lundi 31 mai 2010

Le droit humanitaire ne résiste pas au droits à être belliqueux, le nombre de morts étant indifférent.

Cette volonté affirmée d'être belliqueux, avec des morts inutiles.
Ces morts inutiles dans un cadre humanitaire ne sont-elles pas finalement le reflet de vies inutiles ?
Si ces vies n'avaient pas existé, il n'y aurait aucune raison aujourd'hui de les pleurer.
Dans un cadre humanitaire, même le droit international n'est rien fasse aux armes de guerre.
Cette volonté belliqueuse ne vise certainement qu'à dissimuler une autre réalité, qui vue d'ici, nous échappe totalement : les colonies s'étendent, nonobstant les résolutions des Nations Unies, dont l'existence de leur réalisation concrète même nous échappe.
Un droit à la guerre est tout de même curieux alors que le droit vise à l'éviter.
Dans cette période de déséquilibres des anciens équilibres Nord-Sud, nous allons vivre encore de nombreuses "perturbations", et probablement sera-t-il difficile de compter les morts.
De quel droit attaquer une flotte, en apparences pacifique, apportant des matériaux de construction, sinon afin d'empêcher ces constructions afin de pouvoir en réaliser d'autres par d'autres ?
Est-on dans le champ du droit ? Peut-on invoquer un quelconque droit ?

Étonnant et maleureux, ces faits divers de braquages à armes de guerre.

Il y a quelques années, un texte réglementaire (à retrouver) autorisait l'utilisation de moyens de transports de fonds sécurisés et piégés. Des sociétés spécialisées dans la fabrication de ces matériels avaient connu une croissance exponentielle.
Aujourd'hui, les faits divers relatés nous parlent de nouvelles vagues de braquage sans plus aucun système embarqué de protection des fonds.
Ce silence sur cette question est pour le moins surprenant. Car lorsque cette question avait été médiatisée, il y a plusieurs années, elle avait fait polémique, suite d'ailleurs à plusieurs faits divers sanglants, et l'on pouvait penser que les précautions de sécurités avaient été prises.
Mais aujourd'hui, on nous parle de braquages "à l'ancienne", accompagné d'une violence absolue.
Où sont donc passés ces sécurité embarquées qui visaient à ce que les convoyeurs ne se fassent plus "tirer comme des lapins" ?
Ces évènements malheureux vont toutefois avoir pour effet incontestable de réinjecter du cash dans la trésorerie de certains défenseurs... (propos indignes pour n'importe quel postulant à cette fière profession).

vendredi 28 mai 2010

Correction de la troisième note de synthèse ce vendredi 28 mai 2010

Si vous avez des informations sur la correction de cette 3ème note de synthèse dans le cadre de la préparation au CRFPA 2010 de l'IEJ de l'UPEC de Créteil,  n'hésitez pas à le faire savoir, par un commentaire, surtout anonyme ou sous un pseudonyme.

Oui, on va enfin pouvoir...

jeudi 27 mai 2010

Désolé pour la modestie de l'affichage : il faut savoir aussi vivre sans information.

Qui actualise à ce point la page de ce cybercarnet pour faire monter en flèche un compteur qui ne le mérite pas ?
Vous inquiétez-vous pour quelque chose ?
Voulez-vous lire des questions (sachant que quelques candidats ont tout de même eu la bonne idée de venir assister aux oraux, oraux qui "ratissent" dans de nombreuses matières (pas toutes) afin de voir ce qui intéressait le jury du jour, et PRENDRE DES NOTES) ?
Voulez-vous donner des informations qui, il faut que ce soit écrit de nouveau, ne changera rien à une réussite qui n'est que personnelle dans cet ensemble pléthorique d'inscrits au CRFPA 2010, réussite relative, si l'on connait un peu le "carnage" dans la profession ces derniers temps ?
Du droit, oui, un miroir aux alouettes, non.
En l'occurrence, l'effet "miroir" vient aussi du nombre incontestablement insuffisant de magistrats soumis à de l'"abattage" judiciaire.
Il y en a qui font "du chiffre" et d'autres qui tentent de faire des honoraires convenables, tandis que certains persistent à vouloir se "gaver" (plus faiblement, certes, à peine, puisqu'ils "tirent" sur les collaborateurs) sans la moindre confraternité.

mercredi 26 mai 2010

Si au moins, une chose tourne bien, c'est le planning en ligne.

Initiative heureuse même si la "hiérarchie" ne l'a pas approuvée.
Comme quoi il faut savoir désobéir, surtout en l'absence d'ordre, dans le silence, lorsque le but de donner des informations essentielles, qui autrement données, le seraient en tout état de cause par voie d'affichage, remplit la nécessité d'information des candidats au CRFPA de l'IEJ de l'UPEC de Créteil.
Ici, ces derniers temps, et depuis plusieurs mois déjà, on vous délaisse. On en a conscience : ce cybercarnet ne remplit plus convenablement son objet.
Cela devrait revenir dans quelques temps, mais des affaires prenantes mobilisent l'attention et n'invitent pas à la dispersion.
L'actualité juridique est également en récession, probablement durable, et les fastueuses agapes du Barreau de Paris au Grand Palais pour le bicentenaire ne devraient rien y changer.
MAM est en panne, et comme l'a dit un commentaire avisé, il n'est jamais bon de réagir à des faits divers (au printemps), cette réaction allant dans le sens opposé à la stabilité du droit qui est le seul moyen que chacun ait le temps d'en prendre connaissance, encore sa perfection (relative) doit-elle néanmoins être recherchée.
On ne peut pas se satisfaire d'une justice "humaine" qui dispose d'un pouvoir de sanction si important sans en être jamais responsable. La Justice doit rechercher la perfection, à défaut de quoi, elle n'est pas la Justice.
Aussi, dès l'apprentissage au CRFPA, l'utilisation des outils de communications est-elle la bienvenue et bien utilisée, peut montrer un certain exemple... à suivre.

mercredi 12 mai 2010

Il faut avoir le moral alors que la crise montre maintenant son vrai visage.

Les bleus, verts rouges, jaunes, cet opium du peuple, ne doit pas nous dissiper de questions plus prégnantes sur un avenir en devenir.
Encore aujourd'hui, la question des moyens donnés à la justice se pose au-delà des projets et promesses qui visent à expédier une justice qui ne peut s'en satisfaire : voir par exemple,
Et on devrait rester béats devant les fracas qui s'annoncent !

4ème examen blanc de note de synthèse au CRFPA 2010 : préinscriptions ouvertes.

Affichage de la liste à servir pour le 4ème examen blanc de note de synthèse de l'IEJ de l'UPEC de Créteil pour le CRFPA 2010, sur le mur du secrétariat.

samedi 8 mai 2010

Des informations, peu d'informations dans un contexte de submersion d'informations.

On voudrait tout savoir sur tout et en réalité ignorer les fondamentaux qui seuls comptent.
Quelle nécessité de vouloir tout savoir, y compris sur l'IEJ de l'UPEC (ex-Paris 12) de Créteil, alors que les questions sont moins l'accès à l'EFB que de trouver un premier emploi correctement rémunéré, dont le seuil ne devrait être inférieur à 1.500 euros nets ?
Ce seuil peut apparaître "faible", mais au moins est-il réaliste.
Les temps sont durs, l'AJ est faible, et les juristes globalement et durablement maltraités.
N'avez-vous pas entendu le système mis en place et auquel la réforme du CRFPA contribue largement : faire faire le travail de fourmis par les stagiaires qui se succèdent en permanence, et ainsi éviter l'embauche de collaborateurs ?

jeudi 6 mai 2010

Et ce sujet pratique du jeudi 06 mai 2010 dans le cadre du 3ème examen blanc du CRFPA 2010...

Quels sujets...
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- DT : cas pratique - société Euro : deux salariés licenciés consultent leur avocat...
- DPF : cas pratique - Attulle-Rimet : toujours des cas éprouvants...
- PCS : commentaire d'un extrait de l'arrêt Ch. Mixte n° 03-15602 du 08/06/2007
- DP : cas pratique - squatters-famille Flemmard-Pasclair
- DCE : cas pratique - Genovese - délégation de service public
- DCA : commentaire de l'arrêt Com n° 09-65949 du 30/03/2010
- DA : commentaire d'un extrait de l'arrêt CE n° 306517 du 13/11/2009
- DIP : commentaire des articles 16 et 17 de la proposition de règlement du Parlement et du Conseil... du 14/10/2009 -COM(2009)154 final
- DP : cas pratique - Tordu-Lapoire-Padakor
- DFA : trois exercices - IS, ISF, question.

mardi 4 mai 2010

Droit des obligations, procédures : l'entrainement était-il entrainant ?

Vous l'aurez compris :
en raison d'une présence virtuelle (qui ne mène pas loin), il faut compter sur la présence physique de gentils candidats...
Ces informations n'ayant en réalité aucune conséquence tangible sur l'examen final du CRFPA 2010 de l'IEJ de l'UPEC de Créteil.
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(NDLR : Merci au commentaire anonyme déposé le mardi 04 mai 2010 à 23 heures 34.
"Pauvre" est un peu juste, mais correspond à une réalité tangible qui devrait encore durer une partie du mois. Toutefois, des informations vous sont communiquées sur le jour d'après qui n'a pas moins d'importance que le jour d'avant).
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Les sujets brossés :
- droit des obligations : cas pratique - sujet posé par l'IEJ de Tours à la session 2009, cas qui part dans tous les sens sur des fondements contractuels.
- procédure civile : incertitude totale sur le sujet qui serait celui de la session de 2009 -  cas pratique !!! Merci d'indiquer le véritable sujet.
- procédure administrative et contentieuse : note ordonnée d'un extrait de deux pages de l'arrêt du CE du 07/02/2008, n° 297227, 297229, 297230, 297231, 297232, 297233, 297234, 297235, 297236. 
- procédure pénale : sujet théorique - "Faut-il supprimer le juge d'instruction ?"

lundi 3 mai 2010

Sujet de note de synthèse du lundi 03 mai 2010 de 10 heures à 15 heures ???

Merci à un gentil candidat, sans trop en demander, de bien vouloir en donner la substance, à savoir :
le sujet, l'amplitude des années couvertes par les documents, le nombre de documents, leur nature (dans les grandes lignes), le nombre de pages, y compris le sommaire.
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Comme il est dit dans le commentaire :
Le sujet de ce lundi 03 mai 2010 de 10 heures à 15 heures est :
"Le statut juridique de la langue française"
sujet donné en septembre 2002 à l'examen du CRFPA par l'IEJ de la faculté de droit de Saint-Maur (Paris 12),
dossier composé de 22 documents sur 35 pages, plus une page pour le sommaire, dossier moyen en densité d'écriture,
dont :
- 9 décisions de jurisprudence (CJCE, CC, Cass, CE) dont beaucoup en extraits,
- 10 textes légaux ou en extraits,
- un rapport et une chronique.