Cette parole ne peut être faite que sous la forme de commentaires, ce cybercarnet n'étant pas un site et ne pouvant fonctionner pas comme un forum.
Des commentaires "intelligents"...
Ce cybercarnet n'a pas vocation à faire "bouger les lignes" fixées par l'EFB à tous les IEJ qui en dépendent.
On peut facilement penser que le "gâteau" est pré-réparti entre eux, avec des influences variables d'une année sur l'autre et qui amènent des candidats à faire du nomadisme.
Un IEJ est accessible ou ne l'est pas, le candidat peut faire sa préparation dans de très bonnes conditions ou non, le candidat a les moyens de s'offrir une préparation privée lui garantissant un pourcentage avec ce que l'on en sait concrètement : un pourcentage est un pourcentage alors que ce qui est recherché est la réussite à l'examen d'entrée au CRFPA, et non pas le pourcentage de réussite à l'examen d'entrée au CRFPA...
C'est long, ce n'est pas simple, et la suite ne s'annonce pas nécessairement très florissante, même si elle est souvent bien meilleure que ce qu'il en est dit, la déontologie étant souvent aveugle s'agissant des rémunérations en espèces... dont y compris certains "très grands" avocats sont taxés de bénéficier sous couvert du média internet, qui s'il donne une certaine liberté de parole, ne démontre souvent rien de concret, rien qui justifie la moindre poursuite pénale sur de simple allégations.
Théoriquement, nos chères études de droit le montrent plus ou moins, on ne lance pas une affaire sur des allégations mais sur des faits : la réalité concrète est bien contrastée.
Ce cybercarnet n'a pas vocation à faire "bouger les lignes" fixées par l'EFB à tous les IEJ qui en dépendent.
On peut facilement penser que le "gâteau" est pré-réparti entre eux, avec des influences variables d'une année sur l'autre et qui amènent des candidats à faire du nomadisme.
Un IEJ est accessible ou ne l'est pas, le candidat peut faire sa préparation dans de très bonnes conditions ou non, le candidat a les moyens de s'offrir une préparation privée lui garantissant un pourcentage avec ce que l'on en sait concrètement : un pourcentage est un pourcentage alors que ce qui est recherché est la réussite à l'examen d'entrée au CRFPA, et non pas le pourcentage de réussite à l'examen d'entrée au CRFPA...
C'est long, ce n'est pas simple, et la suite ne s'annonce pas nécessairement très florissante, même si elle est souvent bien meilleure que ce qu'il en est dit, la déontologie étant souvent aveugle s'agissant des rémunérations en espèces... dont y compris certains "très grands" avocats sont taxés de bénéficier sous couvert du média internet, qui s'il donne une certaine liberté de parole, ne démontre souvent rien de concret, rien qui justifie la moindre poursuite pénale sur de simple allégations.
Théoriquement, nos chères études de droit le montrent plus ou moins, on ne lance pas une affaire sur des allégations mais sur des faits : la réalité concrète est bien contrastée.
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(NDLR : Désolé pour le commentaire anonyme déposé le samedi 06 novembre 2010 à 21 heures 49.Il cite le nom d'un enseignant, raison pour laquelle il ne peut rester visible sur ce cybercarnet. L'émetteur peut aussi bien le renouveler sans citer aucun nom.
Merci par avance de respecter une règle absolue d'anonymat pour tous commentaires, et y compris pour un acte positif d'un surveillant d'amphithéâtre.)
2 commentaires:
Oui il y a à dire!!!! Il semble qu'aucun fiscaliste n'ait eu en dessous de la moyenne...avec plusieurs au dessus de 15!!!qu'est ce que cela signifie???Tricherie? Epreuve plus simple que les autres matières de spécialité? L'égalité est bien absente et les quotas sont toujours là!!!
ah et bien il n´y aura pas que moi que ca aura fait sourciller! comment se fait-il que les fiscalistes soient capables de commencer à rédiger avant d´avoir recu le sujet?? comment se fait-il que des brouillons soient mis au milieu de deux candidats qui se cachent à peine de copier??
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