vendredi 12 mars 2010

Vous êtes à la recherche de reconnaissance, vous voulez vous faire une certaine "publicité", ce cybercarnet n'est pas pour vous.

Ce cybercarnet n'a pas pour objet de dénoncer ni de citer, mais de relater et donner matière à réflexion, ou pour le moins chercher à réfléchir, ce qui est déjà un projet très ambitieux.
Ce cybercarnet, très peu lu, n'est pas un espace donné à des fins publicitaires, et personne n'a vocation à y lire des informations nominatives.
Ce cybercarnet fonctionne sur le principe de l'anonymat et du respect.
La contradiction est acceptée dès l'instant où elle apporte quelque chose au débat,. Il faut de nouveau rappeler que ce cybercarnet n'est pas un forum de discussions et n'a aucune vocation pour fonctionner ainsi.
Il n'a pas vocation à jeter le discrédit ni à recevoir le discrédit, méthode tentée déjà à de nombreuses reprises depuis le début de son existence, mais relater certaines choses sans particulière mansuétude lorsque cela n'a pas lieu d'être.
Cela est inexact : vous le signalez vertement ;
cela est contestable : vous argumentez sans pour autant énoncer des contrevérités.
Un enseignement de l'IEJ le dit avec justesse : "il y aura toujours quelqu'un pour vous contredire". Incontestable, et d'autant plus lorsqu'on lit une décision de justice dont le sens peu sembler pour le moins curieux, tant du point de vue du dossier et des preuves apportées, que de la lecture qui est faite d'une disposition légale dont le législateur a laissé le soin au juge de la préciser.
Ce cybercarnet ne recherche pas un lectorat universel, planétaire, voire ne recherche aucun lectorat, surtout depuis la création du site de l'IEJ de l'UPEC (ex-Paris 12) de Créteil qui donne les informations essentielles aux candidats du CRFPA.
Ce cybercarnet n'est pas un réseau social, sans âme, sans vie, indifférent à l'indifférence.
Ce qui y est écrit doit apparaître comme juste, et s'inspirer d'un maximum d'objectivité, même si la justesse est relative et peut évoluer avec le temps, sans rejeter la contradiction, source bénéfique d'évolution de la pensée.
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Certains lecteurs (et ils ne sont pas bien nombreux) ne semblent pas avoir compris ce fonctionnement tant il est simple, simplissime, simpliste.
Aussi, la modération des commentaires est de nouveau sollicitée dès à présent.
Le peu de commentaires déposés devront donc, pour bénéficier d'un affichage, bien vouloir respecter des règles simples et essentielles, ce jusqu'à information de la libération des commentaires, qui en principe est la règle ici, mais certaines ardeurs ne doivent pas vouloir en tirer un autre profit.
C'est naturellement désolant pour les lecteurs mieux inspirés, et qui peuvent toujours proposer un commentaire, la modération ne visant qu'à différer ou à empêcher l'affichage, mais certainement pas à remettre en cause l'écriture et l'expédition.
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Noter le nombre important de fautes d'orthographes qui nuisent à la compréhension, et dans la plupart des cas ne sont pas relevées par le correcteur qui n'a d'"automatique" que le nom. Seule la relecture attentive permet de pallier cette difficulté. C'est un désagrément conjugué avec un problème de mise en page et une certaine dyslexie dans la frappe, d'où des fautes impardonnables, il faut en convenir.
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(NDLR : Merci au commentaire anonyme déposé le vendredi 12 mars 2010 à 20 heures 17, commentaire dont voici le texte complet. Élogieux ?
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Anonyme a ajouté un nouveau commentaire sur votre message "Vous êtes à la recherche de reconnaissance, vous v..." :
Si vous ne voulez pas qu'on vus lise, pourquoi continuez-vous alors? N'avez-vous donc rien d'autre à faire? Ou alors faites-vous partie de ces fonctionnaires de la justice qui n'ont rien à faire toute la journée?
Envoyé par Anonyme à PXII - AVOCATS - sur l'IEJ de l'UPEC Créteil -ex-PARIS 12- sur le CRFPA et l'ENM - BLAWG le 12 mars 2010 20:17

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Ce commentaire parle de lui même sur la considération, que selon le commentateur,  il convient d'entretenir entre les auxiliaires de justice et les fonctionnaires de la justice. On aurait apprécié de savoir qui peuvent bien être "ces fonctionnaire de la justice qui n'ont rien à faire toute la journée", car de telles catégories existent bien, encore que lesdits fonctionnaires ne soient pas désœuvrés ; nonobstant l'activité professionnelle, il faut aussi penser aux soins du corps et de l'âme, se divertir, faire des rencontres - et vous prétendez que cela n'occupe pas ?
Mais il est vrai qu'il existe des fonctionnaires de la justice qui n'ont aucun compte à rendre sur l'effectivité d'un quelconque travail pour le service public, car ils ne travaillent que s'ils le veulent ; on en parle quelquefois dans les médias.  La conséquence est, bien entendu, qu'ils n'ont aucune carrière dans l'administration.
Mais qui sont-ils ?
Et pour répondre aux deux premières questions, personne ne vous sollicite pour lire ce cybercarnet. Son alimentation ne demande guère de temps et il est certainement utile d'aller lire ailleurs des sites bien plus intéressants, on vous le concède volontiers : on l'a d'ailleurs suggéré de façon plus ou moins agréable à de multiples reprises. Ces sites seront certainement beaucoup plus dans la "norme" que vous attendez, encore que des voix divergentes se fassent aujourd'hui entendre avec un bourdonnement important, ce qui n'est pas le but de ce cybercarnet.)
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(NDLR2 : Pour information, un autre commentaire, de nouveau à des fins publicitaires pour la personne concernée, n'est pas affiché et a d'ailleurs été détruit par l'hébergeur).

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Si vous ne voulez pas qu'on vus lise, pourquoi continuez-vous alors? N'avez-vous donc rien d'autre à faire? Ou alors faites-vous partie de ces fonctionnaires de la justice qui n'ont rien à faire toute la journée?