Quelques commentaires intéressants qui relèvent le niveau : c'est très bien ainsi car il semble que certaines idées fassent leur chemin chez certains candidats selon laquelle la profession d'avocats, avant même des connaissances, demande des qualités, à l'exception de l'une d'entre elles : l'empathie.
Pas d'empathie destructrice chez un avocat qui irait à l'encontre de sa déontologie, mais avant même "sa déontologie", la simple expression de son honnête intellectuelle forgée sur les bancs de la faculté de droit.
Pour gagner leur vie, beaucoup d'avocats font autre chaose que leur profession leur ouvre ou pour laquelle ils prétendent tirer une certaine légitimité : tel avocat qui nous raconte sa vie marseillaise alors qu'il passe son temps entre Paris et Saint-Tropez, tel avocat qui écrit des livres de droit ce qui correspond déjà beaucoup plus à ce qu'on peut espérer d'un tel professionnel, tel avocat qui enseigne et ils sont une légion..., lorsque tel avocat ne fait pas le troubadour dans Montpellier afin de payer ses charges faute de clients.
Chez lecteur, ce cybercarnet va reprendre son cours dans quelques jours et des informations promises de longue date vous seront alors délivrées.
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Quant aux sujets d'examen du CRFPA, ne nourrissez aucun faux espoir :
fasse à la masse de candidats, il faut avant tout éliminer.
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Aujourd'hui, faire de longues études conduit dans de nombreux cas tout droit à l'ANPE et non pas au métier espéré ou envisagé ; point d'exemple à vous communiquer puisque ce n'est pas l'objet de ce cybercarnet, mais simplement la lecture de diplômes diplômant rarissimes, à un tel point que leur intérêt pose plus de questionnements qu'ils ne donnent de réponse sur l'avenir.
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