Voilà qui est pour le moins curieux que des avocats ne se soumettent pas aux règles déontologiques et ne daigent même pas répondre à leur Bâtonnier qui les questionne.
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Au départ, le Bâtonnier n'avait pas compris après 8 lettres pourtant écrites de façon convenable le problème que posait un avocat à son ex-client. C'est à la neuvième lettre qu'il commence à comprendre, ou feint de commencer à comprendre. Cela fait tout de même beaucoup d'écritures à un Bâtonnier avant qu'il ne comprenne. Un autre avocat consulté sur le même problème n'a eu besoin que de la première lettre pour le comprendre.
Un avocat serait-il plus perspicace qu'un Bâtonnier, qui pourtant est lui-même un avocat élu par ses pairs ?
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Un autre avocat du même Barreau, lui, ne comprend pas qu'il a été pris la main dans le sac à tromper les juges. Le justiciable en a fait part au Bâtonnier, qui dans un premier temps a tenté de calmer le jeu, mais se faisant n'a fait qu'augmenter l'ampleur du problème : l'avocat, aussi fourbe que menteur, avait dissimulé sur une pièce avec un simple post-it, lors de la photocopie de ladite pièce, l'aveu manuscrit de son client. Si l'aveu avait été connu plus tôt, toute l'instruction aurait connu un autre tour et des "certitudes" ne seraient pas nées chez les magistrats, fondées sur des mensonges par dissimulation de l'avocat.
L'avocat ignore totalement les demandes d'explications de son Bâtonnier, qui aujourd'hui le relance "très fermement".
Quel est l'effet d'une telle fermeté et vis-à-vis de qui ?
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Voilà bien des exemples de situations qui peuvent faire l'objet de questionnements lors de l'oral d'exposé-discussion avec le jury, le candidat devant déjà être en situation d'être avocat lors de cet exercice.
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