Merci aux questions anonymes posées.
À celle du 29 mars 2010 à 17 heures 35, l'oral d'anglais est un commentaire d'un court texte, la traduction de certains passages, texte sans caractère particulièrement juridique, mais possible. Dito pour toutes les langues.
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À celle du 06 avril 2010 à 06 heures 26 : le droit des obligations est la matière technique entre toutes. En 2007 et 2008, cas pratiques, en 2009, commentaire d'arrêt. Votre intuition fera le reste puisque les enseignants chargés de la matière ne donnent jamais à composer de dissertation.
Question parfaitement judicieuse : on ne comprend pas pourquoi les enseignants concernés ne donnent pas le sujet avant, ne le diffuse pas sur internet avec le corrigé-type et un magnifique 18,5/20 pour tout candidat qui lui restituera son corrigé à la virgule près.
C'est surprenant, et autant poser directement la question aux enseignants concernés.
Et soyez aimable de faire connaître la réponse par cette voie : aucun lecteur ne voudrait en manquer une miette !
Provocation de printemps...)
Provoquer à la provocation, cela rappelle quelque chose.
Pour cette matière très sensible, et ce qui en réalité ne change pas grand chose à sa difficulté, la seule indication délivrée depuis des années est immuable : il ne s'agira jamais d'une dissertation.
Pour le reste, on peut broder autant qu'on le veut sur tel ou tel type de sujet, l'aspect très récent de l'arrêt ou un peu moins s'il s'agit d'un commentaire d'arrêt.
Les enseignants ont une certaine prédilection pour le cas pratique, ce qui s'il ne permet pas des notes nécessairement fabuleuses, encore que, il permet au moins de n'avoir pas à relire une copie fondée sur la mémoire du candidat.
Il ne faudrait pas perdre de vue que le CRFPA, avant d'accueillir, vise à éliminer.
Et puis c'est tout concernant cette matière : on n'en a jamais su plus, on n'en saura jamais plus.
On ne sait que le jour J.
Dans le cadre du cas pratique, certains candidats dénichent des idées qui n'apparaissent pas évidentes, y compris aux correcteurs ; on ne sait pas dans quelle mesure les correcteurs y prêtent attention et leur accordent une plus-value, voire une moins-value. Au moins, ces idées montrent que le candidat ne fait pas que d'utiliser sa mémoire au détriment du raisonnement juridique. Le libellé de l'épreuve est sans ambiguïté et il est vrai qu'il ne s'agit pas de faire uniquement une démonstration intellectuelle ni démontrer sa prodigieuse mémoire, mais de démontrer que ce qui est écrit par le candidat est le fruit d'un raisonnement.)
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(NDLR2 : merci au commentaire anonyme déposé le mardi 06 avril 2010 à 10 heures 52.Question parfaitement judicieuse : on ne comprend pas pourquoi les enseignants concernés ne donnent pas le sujet avant, ne le diffuse pas sur internet avec le corrigé-type et un magnifique 18,5/20 pour tout candidat qui lui restituera son corrigé à la virgule près.
C'est surprenant, et autant poser directement la question aux enseignants concernés.
Et soyez aimable de faire connaître la réponse par cette voie : aucun lecteur ne voudrait en manquer une miette !
Provocation de printemps...)
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(NDLR3 : merci au commentaire anonyme déposé le mardi 06 avril 2010 à 16 heures 39.Provoquer à la provocation, cela rappelle quelque chose.
Pour cette matière très sensible, et ce qui en réalité ne change pas grand chose à sa difficulté, la seule indication délivrée depuis des années est immuable : il ne s'agira jamais d'une dissertation.
Pour le reste, on peut broder autant qu'on le veut sur tel ou tel type de sujet, l'aspect très récent de l'arrêt ou un peu moins s'il s'agit d'un commentaire d'arrêt.
Les enseignants ont une certaine prédilection pour le cas pratique, ce qui s'il ne permet pas des notes nécessairement fabuleuses, encore que, il permet au moins de n'avoir pas à relire une copie fondée sur la mémoire du candidat.
Il ne faudrait pas perdre de vue que le CRFPA, avant d'accueillir, vise à éliminer.
Et puis c'est tout concernant cette matière : on n'en a jamais su plus, on n'en saura jamais plus.
On ne sait que le jour J.
Dans le cadre du cas pratique, certains candidats dénichent des idées qui n'apparaissent pas évidentes, y compris aux correcteurs ; on ne sait pas dans quelle mesure les correcteurs y prêtent attention et leur accordent une plus-value, voire une moins-value. Au moins, ces idées montrent que le candidat ne fait pas que d'utiliser sa mémoire au détriment du raisonnement juridique. Le libellé de l'épreuve est sans ambiguïté et il est vrai qu'il ne s'agit pas de faire uniquement une démonstration intellectuelle ni démontrer sa prodigieuse mémoire, mais de démontrer que ce qui est écrit par le candidat est le fruit d'un raisonnement.)
6 commentaires:
En quoi consiste l'oral d'anglais ? Sans cours ni aucune indication concernant cette épreuve, il est difficile de s'y préparer...
à ce qu'on m'a dit l'année dernière il s'agissait d'articles de journaux sur peine de mort, vie politique..sujets d'actualité à commenter plus questions.
ET l'arrêt Medvedyev, personne n'en parle??
que pressentez vous comme type de sujet en droit des obligations pour l'examen final : cas pratique ou commentaire?
pourquoi ne nous dit-elle pas le type de sujet qui nous attend précisemment?
il ne s'agit pas de nous donner le sujet mais de nous dire si cas pratique ou commentaire d'arrêt comme le font certains en procédure pénale où l'on sait que c'est une dissertation ou en droit pénal où l'on sait que c'est un cas pratique!!!!
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