Je remercie les lecteurs de ce cybercarnet animés de bonnes intentions d'en prendre connaissance, d'avoir l'aperçu d'un monde que personne ne maîtrise, de lire ou survoler certains articles comme ils le feraient pour un journal gratuit.
Une affluence record a eu lieu ce mercredi 10 septembre 2008 dont l'origine reste inconnue, mais il demeure néanmoins certains que certains lecteurs ne sont pas particulièrement animés de bonnes intentions pour la liberté éditoriale. La liberté reste donc un monde à conquérir jour après jour y compris dans un État démocratique, qui ne connaît aucun dictateur à aucune échelle de sa composante sociale. Ce cybercarnet ne permet pas d'installer un logiciel espion qui permettrait de connaître les adresse IP des lecteurs, et on ne peut que s'en féliciter dans une société démocratique.
Cependant, la richesse éditoriale provient également de la diversité, de la remise en cause argumentée d'articles que vous pouvez lire et qui vous pose des interrogations ou pour lesquels vous pouvez manifester vos désaccords qui ne peuvent qu'être enrichissants, rien n'étant certain.
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Aussi, vos contributions, par vos commentaires, mêmes anonymes, ce qui est la règle pour 99 pour cent d'entre vous, serait utile pour affiner certaines réflexions et répondre à certaines interrogations qui se posent sur ce métier de défenseur à la recherche de la justice et non pas de l'"ajustice" (désolé pour ce néologisme qui sera néanmoins probablement intégré un jour ou l'autre dans un dictionnaire, et qui serait définit comme un nom commun du genre féminin et signifierait logiquement "sans justice", d'où le "a" privatif.).
Ne faites pas que lire ou survoler, mais manifestez votre accord/désaccord et contribuez, s'il vous plaît, à une réflexion qui donnera à sens à ce métier de défenseur qui implique une certaine foi (non religieuse, tout en devant bannir les croyances sans les ignorer, les croyances étant la principale source d'injustices).
Merci par avance.
La plupart des questions traitées ne relèvent pas de l'imaginaire, mais sont des questions réelles pour lesquelles naturellement, l'anonymat doit être préservé ; il ne doit aucunement s'agir d'une question de personnes, mais d'une question de comportements qu'il convient de dénoncer lorsqu'ils sont inacceptables, mais aussi de se féliciter lorsqu'ils sont conforme à l'idéal de justice toujours remis en cause et en perpétuelle évolution (comme toute science humaine).
Ainsi, tel avocat qui incitait son client à avouer des faits qu'il n'avait pas commis, mais que tout laissait croire comme tel, sauf que ces croyances n'avaient aucun lien avec la vérité, pas celle judiciaire, non, celle plus simple du vécu. Cet avocat doit-il être considéré comme un défenseur, ou plutôt comme un auxiliaire dévoué du procureur de la République, accusateur public qui attise la haine naturelle entre les gens par la vindicte de ses propos plutôt que d'appeler à l'apaisement sans jeter l'opprobre sur son prochain ?
Tel procureur, qui officie dans le Sud, doit aujourd'hui avoir une vague idée du "retour de bâton", ce qui n'est pas, il faut bien en convenir, la recherche de la paix sociale à laquelle une société démocratique doit activement s'afférer.
La modération, après la santé, n'est-elle pas le plus grand bien que chacun puisse posséder ? Peut-on en douter ?
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