C'est un réel remerciement pour les lecteurs qui se connectent régulièrement sur ce cybercarnet qu'il convient de formuler.
Les curieux d'un jour, les détracteurs, n'ont aucun intérêts sinon d'assouvir leur propre chimère.
Vous qui vous connectez régulièrement et anonymement, vous cherchez certainement autre chose, mais ce cybercarnet vous l'apporte-t-il ?
Voudriez-vous lire autre chose ?
Voulez-vous connaître un nouvel avatar d'une justice à la dérive ?
Voulez-vous connaître un avocat qui ne ment pas et travaille pour le mieux, n'hésitant pas à passer des heures les samedis soirs et les dimanches soirs pendants que d'autres n'ont pensés qu'à leurs distractions du week-end ?
Voulez-vous connaître un avocat qui ne ment pas et pourtant qu'un magistrat d'un certain rang n'hésite pas à considérer comme un menteur ?
Vous qui êtes de ces lecteurs curieux d'un tel phénomène, manifestez-vous car en ignorant qui vous êtes, pourquoi vous donner beaucoup plus encore sur un métier qui n'est pas au-dessus des autres, pour lequel le serment n'a aucun mérite, mais qu'il faudra pourtant assumer de bouts en bouts, heures de jours ou heures de nuits... tant pour le fortuné que pour l'indigent, avec la même passion de la vérité !
Les autres, endormez-vous comme vous vous êtes réveillés, avec les mêmes certitudes et les mêmes ignorances, et continuez à vous épargner à jamais de consulter ce cybercarnet : vous avez mieux à faire... sortir de la masse, briller, gagner, mais succomber sur toutes les valeurs positives de l'homme, celle qui nous assurent un avenir et non pas celles qui nous anéantissent.
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Merci encore aux autres, et manifestez-vous ! Est-ce tant à vous demander ?
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(NDLR : Merci au commentaire déposé ce samedi 10 janvier 2009 à 12h21 très comminatoire, mais cela n'est pas un soucis.
Pour les statistiques, ce n'est pas le plus important. Bien entendu, elles vont venir, mais ce ne sont certainement pas elles qui vont changer les apprentissages, les investissements personnels à réaliser. Mais cela viendra...
Pour les écrits, un conseil déjà maintes fois dit, mais différemment peut-être.
Alors le voici dit autrement : les enseignants répondent souvent à des questions, et souvent avec sincérité. Vous savez, c'est exactement la même chose pour tout le monde : lorsqu'on nous pose une question inattendue, nous avons tendance à donner notre premier sentiment, qui a posteriori aurait dû rester secret de façon à ne pas heurter l'auditeur, qui peut ne pas être assez intelligent pour le comprendre.
C'est ainsi qu'en début des cours, en fin des cours, des questions sont posées, quelquefois d'une grande candeur à se demander si le candidat sait bien où il est. Mais en plus, au cours de son exposé, un enseignant peut dévoiler sa stratégie d'examen, car comme le candidat, l'enseignant a une stratégie sans laquelle il ne donnerait que des mauvaises notes dans beaucoup de cas, ou à l'inverse trop de bonnes notes dans d'autres.
Ce préambule étant fait, voilà au moins ce qu'il faut écouter avec une certaine attention, mais quelquefois un piège lorsqu'on connaît en réalité l'enseignant qui l'énonce : les "conseils d'ambiance". Ce sont ces conseils qui n'ont l'air de rien et sont souvent pourtant répétés à plusieurs reprises ; au bout d'un certain temps, l'enseignant, qui n'est pas gâteux, va finir par considérer (à tort) qu'il a bien été entendu par son auditoire, censé "boire" ses paroles.
La réalité, nous la connaissons : peu de candidats prennent en notes ces "conseils d'ambiance" qui sont pourtant au coeur de ce que va être l'examen final.
Il y a au moins trois catégories d'enseignants :
1) ceux qui mettent les pieds dans le plat et enfoncent le clou (si les candidats ne comprennent pas, ils ne peuvent pas se plaindre de leur échec dans la matière),
2) ceux qui ne disent rien (ils sont rares car s'ils provoquent une désaffection de leur matière, cela va se savoir entre les candidats, qui vont se rabattre sur la matière d'un enseignant de la catégorie une,
3) ceux qui piègent (ils sont encore moins nombreux et ont tendance à être éliminés de l'enseignement) et vous disent : "prenez ma matière, vous verrez, c'est facile" - sauf si l'on est féru de cette matière, il vaut mieux éviter les matières qui seront corrigées par ces enseignants là, avec des sujets truffés de pièges, hors de porté d'un candidat au CRFPA, sauf s'il a déjà pratiqué professionnellement la matière.)
1 commentaire:
Tout d'abord, nous attendons toujours les statistiques sur l'admission au CRFPA. Puis, les idées comment préparer les écrits, comment optimiser les recherches de jurisprudence, expériences des stages des uns et les autres, actualité (elle sera très riche, notamment en procédure pénale). Merci
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