On ne va pas réfléchir à votre place sur cette question qui ressemble plus à la disparition des valeurs morales plutôt qu'à un quelconque progrès.
Pour connaître des enfants issus de GPA et PMA, le moins que l'on puisse dire est qu'ils ne sont pas heureux de leur condition, et du coup revendiquent des droits, plus de droits encore, mais qui même s'ils étaient satisfaits, ces droits ne leur procureraient aucun changement concret de leur situation et condition. Des cybercarnets font florès avec de multiples témoignages de mal-être, car maintenant, les premiers enfants sont largement des adultes en âge d'avoir leurs propres enfants.
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Ces enfants de l'homoparentalité, ce sera surtout un débat social avant d'être juridique, car dans cette question, le droit n'est rien sur la réalité concrète.
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Cette question sera inévitablement posée à des candidats à l'oral d'exposé-discussion avec les examinateurs dans quelques jours ; il va falloir se forger sa propre opinion qui ne doit pas être le simple copier-coller de la CEDH en 2008 et du jugement de ce tribunal de Besançon rendu le 10 novembre 2009 qui a décidé de lui emboîter le pas, mais un raisonnement juridique avec le peu de droit disponible. Peut-être le droit comparé, bien en "avance"...
Les véritables conséquences sont à venir dans une petite décennie maintenant, puisque des situations de fait existent déjà depuis un bonne décennie.
L'une des questions prégnantes va consister en la remise en cause de droits fondamentaux : jusqu'où il faut aller, les limites ou l'absence de limites...
S'il n'y a plus de limites, les lois bioéthiques vont tomber d'elles-même et la boîte de pandore sur les recherches sur l'embryon va nous exploser à la figure.
Ici, nous ne sommes qu'à un point d'étape : donner l'agrément à l'un. L'étape suivante, qui est en ligne de mire, est que l'agrément soit donné aux deux, on le voit venir...
Nous semblons nous préparer un avenir bien incertain envahi d'une multitude de règles dont la plupart sont inapplicables concrètement...
Préparons-nous à la question !
Pour connaître des enfants issus de GPA et PMA, le moins que l'on puisse dire est qu'ils ne sont pas heureux de leur condition, et du coup revendiquent des droits, plus de droits encore, mais qui même s'ils étaient satisfaits, ces droits ne leur procureraient aucun changement concret de leur situation et condition. Des cybercarnets font florès avec de multiples témoignages de mal-être, car maintenant, les premiers enfants sont largement des adultes en âge d'avoir leurs propres enfants.
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Ces enfants de l'homoparentalité, ce sera surtout un débat social avant d'être juridique, car dans cette question, le droit n'est rien sur la réalité concrète.
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Cette question sera inévitablement posée à des candidats à l'oral d'exposé-discussion avec les examinateurs dans quelques jours ; il va falloir se forger sa propre opinion qui ne doit pas être le simple copier-coller de la CEDH en 2008 et du jugement de ce tribunal de Besançon rendu le 10 novembre 2009 qui a décidé de lui emboîter le pas, mais un raisonnement juridique avec le peu de droit disponible. Peut-être le droit comparé, bien en "avance"...
Les véritables conséquences sont à venir dans une petite décennie maintenant, puisque des situations de fait existent déjà depuis un bonne décennie.
L'une des questions prégnantes va consister en la remise en cause de droits fondamentaux : jusqu'où il faut aller, les limites ou l'absence de limites...
S'il n'y a plus de limites, les lois bioéthiques vont tomber d'elles-même et la boîte de pandore sur les recherches sur l'embryon va nous exploser à la figure.
Ici, nous ne sommes qu'à un point d'étape : donner l'agrément à l'un. L'étape suivante, qui est en ligne de mire, est que l'agrément soit donné aux deux, on le voit venir...
Nous semblons nous préparer un avenir bien incertain envahi d'une multitude de règles dont la plupart sont inapplicables concrètement...
Préparons-nous à la question !
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