vendredi 16 janvier 2009

Note de synthèse en vue de l'examen du CRFPA : 1er examen blanc le jeudi 26 février 2009.

Le premier examen blanc de note de synthèse juridique en vue l'obtention de l'examen du CRFPA 2009 est en vue ; il aura lieu le :
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jeudi 26 février 2009 de 10 heures à 15 heures dans l'amphithéâtre B3
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Une préinscription est demandée en vue de dupliquer le nombre de dossiers nécessaires.
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AVANT ce premier exercice pratique, une séance méthodologique est organisée le
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12 février 2009 de 13 heures 30 à 14 heures 30 en amphithéâtre B2
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A noter la particularité de l'exercice demandé pour l'accès au CRFPA par rapport à une note de synthèse administrative ou une note de synthèse ENM.
Consulter le site de l'ENM afin de voir ce qui est demandé pour l'accès à l'ENM, et mieux comprendre dès aujourd'hui la différence fondamentale avec ce qui est demandé pour le CRFPA :
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afin d'y lire les indications suivantes, et NE PAS EN REPRODUIRE UN CERTAIN NOMBRE DANS LE NOTE DE SYNTHESE demandée pour l'accès au CRFPA, alors que d'autres sont communes à toutes les notes de synthèse :
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3.2 - Les épreuves d’admission du premier concours d’accès
3.2.1 : Epreuve écrite sur documents
Durée : 5 heures
Modalités : Sur la base d’un dossier documentaire, rédigez une note portant sur une problématique judiciaire, juridique ou administrative.
Le dossier documentaire devra comprendre un maximum d’une quinzaine de documents (éléments d’un dossier judiciaire ou administratif, décisions de justice, articles de doctrine, textes normatifs, articles de presse, statistiques, extraits d’ouvrages ou de rapports ….. cette énumération est purement indicative et ne peut être regardée comme constituant un dossier type) dont le volume total ne devra pas dépasser vingt cinq pages (ces données chiffrées ne constituant pas des limites impératives mais des recommandations, le temps de lecture des documents ne devant pas dépasser en tout état de cause une limite raisonnable).
L’approche que doit avoir le candidat sera comparable à la démarche permettant de conduire à une prise de décision classique. Dans un premier temps il devra faire une synthèse des documents et dans un second temps il devra faire émerger les éléments permettant une prise de décision.
Un plan apparent (avec des titres concis destinés à retenir l’attention du lecteur), s’il n’est obligatoire, est fortement recommandé. Sa structuration est laissée à la libre appréciation du candidat.
S’agissant d’une épreuve permettant notamment d’apprécier les capacités de synthèse du candidat, la limite de six pages (copie du concours de quatre pages et un intercalaire) ne devra pas être dépassée.
Une introduction est possible mais non obligatoire. En quelques lignes elle peut présenter la problématique développée dans le dossier documentaire et les éléments de la décision.
S’agissant de la première partie, le candidat devra synthétiser objectivement les éléments du dossier. Il devra faire un choix éclairé parmi les informations contenues dans les seuls documents lui paraissant utiles. Il ne devra donc pas nécessairement faire usage de tous les documents.
A ce stade, seules les informations contenues dans le dossier peuvent être utilisées. Tout contresens sur le sens d’un document ne pourra qu’être sévèrement sanctionné. La qualité rédactionnelle du compte rendu est évidemment prise en compte, les déficiences orthographiques et syntaxiques, les impropriétés de termes, l’inélégance du style et les obstacles à la lisibilité ne peuvent qu’affecter la note. Le discours doit être impersonnel. La citation du texte d’un document, nécessairement courte et apparente, est exceptionnelle. La
provenance de chaque information n’a pas à être clairement identifiée (référence au numéro du document ou à son intitulé) sauf si cela apparaît nécessaire à la bonne compréhension.
S’agissant de la seconde partie, elle à vocation à dégager les éléments de nature à faciliter une prise de décision (constats, solutions ou orientations possibles, difficultés ou obstacles prévisibles, préconisations…). Elle nécessite dés lors une analyse dynamique des éléments du dossier en utilisant au besoin des éléments d’information exogènes (mais relevant du programme général des épreuves d’admissibilité et d’admission des concours d’accès). La critique éventuelle des documents constituant le dossier ou l’expression de l’avis du candidat est dans cette partie naturellement permise.
Une conclusion n’est pas nécessaire.
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