Il ne suffit pas de connaître tant que faire se peut le droit positif, il faut aussi connaître les pré-rapports des rapports.
Peut-on avoir un débat d'idée autour de quelque chose de concret plutôt que de façon incessante, tirer à vue (sur la garde à vue, par exemple) ?
Tout ces rapports pour tout, on comprend bien l'intérêt : rémunérer des hauts ceci et haut cela pour améliorer leur quotidien et alimenter le débat dans l'abstrait avant que les véritables effets de la crise économique ne se fassent réellement sentir, lorsque les chômeurs vont être en fin de droit. Ce n'est qu'à ce moment, entre 18 et 24 mois pour la plupart, que les déclarations de Monsieur Dominique de Villepin vont prendre leur sens. Il ne faut pas l'espérer, il faut le pressentir et tenter de pallier le problème avant qu'il ne devienne incontrôlable.
Le droit y a sa part, soyons-en persuadés, et lorsque que bâtonnier de Paris, son dauphin, s'émeuvent de pré-rapport Leger, c'est qu'il va être lourd à digérer.
Qui a dit qu'il n'y avait rien de plus fragile que les libertés fondamentales ?
Risquons-nous quelque chose à cet égard, ou la situation tend-elle à s'améliorer ?
Entre apparences de concret et réel concret, on éprouve bien des difficultés à s'y retrouver, car en réalité, on ne sait pas bien ce qui anime tout cela, ou pour l'écrire autrement, c'est probablement la chienlit dénoncée jadis qui anime tout cela.
On se souvient du rapport Catala, mais se souvient-on pourquoi l'on s'en souvient ou l'on doit s'en souvenir pour mieux l'ignorer ?
Peut-on avoir un débat d'idée autour de quelque chose de concret plutôt que de façon incessante, tirer à vue (sur la garde à vue, par exemple) ?
Tout ces rapports pour tout, on comprend bien l'intérêt : rémunérer des hauts ceci et haut cela pour améliorer leur quotidien et alimenter le débat dans l'abstrait avant que les véritables effets de la crise économique ne se fassent réellement sentir, lorsque les chômeurs vont être en fin de droit. Ce n'est qu'à ce moment, entre 18 et 24 mois pour la plupart, que les déclarations de Monsieur Dominique de Villepin vont prendre leur sens. Il ne faut pas l'espérer, il faut le pressentir et tenter de pallier le problème avant qu'il ne devienne incontrôlable.
Le droit y a sa part, soyons-en persuadés, et lorsque que bâtonnier de Paris, son dauphin, s'émeuvent de pré-rapport Leger, c'est qu'il va être lourd à digérer.
Qui a dit qu'il n'y avait rien de plus fragile que les libertés fondamentales ?
Risquons-nous quelque chose à cet égard, ou la situation tend-elle à s'améliorer ?
Entre apparences de concret et réel concret, on éprouve bien des difficultés à s'y retrouver, car en réalité, on ne sait pas bien ce qui anime tout cela, ou pour l'écrire autrement, c'est probablement la chienlit dénoncée jadis qui anime tout cela.
On se souvient du rapport Catala, mais se souvient-on pourquoi l'on s'en souvient ou l'on doit s'en souvenir pour mieux l'ignorer ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire