lundi 23 mars 2009

CRFPA 2009 : 1er EBG - 1er jour - faible participation

Le 1er examen blanc général du CRFPA 2009 de l'IEJ de Paris 12, pour ce premier jour du lundi 23 mars 2009 (droit des obligations et procédure) fait l'objet d'une faible participation sur place dans l'amphithéâtre B4 de 10 heures à 15 heures, une vingtaine de participants (pour quelque 300 inscrits).
Nous ne doutons pas que nombre de candidats vont se livrer à l'exercice chez eux ou dans tout autre endroit qu'ils apprécient.
Les sujets du jour ne sont pas particulièrement facile :
- en droit des obligations, trois cas pratiques (réunis en deux) :
1) exécution contractuelle
2) responsabilité, et faute médicale.
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- en procédure :
1) procédure civile : 2ème Civ. n° 07-11384 du 13/03/2008 ;
2) procédure pénale : dissertation sur la place de la victime dans le procès pénal ;
3) procédure administrative et contentieuse : note ordonnée et synthétique sous l'arrêt CE Ass. du 14/12/2007 (détention, rotation de sécurité).
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À NOTER :
DATE MAXIMUM POUR RESTITUER DES COPIES À L'IEJ POUR CHACUNE DES TROIS ÉPREUVES DE LA SEMAINE :
le lundi 30 mars 2009.
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(NDLR : Merci au commentaire anonyme déposé le lundi 23 mars 2009 à 19 heures 23. Effectivement, les cas pratiques en droit des obligations étaient particulièrement complexes. C'est une mise en bouche assez révélatrice de ce qui pourra être donné à l'examen final. C'est d'ailleurs ainsi que l'a expliqué l'auteur des sujets d'examens blancs : il n'y aura pas de montée en puissance, mais dès le premier examen blanc, le maximum est exigé. La notation ne sera pas plus encourageante puisque le même principe est appliqué : du premier au dernier examen blanc, la notation sera toujours aussi sérieuse).
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(NDLR2 : Merci au commentaire anonyme déposé le lundi 23 mars 2009 à 21 heures 34. Merci encore de nous indiquer l'origine de ce cas pratique. Vous avez parfaitement raison : en tout état de cause, il faut s'en tenir aux conditions d'examen ; c'est le non-respect de ces conditions lors des examens blancs qui amoindrissent les chances à cette épreuve double lors de l'examen final - dito pour les autres épreuves - le temps est compté. Connaître les arrêts qui ont présidé à l'élaboration du cas n'est pas une nécessité absolue : ce n'est pas ce qui est demandé par l'enseignant pour l'examen final qui s'inspire, mais également niche des détails qui ne sont pas dans l'arrêt ou les arrêts qui ont permis d'élaborer le cas pratique, ce dans le but clairement explicité de faire réfléchir avant tout les candidats. Dans un cas pratique, la prime va assez logiquement a celui qui apporte sa propre plus-value car l'arrêt peut ne pas être lui-même très "juste", et par conséquent critiquable).

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Comment avez-vous trouvé le premier galop en obligations? Je trouve que la première question est vraiment très difficile et j'ai galèré presque 3 heures rien qu'avec celle-ci. Cela promet pour le reste.

Anonyme a dit…

En effet, moi aussi, j'ai trouvé cela très difficile. C'est un sujet qui a été donné à Paris Assas, le niveau est très élévé. Je ne l'ai pas fait dans les conditions de l'examen, je ne connais pas les arrêts et suis largué.