de revalorisation, notamment par la définition d'un périmètre d'intervention aujourd'hui attaqué d'un côté par les notaires, de l'autre par les experts-comptables, sans même parler des missions réalisées depuis l'étranger à force de dumping social.
Sujet complexe que personne ne tente de juguler aujourd'hui.)
Bien sûr qu'il faut parler d'un numerus closus "officiel" après celui officieux qui a sévi depuis tant d'années et qui ne faisait que susciter l'incompréhension.
Et comme chaque médaille à son revers, il faut immédiatement songer aux droits qui vont alors être ainsi créés, d'un côté comme de l'autre, de l'examen du CRFPA qui ne pourra plus dissimuler son caractère de concours... et qui probablement au final ne donnera pas une situation plus favorable aux professionnels du droits sur le territoire français où le périmètre se réduit dangereusement...
Quant au CAPA, à une collaboration dans un contexte si porteur, la formalité n'en sera que plus aisée.
Qui peut y croire ?
Mais qui aujourd'hui peut avoir une "vision" sur l'évolution des trois à quatre prochaines décennies ?
C'est peut-être là le cœur de la question : des querelles intestines et aucune vision même à plus brève échéance sur l'évolution de la profession, accompagnée d'une inflation législative mégalomaniaque.)
Enthousiasme et la tête bien faite : deux atouts pour réussir cet examen qui va incontestablement être plus sélectif alors que d'aucun se plaignait déjà qu'il l'était beaucoup.)
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