Faire un choix entre la multitude d'informations qui tombent tous les jours, tant juridiques que juridiques, car tout n'a-t-il pas un aspect juridique, des conséquences juridiques ?
La technicité, nous ne pouvons aller contre, mais l'approche universelle des connaissances, nous ne pouvons pas plus l'écarter car les interactions sont omniprésentes.
Comment comprendre le conflit des surveillants de prisons sans comprendre les effets d'une politique pénale très répressive, le défaut de moyens affectés pour cet enjeu et détournés vers un autre ?
Pareil pour les enseignants-chercheurs dont l'avenir va être difficile, car après un mouvement très dur dont "bénéficient" les étudiants, une purge va venir, c'est inévitable.
Le milieu hospitalier n'est pas en reste.
Les importations en baisse ont des effets sur le commerce extérieur, source d'un important contentieux dont on parle peu, et qui se règle souvent hors de l'enceinte d'un tribunal.
On l'a déjà écrit : à force de tout placer sous l'empire du droit, c'est le droit lui-même qui est menacé, et avec ou sans lui, les libertés fondamentales, mais aussi notre vie quotidienne.
Il n'y a donc aucune "recette" pour saisir la bonne information, celle qui sera efficace pour l'examen, car nous sommes noyés sous les informations, qui toutes, potentiellement, nous intéressent.
Il faut donc les mettre en perspective des examens, seul moyen d'avoir une appréhension sur une actualité en mouvement constant et en accélération. Nos juridictions d'exception et supra-nationales ne sont pas en reste. Il faut prendre un peu de temps. Suivre un (des) flux RSS, voilà une bonne idée, mais qui s'avère elle aussi très grande consommatrice de temps avec cet avantage qu'elle peut mobiliser d'anciennes connaissances particulièrement utiles pour disposer d'un panorama du droit, sinon très technique, du moins très actuel.
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