Suite à un empêchement impérieux, il n'était pas possible d'assister à l'intervention du Directeur de l'EFB de Paris, Monsieur Gérard NICOLAY, ce mercredi 10 septembre 2008 à partir de 17 heures dans l'amphithéâtre A1 de la Faculté de droit de Paris 12 à l'attention tant des futurs candidats au CRFPA 2009 qu'aux actuels candidats au CRFPA 2008.
L'intervention a finalement eu lieu dans l'amphithéâtre C1 (500 places).
Un (des) GC (gentil(s) candidat(s)) pourrait(ent)-il(s), par une commentaire, relater ce qui s'est dit à cette occasion ?
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Nous savons a posteriori que le Bâtonnier a notamment indiqué qu'il y avait trop de candidats à l'EFB (sous-entendu de Paris, car il n'existe pas d'autre EFB en France), et que de 1.417 (qui constitue le nombre connu divulgué par les candidats au C.A.P.A. après leur réussite au CRFPA 2007), le nombre de candidats devrait être revu à la baisse pour ne pas dépasser 1.200, notamment en raison de l'insuffisance de surface de locaux pour accueillir les candidats à l'EFB.
Lors de la réunion de rentrée des candidats au CRFPA 2009 qui a été tenue par le directeur adjoint de l'IEJ de Paris 12 le 17 octobre 2008, ce dernier a indiqué, lorsqu'un candidat 2009 a relaté ce propos devant tout l'amphithéâtre, qu'il ne s'agissait que d'une boutade, mais aucunement un propos qu'il fallait prendre au sérieux, propos qui ne s'expliquait que par des problèmes de superficie de locaux, problèmes qui venaient justement d'être solutionnés par l'EFB.
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Merci par avance pour vos contributions qui seront conservées.
Merci par avance pour vos contributions qui seront conservées.
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(NDLR : Merci au commentaire anonyme déposé le 10 septembre 2008 à 22h32, lapidaire et qui du coup ne suscite guère de réaction.
Y a-t-il moyen néanmoins d'en savoir un peu plus, car, ne l'oublions pas, ce qui n'a pas d'intérêt d'un point de vue peut en avoir d'un autre, sans pour autant être intéressant. Soyons clair ou devons-nous l'exprimer autrement ? Il serait intéressant de savoir, ainsi que pour les autres personnes empêchées peut-être, le message de fond que voulait faire passer le Bâtonnier, et même auparavant, de savoir à qui il comptait s'adresser au juste, l'affichage n'étant pas en corrélation avec l'invitation vigoureuse relayée par la secrétaire de l'IEJ.
Pardonnez cette curiosité, qui néanmoins ne semble pas illégitime, cher lecteur qui avez bien voulu dire deux mots (et pas un de plus), sur cette intervention du Directeur de l'EFB de Paris pour laquelle les candidats au CRFPA 2008 étaient fortement sollicités à participer. Pardonnez également le ton ironique qui ne vise pas à décridibiliser le sens de votre commentaire, mais effectivement à relayer que si cette intervention n'était pas intéressante, on doit se demander à quoi elle visait au juste...
Merci par avance de remplir un espoir de loquacité de votre part, cher commentateur, et chers lecteurs, même anonymes.
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Voici un exemple d'empêchement impérieux qui aurait pu arriver.
Il intéresse le droit des obligations ainsi que le droit pénal et le droit des assurances :
une automobiliste, fraîchement titulaire de son permis de conduire, a violé un "cédez le passage" pour venir tranquillement s'arrêter dans un autre véhicule, car manifestement, la pédale de frein était absente de la sienne. Les dégâts ne sont que matériels. Elle a refusé de remplir un constat amiable indiquant que l'autre conducteur n'avait pas à être sur sa route, à cette intersection. L'autre a appelé la police qui lui a indiqué que compte tenu de la situation, il valait mieux qu'il quitte les lieux, car la police, elle, en l'absence de dommages corporels, n'interviendrait pas.
Le ton a monté devant de refus de remplir le constat et l'appel à la rescousse par la conductrice fautive d'un frère-cousin-oncle, on ne sait pas très bien. Un témoin est alors intervenu, et a lui-même appelé la police qui cette fois-ci est intervenue. La conductrice était en infraction en ne portant pas la fameuse lettre "A" à l'arrière de son véhicule (petite infraction), a présenté une attestation d'assurance périmée (puis en a retrouvé une autre plus valide), et c'est sous la vérification des gardiens de la paix que la paix est revenue, que le constat a été néanmoins incorrectement rempli, seule la colonne du conducteur "victime" étant servie convenablement, l'autre étant a volo, les GPX obligeant malgré tout la conductrice à cocher une case et à indiquer le chiffre "1" dans la case adéquate du constat, les deux signant le constat.
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Mais l'intervention du Bâtonnier était passée.
Ainsi va la vie avec ses surprises et ses désagréments).
1 commentaire:
Rien d'intéressant.
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