Il vous était annoncé des articles et vous allez finir par penser que ce n'était qu'un effet d'annonce.
N'y pensez pas ! Bien sûr que ces articLes vont venir, mais ayant eu une panne d'ordinateur très importante (plus de 70 virus d'un coup, ce qui est bien la première fois), les retards s'accumulent, sauf ceux concernant les délais impératifs à respecter. Aucun antivirus n'a su bloquer ces virus lorsqu'ils se sont installés non seulement sur la partition "système", mais également sur la partition "temp" de mon disque principal. Pour ceux qui ont un ordinateur domestique PC, il convient de les inviter à partitionner un disque "système" en deux partitions de taille inégale.
Comme un juriste doit être assez débrouillard, mais également un avocat (ainsi, l'un d'eux passait plus de temps à monter une usine à gaz Access pour gérer son maigre portefeuille de clients plutôt qu'à travailler pour lesdits clients), il faut avoir une maîtrise un peu plus que celle d'un utilisateur de cybercafé pour utiliser l'outil informatique devenu incontournable aujourd'hui dans tous les cabinets d'avocats et d'avoués, tout en concervant à l'esprit que le métier de l'avocat est de défendre,... mais lorsque l'ordinateur tombe en panne au mauvais moment, des ennuis plus sérieux s'annocent avec les clients pour qui les délais serainet forclos.
Alors, pour en revenir à ce disque "maître", qui contiendra sur une partition le système et sur l'autre partition des données temporaires à traiter rapidement, il convient d'utiliser un disque qui ne dépasse pas 80 Go, dont un petit tiers sera réellement dévolu au système et à tous les progiciels, et le reste dévolu à stocker des données temporaires, qui seront traitées et sauvegardées sur un autre disque dans un délai d'une semaine maximum.
Pourquoi ?
Parce que les virus adorent la place, et plus il y a de la place, et plus ils s'installent en toute discrétion, jusqu'au plantage complet, à moins de surveiller régulièrement ses partitions, ou que l'attaque soit soudaine et massive. C'est une surveillance quotidienne qu'il convient de faire afin de voir vite les évolutions de taille d'occupation des partitions, et non pas une surveillance quand on a le temps.
Sachez tout de mêm qu'en antivirus est comme un toit sur une maison. Il empêche la pluie de tomber à l'intérieur, mais ne ferme pas les portes ni les fenêtres car internet en a besoin pour assurer les connexions au réseau mondial. Il faut donc programmer et lancer des scans, mais pas en pleine nuit lorsque l'ordinateur est éteint, ni en plein journée lorsqu'on a besoin de travailler dessus. Un scan est toujours très "lourd" en ressources et peut lui-même provoquer des plantages qui ne sont en général pas très graves, mais toujours gênants.
Cependant, il ne faut pas s'abstenir de le faire au moins une fois par semaine, même si l'on pense que surfer sur des sites sécurisés n'apporte aucun virus. C'est une pensée trop rapide pour être vraie.
Le fournisseur d'accès n'est aucunement responsable des virus que l'on peut télécharger avec ou contre sa volonté, et ce en dépit des firewalls et autres antivirus qu'il ajoute en prime de l'abonnement de base.
Pour ceux qui ont un système d'exploitation Microsoft, il est fortement déconseiller d'utiliser Windows Vista qui n'est que Windows Millenium débogué et réhabillé. Un prochain Windows est annoncé pour 2009 qui sera plus efficient en tous points, la concurrence de Linux commençant à se faire sentir chez le géant de Seattle, Windows Vista étant particulièrement gourmant en ressources, ce qui pénalise tous les progiciels que l'on veut utiliser.
Savez-vous que le temps maximum de réponse admis dans le milieu des utilisateurs professionnels de l'outils informatique est de seulement deux petites secondes. Toutes vos actions à partire de votre clavier ou de votre souris réagissent-elles dans ce délai ?
Pour en revenir à ce PC vérolé et son SE (système d'exploitation) Windows XP Pro, l'infection venait de tous petits fichiers parfaitement identifiés qui créaient une multitude de fichiers virtuels faisant croire à la FAT (File Allocation Table) que les partitions étaient pleines alors qu'en réalité, elles ne l'étaient pas. Tout le SE a été infecté par d'autres virus car lorsque l'un est là, il ouvre la porte aux autres. L'affichage, le son, les connexions, tout a été infecté, et surtout les fichiers centraux de Windows. Les virus se sont également installés curieusement sur la partition de stockage temporaire de données.
Tout cela n'a rien de très grave et a donné une occasion de plus de prendre plus de 9 heures pour tout réinstaller de façon plus sécurisée encore, notamment en ghostant le disque complet, mais toujours en séparant, comme le veut la règle d'or de l'informaticien en herbe, les données et les traitements. En clair, ne jamais utiliser les répertoires "par défaut" offerts par Windows qui restent dans la partion "système" du disque et sont attaqués en priorité par les virus qui s'intérèssent aux données.
Des informaticiens "astucieux" ont pensé se protéger en installant leur système sur une partition lettrée "d" qui serait moins perçue par les virus. C'est totalement illusoire, les virus recherchant tout de suite où est le système d'exploitation qu'ils doivent attaquer.
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Voilà une source de retard dans les articles de ce cybercarnet sur l'analyse des résultats du CRFPA 2007. Cependant, une mise à jour l'article sur la tardiveté du CRFPA 2008 à Paris-Est a été faite ; l'IEJ de paris-Est sera bien le dernier à composer, ce dont on ne peut tirer aucune conclusion définitive, mais ce qui pourrait susciter des interrogations légitimes. Seules les interrogations sont légitimes, certainement pas les réponses qui peuvent en être extrapolées par une écriture malhabile ou une lecture insuffisante.
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Avec cet imprévu qui s'accumule à d'autres, le temps est bien rempli, trop. Aussi, il convient de vous solliciter, par vos commentaires, même anonymes, d'indiquer vos sujets de préoccupations, sachant que les résultats, personne ne les connait, et qu'en tout état de cause, ils ne sont pas que le fruit du travail, mais également de la chance, de l'expérience, etc.
Pour ceux(celles) qui partent perdants(es), qu'ils(elles) s'abstiennent de gaspiller une "cartouche" sur les trois possibles.
De plus, la crise économique en cours ne va pas développer l'activité d'avocat. On peut ouvrir le débat sur ce point : pensez-vous que des gens qui souffrent de revenus peu enviables vont se jeter dans des contentieux ?
Les avocats vont également en souffrir, car dans un pays où le secteur secondaire a déserté au profit du tertiaire facilement délocalisable, la matière est encore plus volatile en plus que la masse va inévitablement s'atrophier.
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Nota bene : ce message sera mis en mode brouillon dans quelques jours, et par conséquent ne sera plus lisible sur ce cybercarnet.
2 commentaires:
Ou en êtes-vous de vos révisions? Est-ce que vous vous lancez déjà dans les oraux?
Je ne pense pas que la crise économique arrêtera l'activité des avocats. Au contraire. Les gens continueront à divorcer, les affaires se feront liquidées dans les faillites et les gens aisé, il en reste, seront toujours friands de conseils de tout genre et notamment en droit des affaires.
Alors, ne sombrons pas dans le pessimisme.
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