vendredi 17 avril 2009

Suzan BOYLE : incroyable, comme quoi les talents peuvent se révéler à tout âge...

Que dire de plus sinon un bourdonnement parfaitement mérité !
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(NDLR : Mille fois merci (désolé pour le nombre nettement exagéré, mais galvaudé par la vox populi) au commentaire anonyme déposé sous cet article non écrit, et pour ainsi dire non commencé, ce samedi 18 avril 2009 à 20 heures 55 et pour lequel il n'y a pas grand chose de plus à dire sinon à aller écouter cette artiste en devenir. C'est, semble-t-il, l'illustration que le véritable mérite n'est pas celui qui se manifeste par le port de la célèbre montre de marque (dont le nom reviendra plus tard s'il présente un intérêt, mis à part d'assurer sa fonction première : donner l'heure), et dont l'auteur de la phrase qui elle aussi a fait tant de bruits récemment encaisse plusieurs millions d'euros de revenus annuels ! On connait les excès de l'auteur, on découvre un certain mépris pour ceux qui le nourrissent, nous tous.
Mais, s'il n'y a pas grand chose à dire sur Madame Suzan BOYLE, ce n'est qu'apparences et cela nous ramène aussi vite aux juristes-praticiens en devenir qui nous intéressent.
Qui aura véritablement du talent, celui intrinsèque de ne pas user de la roublardise, de ne pas mentir, d'exercer un métier dont il a la fibre ?
Voilà sobrement une question récurrente à l'oral d'exposé-discussion que nous suggère le succès soudain du bourdonnement autour de Madam Suzan BOYLE.
N'avez vous pas remarqué qu'il risque d'être très éphémère ?
N'avez-vous pas remarqué que si elle n'était pas habillée comme une midinette (ce que la robe du juge ou de l'avocat vise également à dissimuler), elle a à peu de choses près la même voix qu'une certaine Madame Céline DION ?
Certains ne l'ont-ils pas entendue qu'en terme de P.L.A. ?
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Quant à être coincé, ce qui ne peut être considéré comme dénigrant, mais comme une simple considération d'usage, la connaissance de ce qui se passe véritablement dans les cabinets des avocats et des juges va provoquer un choc des cultures, la pureté de l'apprentissage des connaissances face à la misère intellectuelle du terrain : ce n'est pas beau, les médias le disent souvent, mais ils sont loin d'atteindre le coeur des problèmes.
Pour vous guider un peu dans cette réflexion, pouvez-vous répondre à cette question à tiroirs posées précédemment : comment est fabriqué un arrêt des juridictions d'exception ?
Cela ne donne pas réellement envie, on va le savoir...)

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Comme quoi, vous n'êtes pas que juriste, mais aussi mélomane. L'un n'empêche pas l'autre, mais vous semblez tout de même un peu "coincé".