vendredi 22 mai 2009

3ème EBG : cela approche - aucun stress utile pour le moment.

Cette semaine calendaire n° 23 voit le début du troisième et dernier examen blanc général avant la longue coupure d'été, celle qui va pour certains permettre de faire une fameuse "prépa d'été" et pour d'autres, bon an mal an, passer des vacances et autres réjouissances et préparer leur examen d'octobre 2009 s'agissant des écrits.
Évidemment, c'est le dernier cap avant l'été, la répétition générale de septembre n'ayant pour but que de faire le dernier calage avant les examens d'octobre 2009.
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Selon les dernières nouvelles en droit des obligations, le compte n'y est pas, mais en réalité, chaque année, il n'y est pas. L'enseignant serait donc dans l'état d'esprit de donner un commentaire d'arrêt pour octobre 2009, après deux années successives de cas pratiques dont les résultats attendus ne sont jamais globalement bons. Le droit des obligations est le "bête noire" des candidats au CRFPA, qui en L2 avaient bien pris le pli de cette matière exigeante, pli qui s'est dilué dans le temps des études suivantes.
Le commentaire d'arrêt donne "la prime" à ceux qui suivront au plus près les derniers arrêts sortis et les notes et chroniques d'auteurs qui iront avec, la prime allant à celui qui aura la meilleure mémoire (c'était la situation, regrettable diront certains, d'il y a trois ans) pour plagier au plus près la note.
L'enseignant n'est pas en reste pour que les candidats améliorent leurs performances devant une trentaine de copies rendues pour le 2ème EBG (commentaire d'arrêt), dont les notes s'étalent de 6 à 15/20, avec une correction dactylographiée et des propositions de plans issus des 3 meilleures copies.
Mais il n'est pas dit que d'un éventuel commentaire d'arrêt s'en suive une hausse généralisée de la moyenne, ce qu'aucune statistique ne démontre (nous attendons d'ailleurs toujours celles promises en octobre 2008 par le directeur du CRFPA !), ni que les autres correcteurs se montrent pour certains aussi généreux alors que le droit des obligations connaîtrait une moyenne générale plus élevée. La prudence s'impose devant une telle annonce, car rien ne nous dit que la Cour de cassation n'ait pas encore une "friteuse" inédite en stock, pour peu que cette fameuse friteuse provienne de son stock d'arrêts à fuir.
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En plus des écrits, ce sont aussi les matières orales qui sont à réviser. Rien n'est gagné non plus, la notation étant assez aléatoire, en plus que de nouveaux notateurs font leur apparition.
Tout cela n'est pas une mince affaire et dans les temps qui approchent, rien n'est secondaire.
Si tout n'est pas su, au moins tout doit être abordé.
Du courage certainement, de l'opiniâtreté bien plus !

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