vendredi 18 septembre 2009

Lecteurs, prétendus futurs avocats confraternels, nous allons avoir une explication de texte...

(NDLR : le commentaire déposé le vendredi 18 septembre 2009 à 16 heures 56 a aussi peu de sens que ce titre d'article sans contenu, comme quoi les incompréhensions sont mutuelles.
Tentons de comprendre à quoi ce titre faisait référence sans extrapolation plus que la raison nous l'impose).
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(NDLR2 : merci pour le commentaire anonyme déposé ce vendredi 18 septembre 2009 à 19 heures 39.
C'est donc le sens que vous avez donné à ce titre énigmatique, vous qui l'avez commenté.
Pour vous répondre en normand, l'objet de ce titre ne visait pas cela.
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Mais bien naturellement, ce commentaire évoque quelque chose : revenez un an en arrière dans ce cybercarnet, mais ce n'est peut-être pas le moment de passer du temps à cela car ce qui compte aujourd'hui, c'est le CRFPA 2009.
Pas d'affirmations non démontrées à l'heure de ce nouveau millésime, mais des précautions à prendre, ce dont un enseignant au moins a passé le mot à des candidats. Bonne initiative de sa part.
Et pour finir dans une "pépinière", il y a peut-être plus glorieux !
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Ce n'est pas le sens de ce titre).

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Sans en écrire exagérément, ce titre concernait tout simplement la contrepartie sollicitée à l'alimentation de ce cybercarnet : cliquer, et peu importe combien de temps et si c'est totalement inutile à l'heure de l'examen de fin d'année. Google, glouton, compte de façon très précise : par exemple pour la "journée" de jeudi 17 septembre 2009 (de 09h00 à 08h59 le lendemain), 100 consultations et 4 "clics", autant dire rien en termes de "clics". Ce vendredi 18 septembre à 22 heures, 120 consultations et 23 clics : la situation est nettement meilleure.
Pour être parfaitement transparent et ne rien cacher de ce que vous savez déjà, Google compte et prétend donner des "revenus" à l'éditeur du blogue : sur ce dernier point, qui est de peu d'importance, la rémunération à l'instant s'élève à zéro euro car les clics sont très brefs. Mais il ne vous en est pas demandé plus : le but de ce cybercarnet n'est pas d'enrichir Google. Le but n'est pas de perdre son temps sur des sites qui n'ont que peu ou pas d'intérêts pour le moment. Tant que Google s'en contente, tout le monde est content.
Mais si Google se manifeste de nouveau en raison de la modicité des "clics", il n'y aura guère de raison de continuer à alimenter un cybercarnet, qui dans le passé, a déjà fait l'objet d'attaques et d'opérations de dénigrements auxquelles il a rapidement été coupé court.
Google est bien plus fort : il détient l'édition et la visibilité de ce cybercarnet - il est bien le maître du jeu.
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Humeur :
Souvenez-vous bien de l'objet de ce cybercarnet qui ne prétend à rien, mais très simplement de contribuer à une autre vision, peut-être plus juste, peut-être utopique, que les défenseurs ne soient pas avant tout des commerçants... Ce n'est pas gagné.
Plus tard, en étant défenseur, il apparaîtra la misère des justiciables, l'ignominie des dossiers, les conséquences humaines et économiques désastreuses de certaines "grandes" décisions qui avec la même argumentation auraient pu conduire au résultat parfaitement inverse sans plus de logique. Et quant le contentieux est réglé par un mode alternatif en l'absence de juges, la situation n'est pas nécessairement meilleure.
A-t-on appris autant de droit pour le voir appliquer comme cela ?
Vous savez, les arrêts Faurecia : mais avez-vous pu voir les établissements fermés, ou plutôt ouverts à tous vents, et cela avant le début de "la crise", mais bien après certains arrêts fameux...
Qui ira prétendre que les arrêts auraient pu dire exactement l'inverse avec la même argumentation ?

2 commentaires:

Unknown a dit…

Est ce de l'intox?

Anonyme a dit…

Comment voulez-vous que l'intervenant sur ce blog vous dise: alors cela sera le commentaire d'arrêt, c'est l'arrêt du 19 juillet 2007, 2ème civile. Vous attendez vraiment cela? Non, pas de tricherie cette année.