Il ne s'agit pas plus de prévision que s'agissant de Madam Suzan Boyle, mais d'une analyse par anticipation compte tenu des difficultés que rencontrent les enseignants et les candidats, les premiers déplorant les effectifs au plus bas à leurs cours, les seconds regrettant d'avoir payé aussi (peu) cher leur inscription pour ne pas envisager d'y ajouter une préparation d'été alors que Paris 12 va devenir à court terme la "base arrière" de l'IEP de Paris.
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Nous n'y croyons pas ? Rien ne nous en annonce l'arrivée malgré la prégnance de signes précurseurs ?
Bien, nous ferons comme pour Madam Suzan Boyle, extrêmement méritante, et incontestablement la plus fabuleuse découverte de ce show anglais Britain's got Talent : nous nous compterons nous-mêmes en ne nous fiant pas à des promesses d'hypothétiques statistiques, qui en réalité auraient peu de valeur, les uns et les autres ignorant les origines des uns ou des autres, n'ayant aucune garantie par ailleurs de s'entendre dire la vérité, une vérité qui touche toutes les grandes écoles : que faire de cette multitude de candidats sinon des chômeurs aigris d'avoir tant oeuvré pour un résultat à venir aussi peu méritant ?
Partager un "gâteau" qui s'amaigri n'a rien de très motivant. Il faut apprendre à partager, et la leçon n'est pas encore comprise avec une flambée de la bourse de Paris ce jour (lundi 1er juin 2009) sur le sceau d'une catastrophe aérienne et autres licenciements de masse quotidiens.
Que veulent ces épargnants sinon couper la branche qui s'affaiblit et qui met en péril tout l'arbre ?
Les agriculteurs vont-ils nous nourrir de béton, de bitume et d'enrobé ?
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Sortons du droit, ou plus exactement, appréhendons-le à l'ère d'aujourd'hui et non plus à celle de 20ème siècle qui relève définitivement du passé, lorsqu'on ne savait pas encore...
Le droit est aujourd'hui partout et rien ne lui échappe, pas plus le diamètre des concombres que les indices de révision des loyers.
Finalement, le droit nous libère de quoi ?
De la prison juridique que nous construisons nous-mêmes ?
En changeant de position, la vision change nécessairement. Il faut aujourd'hui appréhender une globalité qui devient de plus en plus hors de maîtrise à force de réglementations contraignantes. De cette hyper réglementation, à laquelle l'œuvre jurisprudentielle n'échappe pas, peut-on envisager de faire respecter dans deux années un droit clair, prévisible ?
Est-ce la place du juriste de douter des règles qui n'ont plus aucun soutient moral, sans aucune valeur morale ?
Voilà notamment l'une des questions qui expliquera que certains candidats, éclairés peut-être , ou aveuglés, se dispenseront, plus encore que l'an passé de participer à un examen qui cache des réalités qui ne relèvent pas des discours "officiels" ou "autorisés", bien autres.
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Désolé pour les raccourcis qui par conséquent ne développent pas la raisonnement, mais il faut laisser sa place au lecteur, place qui ne consiste pas à être passif dans sa lecture, mais mobiliser un ensemble de connaissances éparses qui ont une cohérence et où chacun trouvera sa "clef". Cela va nous réveiller un peu !
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Si vous voulez des renseignements un peu plus concrets, rendez-vous sur le site de l'ODAP pour lire l'éditorial du Bâtonnier pour le bulletin n° 18 du 20 mai 2009 : n'ayez pas peur, c'est effrayant car il ne va pas y avoir assez de places au 11 boulevard de Sébastopol ; il va même falloir tirer au sort ! Ce n'est plus l'issue attendue du CRFPA (ou de l'EFB), c'est l'annexe de la Française des Jeux, cette "pépinière"!
Au moins le Bâtonnier se préoccupe-t-il de cette situation qui ne va pas passer inaperçue.
Il n'y a pas plus "autorisé" que le Bâtonnier pour écrire sur cette situation préoccupante. Quant à trouver les clients aux jeunes avocats pour rembourser les 70.000 euros accordés en prêt par la banque partenaire, c'est une autre affaire, les avocats étant soumis depuis quelques années au régime des faillites.
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Et laissons aux malheureux chats leur prétendue bouillie !
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Nous n'y croyons pas ? Rien ne nous en annonce l'arrivée malgré la prégnance de signes précurseurs ?
Bien, nous ferons comme pour Madam Suzan Boyle, extrêmement méritante, et incontestablement la plus fabuleuse découverte de ce show anglais Britain's got Talent : nous nous compterons nous-mêmes en ne nous fiant pas à des promesses d'hypothétiques statistiques, qui en réalité auraient peu de valeur, les uns et les autres ignorant les origines des uns ou des autres, n'ayant aucune garantie par ailleurs de s'entendre dire la vérité, une vérité qui touche toutes les grandes écoles : que faire de cette multitude de candidats sinon des chômeurs aigris d'avoir tant oeuvré pour un résultat à venir aussi peu méritant ?
Partager un "gâteau" qui s'amaigri n'a rien de très motivant. Il faut apprendre à partager, et la leçon n'est pas encore comprise avec une flambée de la bourse de Paris ce jour (lundi 1er juin 2009) sur le sceau d'une catastrophe aérienne et autres licenciements de masse quotidiens.
Que veulent ces épargnants sinon couper la branche qui s'affaiblit et qui met en péril tout l'arbre ?
Les agriculteurs vont-ils nous nourrir de béton, de bitume et d'enrobé ?
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Sortons du droit, ou plus exactement, appréhendons-le à l'ère d'aujourd'hui et non plus à celle de 20ème siècle qui relève définitivement du passé, lorsqu'on ne savait pas encore...
Le droit est aujourd'hui partout et rien ne lui échappe, pas plus le diamètre des concombres que les indices de révision des loyers.
Finalement, le droit nous libère de quoi ?
De la prison juridique que nous construisons nous-mêmes ?
En changeant de position, la vision change nécessairement. Il faut aujourd'hui appréhender une globalité qui devient de plus en plus hors de maîtrise à force de réglementations contraignantes. De cette hyper réglementation, à laquelle l'œuvre jurisprudentielle n'échappe pas, peut-on envisager de faire respecter dans deux années un droit clair, prévisible ?
Est-ce la place du juriste de douter des règles qui n'ont plus aucun soutient moral, sans aucune valeur morale ?
Voilà notamment l'une des questions qui expliquera que certains candidats, éclairés peut-être , ou aveuglés, se dispenseront, plus encore que l'an passé de participer à un examen qui cache des réalités qui ne relèvent pas des discours "officiels" ou "autorisés", bien autres.
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Désolé pour les raccourcis qui par conséquent ne développent pas la raisonnement, mais il faut laisser sa place au lecteur, place qui ne consiste pas à être passif dans sa lecture, mais mobiliser un ensemble de connaissances éparses qui ont une cohérence et où chacun trouvera sa "clef". Cela va nous réveiller un peu !
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Si vous voulez des renseignements un peu plus concrets, rendez-vous sur le site de l'ODAP pour lire l'éditorial du Bâtonnier pour le bulletin n° 18 du 20 mai 2009 : n'ayez pas peur, c'est effrayant car il ne va pas y avoir assez de places au 11 boulevard de Sébastopol ; il va même falloir tirer au sort ! Ce n'est plus l'issue attendue du CRFPA (ou de l'EFB), c'est l'annexe de la Française des Jeux, cette "pépinière"!
Au moins le Bâtonnier se préoccupe-t-il de cette situation qui ne va pas passer inaperçue.
Il n'y a pas plus "autorisé" que le Bâtonnier pour écrire sur cette situation préoccupante. Quant à trouver les clients aux jeunes avocats pour rembourser les 70.000 euros accordés en prêt par la banque partenaire, c'est une autre affaire, les avocats étant soumis depuis quelques années au régime des faillites.
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Et laissons aux malheureux chats leur prétendue bouillie !
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