IMPORTANT (mais pas fondamental)
Voilà un réel problème où la réalité économique rattrape l'illusion de gratuité des serveurs mis à dispositions des auteurs de blogues.
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Vous avez constaté des annonces sans aucun rapport avec la nature et le contenu de ce blogue.
Il vous a été dit, il y a bien longtemps, qu'aucune incitation à cliquer sur ces annonces n'était sollicitée de vous, mais que ces bandeaux-annonce permettaient d'avoir un compteur de visites, donnée non fondamentale, mais intéressante parfois.
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Google s'est aperçu qu'il y avait bien du trafic sur ce cybercarnet, mais que les bandeaux-annonce n'étaient que très rarement cliqués.
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Google n'est pas philanthrope et se soucie du coût réel de mise à disposition de ses moyens pour mettre en ligne ce cybercarnet ; il sait le faire savoir ; alors, il n'a de cesse de relancer, depuis le début de l'été, afin que ce blogue soit rentable (pour lui), d'où l'apparition de bandeaux-annonce sans rapport avec le CRFPA ou avec les questions potentiellement intéressantes pour les juristes.
Une seule solution : cliquer à chaque visite sur ce cybercarnet, en fin de visite, sur l'un des bandeaux-annonce, même si cela ne présente aucun intérêt réel pour les lecteurs, il faut en convenir. Cliquez tout de même sur des bandeaux-annonce juridiques afin de ne pas être pollués de bandeaux-annonce sur les régimes minceur, etc. La question n'est pas de faire du chiffre, mais de répondre modestement à la sollicitation de Google, sollicitation agaçante, il faut bien l'écrire...
Si vous oubliez, pas de rancune, mais à terme, un risque réel de "sanctions" par Google...
Il ne s'agit pas d'aller camper sur les sites en lien, mais de cliquer pour faire comprendre à Google que le message est compris.
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À préciser parce que c'est la loi du genre et un engagement contractuel : l'administration du blogue s'engageait à ne pas cliquer en lieu et place des visiteurs. Une case à cocher impérative le précisait.
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Note finale : c'est la plaie, cette publicité.
Qu'en pensez-vous comme juristes (ne rentrez pas dans des considérations économiques) ? À partir de quel moment la publicité n'est plus de l'information ? Le droit à l'information contient-il la publicité ? Sous couvert d'informations, ne fait-on pas de la publicité ? Quelle est la frontière entre publicité et information, en sortant du domaine des faits d'actualité ? L'information passe-t-elle par la publicité ?
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(NDLR : Merci au commentaire de Laurent déposé le dimanche 30 août 2009 à 20 heures 56.
Il ne vous manque rien à l'exception du premier diplôme d'abord, celui du CRFPA, puis du second ensuite, le CAPA. Compte tenue de la qualité de votre commentaire, permettez de le dupliquer intégralement comme "article" de ce cybercarnet. Peut-on écrire ces choses mieux et autrement ? Rien n'est moins sûr et il est certain que votre expérience vaut bien des examens, mais que l'exercice est obligé. Quant à y passer par d'autres moyens, les doctorants ne sont pas tous docteurs tandis que les acquis de l'expérience ne sont pas toujours si bien acquis.)
Voilà un réel problème où la réalité économique rattrape l'illusion de gratuité des serveurs mis à dispositions des auteurs de blogues.
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Vous avez constaté des annonces sans aucun rapport avec la nature et le contenu de ce blogue.
Il vous a été dit, il y a bien longtemps, qu'aucune incitation à cliquer sur ces annonces n'était sollicitée de vous, mais que ces bandeaux-annonce permettaient d'avoir un compteur de visites, donnée non fondamentale, mais intéressante parfois.
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Google s'est aperçu qu'il y avait bien du trafic sur ce cybercarnet, mais que les bandeaux-annonce n'étaient que très rarement cliqués.
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Google n'est pas philanthrope et se soucie du coût réel de mise à disposition de ses moyens pour mettre en ligne ce cybercarnet ; il sait le faire savoir ; alors, il n'a de cesse de relancer, depuis le début de l'été, afin que ce blogue soit rentable (pour lui), d'où l'apparition de bandeaux-annonce sans rapport avec le CRFPA ou avec les questions potentiellement intéressantes pour les juristes.
Une seule solution : cliquer à chaque visite sur ce cybercarnet, en fin de visite, sur l'un des bandeaux-annonce, même si cela ne présente aucun intérêt réel pour les lecteurs, il faut en convenir. Cliquez tout de même sur des bandeaux-annonce juridiques afin de ne pas être pollués de bandeaux-annonce sur les régimes minceur, etc. La question n'est pas de faire du chiffre, mais de répondre modestement à la sollicitation de Google, sollicitation agaçante, il faut bien l'écrire...
Si vous oubliez, pas de rancune, mais à terme, un risque réel de "sanctions" par Google...
Il ne s'agit pas d'aller camper sur les sites en lien, mais de cliquer pour faire comprendre à Google que le message est compris.
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À préciser parce que c'est la loi du genre et un engagement contractuel : l'administration du blogue s'engageait à ne pas cliquer en lieu et place des visiteurs. Une case à cocher impérative le précisait.
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Note finale : c'est la plaie, cette publicité.
Qu'en pensez-vous comme juristes (ne rentrez pas dans des considérations économiques) ? À partir de quel moment la publicité n'est plus de l'information ? Le droit à l'information contient-il la publicité ? Sous couvert d'informations, ne fait-on pas de la publicité ? Quelle est la frontière entre publicité et information, en sortant du domaine des faits d'actualité ? L'information passe-t-elle par la publicité ?
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(NDLR : Merci au commentaire de Laurent déposé le dimanche 30 août 2009 à 20 heures 56.
Il ne vous manque rien à l'exception du premier diplôme d'abord, celui du CRFPA, puis du second ensuite, le CAPA. Compte tenue de la qualité de votre commentaire, permettez de le dupliquer intégralement comme "article" de ce cybercarnet. Peut-on écrire ces choses mieux et autrement ? Rien n'est moins sûr et il est certain que votre expérience vaut bien des examens, mais que l'exercice est obligé. Quant à y passer par d'autres moyens, les doctorants ne sont pas tous docteurs tandis que les acquis de l'expérience ne sont pas toujours si bien acquis.)
1 commentaire:
Bonjour,
Les questions qui concluent votre billet m'ont intéressé.
En premier lieu, je les ai reçues dans leur sens courant : la publicité au sens commercial : promouvoir, donner envie d'acheter même. ce qui était le sens vraisemblablement évoqué.
Ces questions m'ont rappelé ces gens qui dans le métro se disaient agressés par les publicités...
En second lieu, je les ai relues sous un tout autre angle : la publicité au sens processuel. Celle-là même qui vise à permettre le contrôle des citoyens sur les décisions de nos juridictions. Voire à instruire la population et à servir d'exemple... ?
Toujours l'importance des définitions et du contexte ! En tout cas, cette double acception est assez drôle (pour un juriste) quand on relis les questions.
De là, je trouverais intéressant d'élaborer une problématique transversale (ce que vous faites d'ailleurs en posant les questions). Je me lance : La publicité sert-elle l'information ?
Définition du sujet : le dictionnaire Trésor de la langue française évoque plusieurs sens à "information", parmi lesquelles : "Action d'une ou plusieurs personnes qui font savoir quelque chose, qui renseignent sur quelqu'un, sur quelque chose".
Une autre partie de la définition précise : "Faits, événements nouveaux, en tant qu'ils sont connus, devenus publics"
Dire que je pensais que la définition des termes d'une problématique permettait d'entrevoir le déroulé du sujet !!
Cela dit, une ébauche de réponse pourrait venir d'un cas personnel : étant salarié (juriste), depuis quatre ans,
je n'ai pas vraiment pu bénéficier de l'information de l'IEJ. Qu'il s'agisse des cours (ceux du droit du travail étant déjà totalement épuisés lors de mon inscription), des polycopiés (presque toujours en rupture de stock!) ou des "tuyaux" du type : ce sera un commentaire d'arrêt dans telle matière. Information qui n'est certes pas indispensable mais qui peut favoriser ceux qui la détiennent au détriment des autres.
J'imagine que le problème vient du manque de publicité !
Heureusement qu'il y a votre blog, dont la publicité a justement été faite par un petit papier sur les panneaux d'affichage de l'iej. Lequel petit papier était presque totalement décomposé (vandalisé ?) à mon arrivée, le soir, tard. Le dernier jour où je me suis rendu à l'IEJ d'ailleurs.
Pour revenir au coeur du sujet et élaborer un plan, je tenterais donc de servir mais sans le dire, mon intime conviction : l'information n'existe que sous le prime de la publicité.
I) L'information et sa consubstantielle publicité
II) Les nuisances de la publicité sur l'information.
je vais y réfléchir un peu plus de 5 minutes et je reviendrai peut-être pour améliorer cette ébauche.
Bonne soirée à tous.
PS : une question indépendant : hormis la fameuse passerelle, ne serait-il pas possible d'adapter l'examen d'entrée au CRFPA pour les salariés ? comment croire qu'on puisse retenir les matières d'une façon aussi académique que ceux qui viennent d'obtenir leur maîtrise quand on a eu la notre, il y a 5, 10 ans ?
Ne peut-on pas concevoir qu'un professionnel juriste ait pu acquérir des atouts importants pour être un bon avocat sans pour autant se rappeler des cours par coeur ?
(certes, apprendre les cours par coeur ne suffit pas mais il faut admettre que c'est une bonne partie du travail étant donné la configuration des épreuves : 2h30 en obigations et 2h30 en procédure... ce n'est pas ce que j'appelle avoir le temps de la réflexion).
Juste une petite analogie (tout en reconnaissant les limites à ce type de raisonnement), pensez-vous que votre médecin réussirait la première année de médecine s'il la repassait ? un ingénieur ? un conducteur même (permis de conduire) ? votre pharmacien ? une infirmière ?
ils ne sont pas mauvais pour autant.
je n'ai pas la réponse à ma question mais quand j'entends qu'il s'agit d'un examen professionnel, je ne peux que sourire.
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