Quelques heures auront suffit à Google pour référencer l'UPEC et tous les sites et cybercarnets qui en parlent. En réalité, ces "quelques heures" ne sont que quelques minutes car les nouvelles informations diffusées sur un site "googelisé" sont immédiatement indexées, voire au fur et à mesure de la frappe, avant même une validation par un "enter" qui permettra seulement, dans les secondes qui suivent, de lire le résultat de l'indexation dans le moteur de recherche. C'est un traitement immédiat des données, aussi appelé "interactif" ou "transactionnel", par opposition au traitement automatisé différé appelé traitement "par lots" ou "batch". La connaissance de cette cuisine informatique n'est pas fondamentale pour un candidat au CRFPA, mise à part le fait qu'allumer un ordinateur ne suffit pas à lui faire faire un devoir de droit des obligations ou de DFA ou de droit social,...
C'est assez incroyable, assez critiquable, et au lendemain d'une conférence à la Cour de cassation sur le thème de la PLA, il n'est pas interdit de penser que la PLA du troisième millénaire aura de plus en plus de difficultés pour survivre à internet.
Mais retenons cet acronyme qui ne figure pas sur les cartes d'étudiant, mais est aujourd'hui l'identité de notre université.
"upec", ce n'est pas difficile à prononcer ni à retenir, mais on n'y voit plus ni Créteil, ni Paris 12.
Ce changement d'identité, qui certainement permet un rayonnement plus grand de l'université de Paris 12, ne montre pas qu'une telle université, qui certes dispose de nombreux sites, comme toutes les universités aujourd'hui, est néanmoins logée à Créteil, préfecture du Val-de-Marne, et peut-être avec l'idée à terme, que si les départements finissent par disparaître, la nouvelle identité de l'université n'en sera aucunement affectée.
Un acronyme de rien du tout peut avoir de multiples incidences... non dévoilées, non apparentes.
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