Un très faible public ne dépassant pas la dizaine dans ce grand amphithéâtre B1 cette après-midi du jeudi 26 novembre 2009 où les examinateurs sont arrivés avec un quart d'heure de retard.
Les candidats, ont certes, dû attendre, mais aucun n'a pâti d'un traitement inégal s'agissant du temps d'examen puisque les examinateurs n'ont pas cherché à compenser leur arrivée tardive.
Les examinateurs n'ont pas fait preuve ni de férocité ni de mansuétude dans leur questionnement et personne n'a été traité autrement que l'autre.
Des sujets de tous types ont été tirés par les candidats.
Certaines questions sollicitaient bien l'avis personnel du candidat, exercice qui n'a pas été particulièrement difficile.
Les candidats sont allés du décontracté apparent au stressé réel.
Deux bons points ce jour pour :
1- les examinateurs qui ont eux-même énoncé le sujet que le candidat allait traiter sur le champ ;
2- certains candidats qui ont bien pensé que l'épreuve était aussi une épreuve limitée en durée, et pour laquelle la proximité d'une montre qu'ils pouvaient voir facilement, était un moyen utile pour se caler dans l'exercice.
.
Attention à la loi pénitentiaire publiée ce mercredi 25 novembre 2009 au JO (JORF n°0273 du 25 novembre 2009 page 20192 - texte n° 1 - LOI n° 2009-1436 du 24 novembre 2009 pénitentiaire (1) - NOR : JUSX0814219L) et la décision consubstantielle du Conseil constitutionnel. Une mine de questions en matière de droits fondamentaux qui dépasse largement le détenu lui-même.
Les candidats, ont certes, dû attendre, mais aucun n'a pâti d'un traitement inégal s'agissant du temps d'examen puisque les examinateurs n'ont pas cherché à compenser leur arrivée tardive.
Les examinateurs n'ont pas fait preuve ni de férocité ni de mansuétude dans leur questionnement et personne n'a été traité autrement que l'autre.
Des sujets de tous types ont été tirés par les candidats.
Certaines questions sollicitaient bien l'avis personnel du candidat, exercice qui n'a pas été particulièrement difficile.
Les candidats sont allés du décontracté apparent au stressé réel.
Deux bons points ce jour pour :
1- les examinateurs qui ont eux-même énoncé le sujet que le candidat allait traiter sur le champ ;
2- certains candidats qui ont bien pensé que l'épreuve était aussi une épreuve limitée en durée, et pour laquelle la proximité d'une montre qu'ils pouvaient voir facilement, était un moyen utile pour se caler dans l'exercice.
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Attention à la loi pénitentiaire publiée ce mercredi 25 novembre 2009 au JO (JORF n°0273 du 25 novembre 2009 page 20192 - texte n° 1 - LOI n° 2009-1436 du 24 novembre 2009 pénitentiaire (1) - NOR : JUSX0814219L) et la décision consubstantielle du Conseil constitutionnel. Une mine de questions en matière de droits fondamentaux qui dépasse largement le détenu lui-même.
C'est cette loi qu'il faut aller lire là :
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000021312171&dateTexte=&categorieLien=id
plutôt que de perdre du temps sur ce cybercarnet.
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000021312171&dateTexte=&categorieLien=id
plutôt que de perdre du temps sur ce cybercarnet.
Tout juste cent articles, dont le dernier montre à lui seul l'enjeu qui a valu à la France d'être condamnée, et aura bien été oublié d'ici à cinq ans sans piqûres de rappel de la Cour de Strasbourg. Pourquoi le législateur a-t-il placé à la fin une disposition qui aurait dû venir très tôt au début ?
À noter : devant les examinateurs, préférez "Cour de Strasbourg" au sigle "CEDH", le second étant souvent l'objet de confusion verbale entre l'institution et le texte qu'elle protège. Sinon, développez le sigle.
Tiens, "obligation d'activité proposé", n'est-ce pas une forme de travail obligatoire, une soumission à une forme quelconque "d'esclavagisme moderne", afin d'obtenir une libération conditionnelle ? Fabriquer des sacs en papier pour des maisons importantes, ou insérer des publicités dans des enveloppes, payé à la tâche, 2 ou 3 euros pour dix à 15 heures de travail, le paiement étant à la quantité, voilà qui doit nous rassurer sur l'article 32 car ce montant indigent sera indexé. Le Nirvana pour les détenus, semble-t-il !
Le détenu-travailleur bénéficie-t-il d'un contrat de travail ? - Réponse à l'article 717-3 du code de procédure pénale.
Cette Loi ne dit pas tout si clairement ; il va probablement falloir la lire "en creux" pour découvrir ce qui y est concrètement dissimulé.
Cette loi est longue, ce qui en soit la caractérise, et ne peut que vous inciter à aller tout de suite la lire plutôt que de rester une seconde de plus sur ce cybercarnet.
À noter : devant les examinateurs, préférez "Cour de Strasbourg" au sigle "CEDH", le second étant souvent l'objet de confusion verbale entre l'institution et le texte qu'elle protège. Sinon, développez le sigle.
Tiens, "obligation d'activité proposé", n'est-ce pas une forme de travail obligatoire, une soumission à une forme quelconque "d'esclavagisme moderne", afin d'obtenir une libération conditionnelle ? Fabriquer des sacs en papier pour des maisons importantes, ou insérer des publicités dans des enveloppes, payé à la tâche, 2 ou 3 euros pour dix à 15 heures de travail, le paiement étant à la quantité, voilà qui doit nous rassurer sur l'article 32 car ce montant indigent sera indexé. Le Nirvana pour les détenus, semble-t-il !
Le détenu-travailleur bénéficie-t-il d'un contrat de travail ? - Réponse à l'article 717-3 du code de procédure pénale.
Cette Loi ne dit pas tout si clairement ; il va probablement falloir la lire "en creux" pour découvrir ce qui y est concrètement dissimulé.
Cette loi est longue, ce qui en soit la caractérise, et ne peut que vous inciter à aller tout de suite la lire plutôt que de rester une seconde de plus sur ce cybercarnet.
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