mercredi 20 janvier 2010

De l'humour, certes, mais des réalités sont là.

Nouvelle litanie : la "crise" serait une fausse crise permettant d'alimenter artificiellement la création de crédit. On peut le penser, mais les dégâts sociaux semblent tout de même réels.
L'aspect "apprécié" d'une minorité, c'est le recrudescence des braquages qui alimentent tout un circuit économique et juridique entre les assureurs et les assurés. On ne nous parle plus de dégâts humains... ce qui ne signifie pas qu'il n'y en ait pas.

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