Quelquefois, on est heureux de ne pas être musicien, et par conséquent ne pas revendiquer des droits d'auteur pour entendre de telles injures à la musique.
Certains confondent la fête de la musique avec l'autorisation du tapage diurne, pas plus autorisé que le fameux et "fumeux" tapage nocturne dont personne ne connaît en réalité les contours, très liés aux réglementations locales.
Il n'empêche qu'en ce jour de fête de la musique, ce dimanche 21 juin 2009, on confond l'harmonie des sons avec les agressions sonores "autorisées".
Heureusement qu'avec l'absence de réelle chaleur dans la région parisienne, beaucoup de fenêtres étaient fermées et que ce tapage diurne est donc resté dehors.
Comptons également sur la question de la gestion de la foule qui ne peut laisser indifférent tout juriste qui s'intéresse, même de très loin, à la liberté d'aller et venir, à la liberté de réunion, au respect de l'ordre public...
Ne généralisons pas sur une fête mondiale, qui démontre s'il le fallait, que même le pire peut s'exporter et que les photocopies sont toujours plus mauvaises que les originaux (ce dernier point est toujours vérifié, même si quelques fois, une loupe et un bon éclairage sont nécessaires pour s'en assurer).
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Toutefois, gardez à l'esprit, sinon venez en personne assister à la conférence à la Grand'Chambre de la Cour de cassation ce lundi 22 juin 2009, où même sans inscription préalable, et à condition tout de même de se présenter à la bonne porte, l'accès de la conférence sera possible.
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(NDLR : une seule tête connue du CRFPA de Paris 12 à cette conférence soporifique à la Grand'Chambre de la Cour de cassation. Les locuteurs avaient une très mauvaise diction, et malgré tout l'intérêt de leur discours, très dense, trop dense, il en reste peu de choses. Dommage car le sujet avait tout son intérêt après cette loi inachevée Hadopi et compte tenu des enjeux actuels de la propriété intellectuelle, génératrice d'emplois).
Certains confondent la fête de la musique avec l'autorisation du tapage diurne, pas plus autorisé que le fameux et "fumeux" tapage nocturne dont personne ne connaît en réalité les contours, très liés aux réglementations locales.
Il n'empêche qu'en ce jour de fête de la musique, ce dimanche 21 juin 2009, on confond l'harmonie des sons avec les agressions sonores "autorisées".
Heureusement qu'avec l'absence de réelle chaleur dans la région parisienne, beaucoup de fenêtres étaient fermées et que ce tapage diurne est donc resté dehors.
Comptons également sur la question de la gestion de la foule qui ne peut laisser indifférent tout juriste qui s'intéresse, même de très loin, à la liberté d'aller et venir, à la liberté de réunion, au respect de l'ordre public...
Ne généralisons pas sur une fête mondiale, qui démontre s'il le fallait, que même le pire peut s'exporter et que les photocopies sont toujours plus mauvaises que les originaux (ce dernier point est toujours vérifié, même si quelques fois, une loupe et un bon éclairage sont nécessaires pour s'en assurer).
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Toutefois, gardez à l'esprit, sinon venez en personne assister à la conférence à la Grand'Chambre de la Cour de cassation ce lundi 22 juin 2009, où même sans inscription préalable, et à condition tout de même de se présenter à la bonne porte, l'accès de la conférence sera possible.
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(NDLR : une seule tête connue du CRFPA de Paris 12 à cette conférence soporifique à la Grand'Chambre de la Cour de cassation. Les locuteurs avaient une très mauvaise diction, et malgré tout l'intérêt de leur discours, très dense, trop dense, il en reste peu de choses. Dommage car le sujet avait tout son intérêt après cette loi inachevée Hadopi et compte tenu des enjeux actuels de la propriété intellectuelle, génératrice d'emplois).
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