Insuffisant,
Peu mieux faire,
NON ?
NON ?
NON ?
Il n'y aurait donc que 22 lecteurs qui se seraient connectés 21 fois chacun ?
Et le nombre augmente vite : à 23h35, déjà...
Flatter une prétendue vanité ne donne pas satisfaction à ce cher (attention à la polysémie) Google.
Peu mieux faire,
NON ?
NON ?
NON ?
Il n'y aurait donc que 22 lecteurs qui se seraient connectés 21 fois chacun ?
Et le nombre augmente vite : à 23h35, déjà...
Flatter une prétendue vanité ne donne pas satisfaction à ce cher (attention à la polysémie) Google.
.
(NDLR : Merci au commentaire anonyme déposé le lundi 09 novembre 2009 à 23 heures 42.
Probablement une étape a-t-elle été loupée dans la lecture de ce cybercarnet.
Il s'agit de cliquer sur un bandeau-annonce qui figure au-dessus ou sous les articles, et intéressant nos préoccupations.
Google sait rappeler, à sa façon, de façon insistante, par des courriels nombreux, que si ce cybercarnet est fréquenté, la publicité dont il regorge n'est pas assez sollicitée, ce dont Google tient les comptes, justes.
Cliquer ne signifie pas rester sur un bandeau-annonce, mais simplement cliquer puis se déconnecter. Cela ne semble pas compliqué.
Si les liens ne s'ouvrent pas, cela relève de Google ou d'un filtre trop puissant.
Mais, en tout état de cause, il ne vous en est pas demandé plus.
Résultat pour le lundi 09 novembre 2009 (de 09h00 à 08h59 le mardi) : 535 connexions et 30 clics - il y a peut-être moyen de faire un peu mieux, NON, en termes de clics ?
.
Enfin, s'il s'agit d'être grossier ou vulgaire, allez déposer des commentaires ailleurs.
Le vôtre va toutefois rester visible car il faut bien se rendre compte de la façon de discourir d'un futur "défenseur".
Heureusement, on peut exprimer son désaccord ou sa colère, et tout aussi heureusement, on peut le faire, on sait le faire sans grossièreté ou vulgarité. Ici, il n'y aura aucune conséquence, mais ce n'est pas à "ici" que l'on doit penser, mais à un peu plus tard et ailleurs.
Pensez-vous faire honneur à la "défense" en utilisant un tel vocabulaire, qui, il faut bien en convenir, aurait tendance à être entendu devant certains prétoires, ce qui n'aide pas beaucoup à la défense des clients ?
L'usage d'un vocabulaire châtié est détourné par des défenseurs maniant très bien le verbe dans le but d'insulter l'un ou l'autre : personne ne s'y trompe et les conséquences sont essentiellement pour les clients.
Le "défenseur" doit-il songer à lui-même ou à sa défense, les deux étant parfaitement compatibles lorsque ledit défenseur ment ?)
Probablement une étape a-t-elle été loupée dans la lecture de ce cybercarnet.
Il s'agit de cliquer sur un bandeau-annonce qui figure au-dessus ou sous les articles, et intéressant nos préoccupations.
Google sait rappeler, à sa façon, de façon insistante, par des courriels nombreux, que si ce cybercarnet est fréquenté, la publicité dont il regorge n'est pas assez sollicitée, ce dont Google tient les comptes, justes.
Cliquer ne signifie pas rester sur un bandeau-annonce, mais simplement cliquer puis se déconnecter. Cela ne semble pas compliqué.
Si les liens ne s'ouvrent pas, cela relève de Google ou d'un filtre trop puissant.
Mais, en tout état de cause, il ne vous en est pas demandé plus.
Résultat pour le lundi 09 novembre 2009 (de 09h00 à 08h59 le mardi) : 535 connexions et 30 clics - il y a peut-être moyen de faire un peu mieux, NON, en termes de clics ?
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Enfin, s'il s'agit d'être grossier ou vulgaire, allez déposer des commentaires ailleurs.
Le vôtre va toutefois rester visible car il faut bien se rendre compte de la façon de discourir d'un futur "défenseur".
Heureusement, on peut exprimer son désaccord ou sa colère, et tout aussi heureusement, on peut le faire, on sait le faire sans grossièreté ou vulgarité. Ici, il n'y aura aucune conséquence, mais ce n'est pas à "ici" que l'on doit penser, mais à un peu plus tard et ailleurs.
Pensez-vous faire honneur à la "défense" en utilisant un tel vocabulaire, qui, il faut bien en convenir, aurait tendance à être entendu devant certains prétoires, ce qui n'aide pas beaucoup à la défense des clients ?
L'usage d'un vocabulaire châtié est détourné par des défenseurs maniant très bien le verbe dans le but d'insulter l'un ou l'autre : personne ne s'y trompe et les conséquences sont essentiellement pour les clients.
Le "défenseur" doit-il songer à lui-même ou à sa défense, les deux étant parfaitement compatibles lorsque ledit défenseur ment ?)
1 commentaire:
pour ma part voulant mettre un peu de bonne volonté et cliquer une fois n'est pas coutume, en général je me tamponne allègrement de ce type d'injonction, aucun lien n'est disponible pour le faire, ayant précédemment visité le blog ils y étaient et je me suis prêté au jeu - oui j'appelle cela un jeu parce que page aussitôt ouverte aussi vite fermée - et que l'auteur a vraiment l'air d'y tenir, mais la aucun lien externe au site n'est visible donc pas de clique possible pour ma part dsl.
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