samedi 27 mars 2010
Colloque à la faculté de droit de l'UPEC le jeudi 15 avril 2010 : "la fiducie dans tous ses états"
Publié par
Cybercarnet21
à
09:41
0
commentaires
Avez-vous, vous-mêmes des questions à poser ?
Question parfaitement judicieuse : on ne comprend pas pourquoi les enseignants concernés ne donnent pas le sujet avant, ne le diffuse pas sur internet avec le corrigé-type et un magnifique 18,5/20 pour tout candidat qui lui restituera son corrigé à la virgule près.
C'est surprenant, et autant poser directement la question aux enseignants concernés.
Et soyez aimable de faire connaître la réponse par cette voie : aucun lecteur ne voudrait en manquer une miette !
Provocation de printemps...)
Provoquer à la provocation, cela rappelle quelque chose.
Pour cette matière très sensible, et ce qui en réalité ne change pas grand chose à sa difficulté, la seule indication délivrée depuis des années est immuable : il ne s'agira jamais d'une dissertation.
Pour le reste, on peut broder autant qu'on le veut sur tel ou tel type de sujet, l'aspect très récent de l'arrêt ou un peu moins s'il s'agit d'un commentaire d'arrêt.
Les enseignants ont une certaine prédilection pour le cas pratique, ce qui s'il ne permet pas des notes nécessairement fabuleuses, encore que, il permet au moins de n'avoir pas à relire une copie fondée sur la mémoire du candidat.
Il ne faudrait pas perdre de vue que le CRFPA, avant d'accueillir, vise à éliminer.
Et puis c'est tout concernant cette matière : on n'en a jamais su plus, on n'en saura jamais plus.
On ne sait que le jour J.
Dans le cadre du cas pratique, certains candidats dénichent des idées qui n'apparaissent pas évidentes, y compris aux correcteurs ; on ne sait pas dans quelle mesure les correcteurs y prêtent attention et leur accordent une plus-value, voire une moins-value. Au moins, ces idées montrent que le candidat ne fait pas que d'utiliser sa mémoire au détriment du raisonnement juridique. Le libellé de l'épreuve est sans ambiguïté et il est vrai qu'il ne s'agit pas de faire uniquement une démonstration intellectuelle ni démontrer sa prodigieuse mémoire, mais de démontrer que ce qui est écrit par le candidat est le fruit d'un raisonnement.)
Publié par
Cybercarnet21
à
08:00
6
commentaires
vendredi 26 mars 2010
Des questions à venir.
Publié par
Cybercarnet21
à
10:43
0
commentaires
jeudi 25 mars 2010
C'est merveilleux de découvrir ce soir que l'euro est ...
Publié par
Cybercarnet21
à
22:59
0
commentaires
lundi 22 mars 2010
La contribution climat énergie "à la trappe" !!!
Publié par
Cybercarnet21
à
11:16
0
commentaires
samedi 20 mars 2010
Jacques Viguier innocenté pour la seconde fois : c'est la décision populaire.
Publié par
Cybercarnet21
à
20:10
1 commentaires
vendredi 19 mars 2010
Ce n'est pas joyeux, du moins est-ce une perception.
Publié par
Cybercarnet21
à
10:03
0
commentaires
jeudi 18 mars 2010
Qui a gagné ce 3ème concours de plaidoirie ? C1, C2, C3 ou C4 ? Quel classement ?
.
Un concours qui aura souffert de bout en bout de questions d'organisation qui n'ont en rien entaché la qualité des prestations des finalistes.
Sur l'organisation, notons en toute objectivité pour cette finale (comme pour les quarts-demis-finales) la sous-utilisation des possibilités offertes par les locaux, cela à trois moments :
- un accès à l'amphithéâtre retardé et pour lequel le public s'est montré patient, faisant un accueil triomphal au jury composé de neuf membres, les membres du jury ayant participé aux tours précédents s'installant dans le public.
Par glissement, ce n'est donc qu'à 17 heures 30 que l'accès à l'amphithéâtre a été offert au public, et de façon inexpliquée sur le moment, par une unique porte d'accès en bas de l'amphithéâtre. L'explication viendra quelques minutes plus tard lorsqu'un organisateur prendra la parole afin d'expliciter quatre règles de conduite pour le public, tels un "chauffeur" de plateau de télévision, le jury, dans les robes de leurs fonctions ou attributions, devant faire son apparition par le haut de l'amphithéâtre, le public se tenir debout, ce qui inévitablement ne pouvait provoquer que des hourras et bravos. Très belle mise en scène.
- pendant les prestations, on pouvait regretter la faible exploitation de l'éclairage disponible dans l'amphithéâtre tant pour le jury que pour les candidats, les éclairages latéraux n'ayant été allumés que tardivement tandis que le jury restait dans une lumière très modérée devant le tableau "noir" de couleur verte.
Il ne s'agissait pas de créer un décors, mais d'utiliser tout le potentiel des installations disponibles. C'est un élément de mise en valeur qui a pu manquer.
- à la fin des prestations, l'invite au public à quitter l'amphithéâtre le temps de la délibération du jury a inévitablement conduit à la dissipation dudit public, une bonne partie quittant définitivement les lieux.
Il apparaissait assez certain qu'en demandant au public de quitter l'amphithéâtre A2, une bonne partie n'allait pas revenir pour assister au résultat de la délibération, savoir le classement des finalistes et la remise des prix. Ce qu'on aurait pu comprendre d'une certaine façon à Saint-Maur dans des locaux inadaptés et délabrés est assez inexplicable à Créteil où des salles de cours sont à proximité immédiate de l'amphithéâtre où le jury aurait pu se retirer quelques minutes pour délibérer, les portes étant closes par les organisateurs le temps de la délibération, puis revenir, devant un public qui aurait encore été très important, afin de délivrer leur classement.
Tout juste à se demander si cette façon de faire ne visait pas à évincer le public important d'agapes qui pouvaient couronner la fin du concours. Passons.
Les sujets étaient très différents et si l'un risquait de dériver, l'autre risquait de sombrer.
Deux candidats se sont distingués aux extrêmes tandis que deux autres devaient réellement être classés.
Lorsqu'on connaîtra les résultats du concours, on pourra envisager de voir si aucune erreur sensible d'interprétation n'a été faite.
Un candidat s'est distingué par la qualité de sa prestation, à la fois parfaitement originale tout en étant parfaitement crédible dans sa démonstration.
Un autre semblait à bout de souffle, probablement parfaitement audible du jury, mais difficilement audible du public. Le public a d'ailleurs réagit à cette prestation, les téléphones portables, qui malgré les consignes initiales, n'avaient pas été éteints, servant alors à jouer à des jeux de cartes ou à expédier des textos.
Deux candidats étaient entre-deux.
Le jury, il est vrai, présidé par le doyen de la faculté de droit et comptant d'éminents professionnels de la profession (avocats, enseignants, certains ayant les deux "casquettes" simultanément) a pu apprécier des prestations qui s'adressaient principalement à lui de façon générale, avec quelquefois de la part d'un candidat, la dénomination de "jurés", qualification pour le moins inadéquate pour un concours de plaidoiries dans une enceinte vouée à l'apprentissage du droit.
Cela n'est pas essentiel sans toutefois devoir être ignoré, la terminologie ayant son importance. Nous n'étions pas dans une cour d'assises, et si tel avait été le cas, ce sont bien les jurés qui se seraient retirés, le public ensuite, invité à quitter les lieux par les forces de l'ordre tout le temps du délibéré.
.
Les questions délicates notées pour le tour précédent ne se sont pas reproduites, et lorsque cela a pu être le cas, la modération a été pratiquée par les candidats eux-mêmes, assurant le respect qu'il convient entre les uns et les autres, assurant ainsi la prestation attendue : un exercice d'éloquence et rien d'autre.
.
Il faut maintenant connaître le résultat. Le classement des candidats C1 à C4 permettra à chacun de se reconnaître sans qu'il soit utile de publier son identité, bien que le concours soit accessible au public le plus large.
Voici le classement, conforme à nos impressions les moins subjectives possibles :
- premier : C2,
- deuxième : C3,
- troisième : C1,
- quatrième : C4.
Personne ne peut se montrer surpris de ce classement, qui notamment, ne prend pas en compte un déclassement qui aurait pu avoir lieu d'un candidat appelant ostensiblement son adversaire par son nom, ne respectant pas la neutralité qui sied à ce jeu oratoire.
L'affaire est faite et vivement le quatrième concours de plaidoiries, qui probablement prendra en compte les péripéties rencontrées à l'occasion de ce troisième concours de plaidoirie et premier concours pour la toute nouvelle UPEC de Créteil.
Publié par
Cybercarnet21
à
20:57
0
commentaires
Épreuve pratique : 2ème examen blanc ce jeudi 18 mars 2010 pour l'épreuve pratique du CRFPA 2010.
Voici les 10 sujets dans leur nature :
- DPF : cas pratique
- DPGS : cas pratique
- PCS : cas pratiques
- DP : cas pratique
- DT : cas pratiques
- DIP : cas pratiques
- DA : CE, 24/07/2009-CRII GEN
- DE : cas pratique
- DCA : cas pratiques
- DFA : exercices et micro-dissertation.
Publié par
Cybercarnet21
à
08:12
0
commentaires
mardi 16 mars 2010
3ème concours de plaidoiries finale le jeudi 18 mars 2010 à partir de 17 heures en amphithéâtre A2.
- vaut-il mieux contredire une femme plutôt qu'attendre qu'elle change d'avis ?
- faut-il attendre que les choses se retournent pour les prendre du bon côté ?
Publié par
Cybercarnet21
à
15:20
0
commentaires
2ème examen blanc du CRFPA 2010 : droit des obligations et procédures.
Seuls deux sujets étaient encore disponibles dans l'amphithéâtre à une certaine heure.
Voici les quatre sujets proposés aux candidats :
- droit des obligations : 1ère civ. 14 mai 2009, pourvoi n° 08-15899, au visa de l'article 1147 du code civil, un arrêt de cassation,
- procédure civile : sujet théorique - "la nullité des actes de procédure", sujet passionnant à l'huere où les avoués sont sur leur fin,
- procédure pénale : sujet théorique à partir d'une citation - "derrière la clameur de la victime se trouve une souffrance qui crie moins vengeance que récit", quelles réflexions cette citation de Paul Ricoeur vous inspire-t-elle au regard du statut de la victime dans la procédure pénale française contemporaine ?
- procédure administrative et contentieuse : examen d'octobre 2009 - note synthétique et ordonnée sous CE, Ass. 08/04/2009.
Publié par
Cybercarnet21
à
09:58
0
commentaires
lundi 15 mars 2010
Et cette note de synthèse, elle parlait de quoi ?
Ce lundi 15 mars 2010 de 10 heures à 15 heures a donc eu lieu la 2ème note de synthèse en examen blanc au CRFPA 2010 à l'IEJ de l'UPEC de Créteil.
Jusque là, aucune erreur !
Oui, une note intitulée : "la dignité de la personne humaine", avec un dossier de 33 pages à lire, contenant 12 documents datés entre 1995 et 2009, et plus précisemment, des articles tirés de codes (civil, santé publique), quatre documents de doctrine ou divers, six décisions émanants de diverses juridictions.
Publié par
Cybercarnet21
à
21:53
1 commentaires
Lundi 15 mars 2010 : de 18 heures 30 à 20 heures 30 - Cour de cassation - conférence
Cycle droit et technique de cassation - Du moyen à l'arrêt : la technique de cassation au service du droit.
Pour se plonger dans des considérations essentielles, le public était assez nombreux (environ une petite moitié de la Grand' Chambre), avec des points soulevés surprenants du genre :
- la Cour de cassation est-elle une juridiction ?
- question subsidiaire : la Cour de cassation est-elle une juridiction suprême ?
(deux questions intéressantes pour l'oral d'exposé-discussion avec les examinateurs : réponse à la première question : "oui", réponse à la seconde question : "non" ; mais pourquoi dans un cas comme dans l'autre et selon le "point de vue" des intervenants),
- l'émoi dans toutes les chambres provoqué par l'arrêt récent de la Cour de Strasbourg qui incite les hautes juridictions à motiver leurs revirements de jurisprudence, CEDH, 14 janvier 2010, Atanasovski c. l’ancienne République Yougoslave de Macédoine, arrêt à ne pas louper..., du moins est-ce comme cela que l'arrêt est perçu, (comme nous sommes un peu attentif et imprégnés de droits, nous savons que le Cour ne se prive pas de revirements, ou plutôt en réalité d'évolutions, sachant motiver ses arrêts, ce qui exacerbe la Cour de cassation), avec l'idée ancrée et encrée que l'on va s'efforcer de ne rien changer aux bonnes/mauvaises pratiques,
- une critique acerbe et "off" de la prétendue présence des avocats généraux aux audiences (publiques, et auxquelles il faut au moins aller une fois afin de voir qu'on est alors le seul "public", les magistrats enfilant alors la robe et l'avocat général brillant par son absence) de la Cour de cassation, au nombre de 48, et souvent appelés à d'autres tâches,
- la notation des arrêts par les chambres elles-mêmes (on n'est jamais mieux servi que par soi-même),
- l'information sur l'inutilité des arrêts de rejet à tous points de vue, y compris pour les "gens de la doctrine", sauf valant de temps en temps (décennal) "piqûre de rappel" ; ils devraient en réalité faire l'objet d'une non-admission, mais il faut tout de même donner une certaine satisfaction au demandeur perdant,
- des moyens relevés d'office de plus en plus souvent et dont on ne veut pas trop parler,
- la prochaine systématisation de la publication des pourvois en annexe pour les arrêts de cassation,
...
MAIS, rien de bien précis quant à la "vitamination" (encore un néologisme) des moyens qui permettent de casser, ni sur la publication des "discussions" qui sont formulées sous chaque moyen d'un pourvoi et dont seuls les initiés connaissent l'existence et le contenu (jurisprudence, doctrine, bla-bla),...
.
Vraiment un conférence intéressante que l'on pouvait mettre en relation avec ce qu'il nous est donné à lire.
Publié par
Cybercarnet21
à
17:04
0
commentaires
dimanche 14 mars 2010
Il faut aller voter, et ce soir, observer les listes des résultats, voire avant même, participer aux opérations de dépouillement.
Publié par
Cybercarnet21
à
08:12
0
commentaires
CAPA 2009 : les débouchés - les nombres dans la Gazette du palais n° 59 à 61 du 28 février au 02 mars 2010.
Publié par
Cybercarnet21
à
00:05
0
commentaires
samedi 13 mars 2010
Vers un moteur de recherche conciliant les libertés individuelles et la protection des mineurs.
Publié par
Cybercarnet21
à
23:15
0
commentaires
vendredi 12 mars 2010
Vous êtes à la recherche de reconnaissance, vous voulez vous faire une certaine "publicité", ce cybercarnet n'est pas pour vous.
Cela est inexact : vous le signalez vertement ;
cela est contestable : vous argumentez sans pour autant énoncer des contrevérités.
Un enseignement de l'IEJ le dit avec justesse : "il y aura toujours quelqu'un pour vous contredire". Incontestable, et d'autant plus lorsqu'on lit une décision de justice dont le sens peu sembler pour le moins curieux, tant du point de vue du dossier et des preuves apportées, que de la lecture qui est faite d'une disposition légale dont le législateur a laissé le soin au juge de la préciser.
Ce cybercarnet n'est pas un réseau social, sans âme, sans vie, indifférent à l'indifférence.
C'est naturellement désolant pour les lecteurs mieux inspirés, et qui peuvent toujours proposer un commentaire, la modération ne visant qu'à différer ou à empêcher l'affichage, mais certainement pas à remettre en cause l'écriture et l'expédition.
"
Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre message "Vous êtes à la recherche de reconnaissance, vous v..." :
Si vous ne voulez pas qu'on vus lise, pourquoi continuez-vous alors? N'avez-vous donc rien d'autre à faire? Ou alors faites-vous partie de ces fonctionnaires de la justice qui n'ont rien à faire toute la journée? Envoyé par Anonyme à PXII - AVOCATS - sur l'IEJ de l'UPEC Créteil -ex-PARIS 12- sur le CRFPA et l'ENM - BLAWG le 12 mars 2010 20:17
"
Publié par
Cybercarnet21
à
13:42
1 commentaires
Comptages : lequel des deux compteurs fonctionne correctement ?
Publié par
Cybercarnet21
à
10:02
0
commentaires
jeudi 11 mars 2010
Planning réglé.
Publié par
Cybercarnet21
à
23:56
0
commentaires
Concours de plaidoirie 2010 : les meilleurs du tour d'aujourd'hui seront les "finalistes" du tour de la semaine prochaine.
Le jury composé de cinq membres, n'est pas sorti de l'amphithéâtre A2 à la fin du tour, demandant au public de le quitter afin de rester sur place pour délibérer.
Il procède donc, sans influence extérieure, à la sélection des finalistes dont les noms seront connus sous peu, noms qui ne seront pas diffusés sur ce cybercarnet, où pour le moins, sauf si la publicité apporte quelque chose, l'anonymat est de rigueur, y compris pour le contenu des commentaires déposés, voire pour les commentateurs eux-mêmes s'ils cochent la case ad' hoc pour conserver leur anonymat, ce que personne ne serait leur reprocher dès l'instant où le commentaire ne vise à outrager personne, ni dans sa personne, ni dans sa fonction.
Sans prétendre guider les finalistes, peut-être serait-il opportun de leur indiquer, et ils en feront ce qu'ils veulent :
1) ne jamais prendre à partie le jury ni collectivement ni individuellement,
2) solliciter éventuellement le jury dans sa globalité comme cela a été fait aujourd'hui par certains concurrents, et poliment,
3) lire les sujets en y mettant les mots qui sont l'inverse de ceux du sujet lui-même, et pour le dire autrement, puisque l'un doit défendre la thèse qui approuve tandis que l'autre doit défendre la thèse qui s'oppose, trouver pour l'un et l'autre, dans les mots inverses de ceux du sujets les arguments qui peuvent être développés tout en soutenant la thèse. Prenons en exemple le sujet sur les réseaux sociaux : quelle question aurait pu être contraire et traiter de la même chose ?
Changeons les termes du sujet pour trouver des arguments solides :
- quel est l'opposé d'un réseau ?
- quel est l'opposé de social ?
- quel est l'opposé de anti-social ?
et l'on découvre alors des arguments à soutenir dans l'individualisme, dans l'asociabilité, dans la société, voire la communauté, voire avec prudence le communautarisme, tout en traitant le sujet posé et en soutenant la position qu'il est demandé de soutenir. Sujet difficile, il est vrai, mais pour lequel aucune réponse positive n'a été véritablement argumentée, ni plus de réponse négative.
La formulation elle-même méritait un certain temps d'observation : il y a un point d'interrogation, mais pas de verbe ; en fait, ce n'est pas une question mais une interpellation. A
u mépris des nombres connus, 150 millions d'adhérents au fameux réseau asocial dénommé F...K, qui n'est qu'un recueil de données personnelles, et dont la nocivité n'est plus à démontrer maintenant que l'effet de mode est passé et que les effets négatifs se font durement ressentir, le réseau a été décrit comme "universel" ; c'était peut-être excessif et finalement un défaut d'argument, ou un argument du type "café du commerce" cher à des enseignants de Paris 12 qui les abhorrent.
Autre sujet :
On ne va pas plus développer sur les cellules de "cinq mètres carrés" selon un concurrent, peut-être une confusion avec les ex-chambres de bonnes d'immeubles haussmanniens, car même si la surpopulation carcérale est établie avec des occupations en surnombre, les cellules d'emprisonnement ont un taille minimum de 9 mètres carrés, y compris pour de très anciens établissements pénitentiaires utilisés comme maisons d'arrêts, la situation étant différente dans les "établissements pour peine" qui se subdivisent entre les centres de détention (CD) pour les peines les moins lourdes, et les maisons centrales (MC) pour les détenus les plus difficiles. Pour les maisons d'arrêts (MA), de capacités d'accueil très variable, pour les détentions provisoires et les courtes peines, il est vrai qu'il y a quelquefois jusqu'à six détenus dans la même cellule, ce dans les circonstances non communes de changement d'établissement pénitentiaire ; en temps "normaux", selon le cas, l'occupation va de un à quatre détenus, et au-delà de un, neuf mètres carrés 22 heures sur 24, ce n'est pas bien grand.
Et l'"héritage" qui a été confondu sans aucune gène avec l'"histoire", bien que le premier thème ait été longuement abordé, puis à court d'arguments pour la plupart fallacieux, lorsqu'ils n'étaient pas tout simplement dénigrants, voire plus, insultants pour un groupe social important, se rabattre sur l'"histoire" était une façon de meubler sans jamais répondre à la question pour laquelle les arguments étaient innombrables dans un sens comme dans l'autre sans se cantonner à un "oui" ou à un "non".
Les arguments à développer ont été dit, mais traités comme des exemples, alors qu'il s'agissait des arguments en soi à développer. Bien sûr qu'il y a une idée de temps dans l'héritage, tout comme dans la prison. Il y a également une idée de valeur présente ou absente, d'espace présent ou absent, etc. autant d'idée abordées comme de simples exemples alors qu'il s'agissait du cœur du sujet.
Évitons de parler d'un concurrent largement gagnant à l'applaudimètre, mais dont la prestation, certes un jeu de comédien pour ce concours, semblait néanmoins, dans le verbe, à plusieurs reprises, repoussante
Il faut en convenir, il existe bien ce type de "défenseur" qui n'œuvre que pour son égo, mais à l'encontre des intérêts de son client : les juges n'apprécient pas et ces juges, pas si nombreux, se passent le nom des "défenseurs" dont la cause, aussi juste soit-elle, est perdue non pas en raison de la cause, mais en raison du "défenseur" qui l'incarne.
On a été étonné d'apprendre qu'un Huissier de justice "défendait" des clients. Le jury a réagit avec bienséance. Il faut rester sur des terrains que l'on maîtrise, même faiblement, et prêter attention à ne pas glisser sur des peaux de bananes en affirmant des contrevérités absolues.
Pour savoir s'il fallait tout dévoiler, l'essentiel de l'argumentation retenue concernait l'aspect sexuel, échappant l'idée, comme pour tous les sujets par ailleurs, qu'il convient de se situer dans une certaine actualité du sujet, ou le mettre à l'aune de l'actualité. Les trois sujets qui précédaient donnaient d'ailleurs de formidables arguments pour le dernier, avec le caractère impersonnel de la question. Encore une fois, il faut probablement prendre le temps d'observer le sujet avant même de tenter de le traiter. Observer, cela prend le sens de le regarder dans sa calligraphie afin d'y trouver quelque chose qui n'apparait pas dans les termes du sujet lui-même, mais dans l'association de tous les mots du sujet, dans sa construction même, comme si la place des mots n'était pas plus innocente que les mots utilisés eux-mêmes, auquel cas un dictionnaire n'est pas utile pour trouver ce qui doit apparaître par la simple observation. On tirait probablement de cette forme impersonnelle quelque chose d'important ayant du sens avec les mots utilisés pour le sujet...
Fort de ces quelques éléments, qui volontairement imprécis, superficiels, ne peuvent qu'inviter à une prestation de bonne tenue, pour le moins, dans le cadre du serment d'avocat dont la connaissance des termes aurait peut-être permis de donner une plus-value à des plaidoiries peu argumentées, voire indignes, nous attendons de vivre une finale qui nous laissera une image redorée de ce concours qui doit apparaître comme une manifestation positive pour la faculté de droit de l'UPEC.
Les organisateurs ayant la bonne idée de faire la capture vidéo de toutes les prestations, tout peut être analysé dans le détail s'il était besoin, et contredire ce qui pourrait être écrit de façon approximative, ou abonder plus vigoureusement encore dans ce qui n'était pas plaisant à voir et à entendre.
.
Souhaitons vivre une finale de ce troisième concours de plaidoiries 2010 de la faculté de droit de l'UPEC (feu-Paris XII) qui présente une certaine dignité, qu'une moitié des candidats du jour au moins, a pratiqué. Merci à eux.
Quant au jury, souverain, il a désigné qui bon lui semblait pour la finale. Peut-on s'imaginer cependant un instant qu'il fût plus dupe que l'auditoire, qui n'est pas prétendu être représenté ici.
Humain, il aura probablement ressenti les plaideurs pour ce qu'ils sont : des êtres humains, et non pas de simples personnages s'incarnant un moment dans le peau d'un prétendu défenseur.
Certes, un jeu, mais un jeu de qualité.
Merci aux organisateurs d'avoir procédé à une publicité plus importante et à un affichage plus intensif.
Que le meilleur gagne !
Publié par
Cybercarnet21
à
16:52
0
commentaires
Oui, oui, oui, comme dirait Madame Rozeline X, connaissance personnelle, brocardée par Monsieur Laurent Gerra : il faut aller voter dimanche 14 mars pour le 1er tour des "régionales".
Publié par
Cybercarnet21
à
01:08
0
commentaires
mercredi 10 mars 2010
Des moteurs de recherches "idiots" à parfaire.
Publié par
Cybercarnet21
à
19:11
1 commentaires
Concours de plaidoiries 2010 à la faculté de droit de l'UPEC : jeudi 11 mars 2010 de 14 heures à 17 heures, amphithéâtre A2.
Prenez des nouvelles...
- gagnons-nous à travailler ?
- l'héritage est-il une prison ?
- réseaux sociaux anti-social ?
- faut-il tout dévoiler ?
Aux abords de la faculté, le concours est enfin annoncé clairement, et il était temps au stade de ces demi-finales (en réalité quarts de finales jumelées).
Dès l'entrée de la faculté, dans le hall du bâtiment A, on reste néanmoins surpris de lire très visiblement les sujets posés pour les huitièmes de finales du 04 mars 2010, alors que les sujets de ce 11 mars sont placardés très sobrement à l'entré de la bibliothèque de droit ainsi que sur quelques portes, au format A4.
Cela ne dissuadera personne de comprendre que c'est à l'amphithéâtre A2 qu'il faut se rendre à partir de 14 heures ce 11 mars et jusqu'à... pour écouter et assister au spectacle de ce concours.
On notera, afin de comprendre, la distinction qui doit être faite entre :
- des "candidats en défense OUI", et
- des "candidats en accusation NON".
Un plaideur n'est-il pas toujours en défense, qu'il soutienne une position positive ou une position négative ?
Si on s'arrête à la seule formulation, n'est-ce pas strictement le même chose, une "défense OUI" et une "accusation NON" ?
C'est inacceptable.
Quant aux sujets, ils ne méritent guère d'en parler puisque les concurrents les ont revisités, soit pour ne pas les traiter, soit pour éviter même de les comprendre, sans même chercher à en tirer la substantifique moelle, se limitant aux mots qu'ils lisaient, abondé de leur définition par les dictionnaires, sans même rechercher les termes opposés qui leur auraient permis dans la plupart des cas de trouver des arguments moins superficiels, et pour certains de ne pas se livrer à une succession de citations, qui certes, contenaient les termes du sujet, mais n'étaient pas mises en valeurs pour le sujet. Cette façon de procéder est typique d'une recherche dans un moteur de recherche internet.
Certains propos étaient même la manifestation de l'ignorance absolue de ce qui était soutenu, lorsqu'ils n'étaient pas simplement infamants, voire plus pour certaines personnes ou catégories de personnes.
Le concours n'explique pas en soi cette "liberté de ton" face à un public attentif, même si tout n'était pas très audible, et alors que si une telle liberté est donnée à l'avocat, elle n'est que relative, l'immunité de l'audience n'étant pas absolue, loin s'en faut.
Ce n'est qu'un aperçu général de cette "demi-"finale qu'il faut nuancer, naturellement, ne pas prendre comme ayant une valeur absolue pour tous ; mais cela ne laisse pas au final une bonne impression de ce tour du concours, concours pour lequel un commentaire indiquait, à l'occasion d'un tour précédent, le niveau "particulièrement élevé" des participants.
Sans connaître les règles du jeu, le "niveau" est subjectif et à géométrie plus que variable.
Il aurait été bon de diffuser les règles du jeu, non pas pour en faire le procès, mais au moins afin de donner quelques règles de (bonne) conduite aux concurrents, le cadre qu'il ne faut jamais franchir, celui qui distingue un concours de plaideurs publics de discussions privées.
À la recherche des organisateurs, on n'a trouvé que porte close et rien n'indiquant comment les joindre. On ne sait pas qui ils sont et ne donnent aucun moyen de les contacter.
Amuser le public, certes, mais le faire rire "jaune" n'est pas une nécessité absolue.
Il faut reconnaître que de tels propos ne sont pas sortis de la cuisse de Jupiter, mais ont bien été appris au cours de l'éducation, ou entendus et retenus, leur sens ne pouvant pas être inconnu. Mais les utiliser dans le cadre d'un tel concours, ce n'est pas acceptable.
Il ne s'agit pas d'une question morale, relative, mais de propos objectivement dénigrants (le mot est mesuré) pour les personnes visées, qu'elles soient ou non présentes dans l'amphithéâtre, accessible pour la circonstance au public, c'est-à-dire à tous, à tous les gens de la rue venus pour écouter et voir quelque chose, qui pour le moins, doit les distraire sans plus. Mais là, pour certains concurrents, pas pour tous, c'était objectivement autre chose qui n'a pas sa place pour un tel concours. Même l'arrivée attendue et en devenir du printemps ne l'explique pas.
Gageons que les choses seront mieux encadrées pour la finale du jeudi 18 mars 2010 à partir de 14 heures avec finalement un concours qui se terminera sous des éloges mérités pour ceux, qui au moins, et il y en a, ont su avoir de la tenue dans leur prestation, y compris en réplique et en duplique.
Publié par
Cybercarnet21
à
18:35
0
commentaires
Quelques jours avant le deuxième examen blanc... du CRFPA 2010.
Le deuxième examen blanc aura lieu dans la semaine n° 11, ce que personne ne peut plus prétendre ignorer maintenant que l'IEJ de l'UPEC de Créteil a son site.
L'enseignement "traditionnel" n'est plus au top des méthodes d'enseignements selon les uns, ceux-là mêmes qui se plaignent de la baisse continuelle (très relative) du niveau des autres... Peuvent-ils s'en plaindre ou cela ne fait-il pas le jeu de ceux qui savent que l'enseignement "traditionnel" est incontournable pour réaliser des progrès ?
Publié par
Cybercarnet21
à
18:22
0
commentaires
Fait d'hiver divers : ce nouveau procès Vigier, que de rebondissements.
Publié par
Cybercarnet21
à
09:43
0
commentaires
mardi 9 mars 2010
Ce mardi 09 mars 2010, grande mobilisation nationale pour défendre les métiers du droits.
Personne ne peut prétendre en ignorer les raisons profondes : sur l'autel de la préservation de privilèges acquis par certains, notamment en profitant d'une dette publique très importante, une "crise" qui porte mal son nom et est plutôt une mutation de société durable au profit des pays du SUD, il faut couper court à d'autres dépenses pour tenter de revenir à un certain équilibre dont il n'est pas certain que les justiciables sortent satisfaits.
On ne peut tout de même pas prétendre se plaindre de ne rien avoir vu venir...
Cela ne décourage pas les futurs prétendants au CAPA, qui d'ores et déjà, savent que leurs conditions d'exercice professionnel vont connaître de lourdes évolutions, partiellement le résultat d'une gouvernance qui est dénoncée par beaucoup comme n'ayant jamais été à la hauteur de l'enjeu.
Il y a quelques temps, on était "fier" d'avoir son avocat, d'être défendu par son avocat.
Aujourd'hui, la suspicion d'incompétence gagne du terrain et on s'inquiète du peu de professionnalisme de certains professionnels de la profession, particulièrement lorsque les honoraires dépendent de mécanismes "réglementés" : convention entre les cabinets d'avocats et les compagnies d'assurances pour traiter les litiges "au kilomètre" avec l'exigence de moindres frais, par exemple.
Publié par
Cybercarnet21
à
08:49
1 commentaires
lundi 8 mars 2010
Pour ceux qui ne venaient lire ce cybercarnet pour le seul emploi du temps, il faut dorénavant aller sur le site de l'IEJ de l'UPEC
Publié par
Cybercarnet21
à
07:57
0
commentaires
samedi 6 mars 2010
Des médias juridiques devraient bientôt faire connaître à ce "petit" monde du droit un conflit qui prend de l'ampleur.
Publié par
Cybercarnet21
à
23:31
0
commentaires
vendredi 5 mars 2010
Une abondance de "mauvaise" nouvelles dans la vie judiciaire : persiste-t-on à marcher sur la tête ?
Publié par
Cybercarnet21
à
18:19
0
commentaires
jeudi 4 mars 2010
Annonce d'une conférence intéressante sur le site (géographique) de la faculté de droit de l'UPEC ce mercredi 10 mars 2010.
Publié par
Cybercarnet21
à
17:18
0
commentaires
Préinscription au deuxième examen blanc du CRFPA 2010 de l'IEJ de l'UPEC : les listes s'allogent.
Publié par
Cybercarnet21
à
13:56
0
commentaires
L'IEJ de l'UPEC de Créteil a son site : https://sites.google.com/site/iejcreteil/
Publié par
Cybercarnet21
à
12:33
1 commentaires
mercredi 3 mars 2010
2010-03-03 et 2010-03-04 : concours de plaidoiries - quarts de finale.
une affiche fait l'annonce suivante :
les mercredi 3 (salle A201) et jeudi 4 (salle A116) mars 2010, mais on ne sait pas à quelle heure.
Les sujets sont affichés pour les deux demi-journées, du sujet classique aux sujets inattendus :
- pour le mercredi :
- peut-on être indépendant et souris à la fois ?
- le silence doit-il toujours être meublé ?
- pour le jeudi (semble-t-il) :
- le malheur des uns fait-il le bonheur des autres ?
- l'amour est-il classé X ?
Quant au nom des candidats, il n'apporte rien d'utile en terme d'information, mis à part le fait qu'il y a 4 filles et 4 garçons qui concourent.
Publié par
Cybercarnet21
à
22:32
1 commentaires
Exemple EDJ0941H d'un oral d'exposé-discussion avec les examinateurs (CRFPA 2009)
Le président du jour propose au candidat de rester debout pour son examen et lui rappelle la nature de l’épreuve, et notamment sa capacité à l’argumentation juridique. Le candidat commence son exposé à 1xhxx ; il ne présente pas de plan mais une succession d’idées sur les droits de la personne interpelée. L’exposé dure 8 minutes et se termine à 1xhxx. Le candidat s’exprime sans caractéristiques notables quant au débit ou à la clarté de sa voix.
- J0 (président des examinateurs du jour) : la loi pénale est non rétroactive, vous faites un lien entre les viols entre époux au Royaume-Uni et le cas de M. Hervé ; quel rapport ?
« c’était une petite gâterie au passage »
« vous êtes avocat dans une institution prestigieuse… »
- « la garde-à-vue est souvent une « garde-à-oui », mais peu importe » ; qu’allez-vous dire à M. Hervé dans le cadre de la garde-à-vue dans le cadre du cas pratique ? que lui diriez-vous ?
- (J0 guide le candidat sur les mesures alternatives aux poursuites ; J0 veut savoir ce qu’il se passe dans le poste de police) : le « client » est dans les mains de qui ?
- « je ne voyais pas dans quel ordre vous placiez tout cela ; le policier emporte M. Hervé sous son aile protectrice » ; J0 indique qu’il n’est pas un spécialiste de cette procédure ;
- J2 (avocat du jour) : vous avez une courte entrevue avec votre client sans avoir accès au dossier : vous ne l’accompagnerez pas ?
- soit il accepte sa comparution immédiate, avec quelques heures pour préparer sa défense, soit il peut demander le renvoi de six semaines à deux mois ?
- quelles sont des conditions d’interpellation de M. Hervé ? les policiers peuvent-ils l’interpeler quand bon leur semble ?
- quand vous êtes en voiture – il montait dans sa voiture, y a-t-il des circonstances particulières qui permettaient au policier de l’interpeler ?
- le rédacteur du cas pratique l’a rédigé de telle façon qu’il peut faire penser que l’interpellation était légitime : « il retournait précipitamment à son véhicule » ?
- J1 (magistrat du jour) : M. Hervé se rend à une soirée avec la voiture de ses parents ; il va à un bureau de tabac, se retourne précipitamment car il a oublié son portefeuille (ndlr : merci au membre des examinateurs du jour de nous donner la substance du cas pratique, ce que le candidat n’avait pas fait – l’analyse des circonstances lui aurait permis, sinon, même en méconnaissance de cette procédure "tarte à la crème", du moins de déblayer le terrain sur les points de droit qui pouvaient alors émerger ; toutefois, ce candidat a tout de même passé le barrage des écrits, ce qui ne constitue pas une "réussite" anodine) ; le policier suppose que son comportement est suspect ; il est interpelé juste avant d’avoir fermé sa portière en étant remonté dans sa voiture ; le pouvoir du policier municipal, c’est quoi ?
- l’interpellation était-elle régulière ? c’est oui ou c’est non ?
- il panique, il laisse échapper un paquet de cigarettes d’où tombe une barrette de cannabis ; c’est le véhicule de ses parents ; à qui est ce paquet ?
- J0 reprend un questionnement : c’est la même idée ? vous êtes son avocat : qu’est-ce que vous lui dites ?
- J1 reprend un questionnement final : dans quelles circonstances un policier municipal peut-il emmener quelqu’un au poste ? que doit-il faire après ? que fait-il auprès du Procureur ?
Fin à 1x heures xx.
L’examen du candidat se termine à 1x heures xx. Le candidat se voit attribuer une note largement en dessous de la moyenne et est ajourné.
Publié par
Cybercarnet21
à
10:38
0
commentaires
L'IEJ de l'UPEC de Créteil a son site et met les plannings et autres informations en ligne.
Ce défaut de référencement provient certainement du protocole SSL qui ajoute une couche de sécurité (cadenas fermé - dans la ligne de chargement) sans intérêt certain.
.
On doit regretter que l'IEJ n'ait déposé aucun commentaire, même anonyme, afin de faire savoir à tous les lecteurs de ce cybercarnet, y compris lui-même, de la création de ce site dont on faisait état depuis quelques temps déjà.
Publié par
Cybercarnet21
à
06:38
0
commentaires
Libellés : site de l'IEJ, UPEC
mardi 2 mars 2010
Machin, quelle affaire !
Un patronyme, voilà qui nous caractérise, et pas au mieux lorsque l'on est sous les feux des médias.
La Cour de révision pense au cas de Monsieur Marc Machin.
Affaire à suivre...
Publié par
Cybercarnet21
à
22:38
0
commentaires
DFA : séance de correction discrètement annoncée.
Ce commentaire est symptomatique de ce qu'un candidat au CRFPA - voire à l'ENM, ne peut pas être : ignorant et négligent, et vouloir en faire la manifestation. D'une part, les trois lettres "DFA" sont au plus un sigle, mais certainement pas un acronyme. D'autre part, ne pas connaître les matières de l'examen du CRFPA à ce stade du "concours" est pour le moins négligent, à moins qu'il ne s'agisse que d'un test pour savoir s'il va y être répondu. Soyez satisfaite, Charlotte, il y est répondu, mais pas avec plaisir car si chacun peut faire du tourisme sur ce cybercarnet, il ne s'agit pourtant pas d'un cybercarnet voué aux voyages, cybercarnets dédiés qui doivent probablement exister en nombre ailleurs sur la toile).
Publié par
Cybercarnet21
à
16:06
2
commentaires
Jacques ATTALI 2 : où ATILA comme l'appelaient "affectueusement" les avoués.
Publié par
Cybercarnet21
à
15:55
0
commentaires
Un bâtonnier qui ne pratique pas la langue de bois... en apparences.
Publié par
Cybercarnet21
à
15:52
0
commentaires
MAM, GAV : une "concertation imposée" au pas de charge - un bon coup pour les processualistes procéduriers.
Publié par
Cybercarnet21
à
15:36
0
commentaires
lundi 1 mars 2010
1er mars 2010 mémorable : saisine indirecte du CC par les justiciables français, La Poste devient une société, Jacques Viguier est de nouveau jugé, un lendemain de tempête, ...
Publié par
Cybercarnet21
à
18:17
0
commentaires