Petit public dans un bien grand amphithéâtre.
L'amphithéâtre est pourtant le lieu se rapprochant le plus d'une salle d'audience et le public devrait y accourir pour écouter les prestations émérites des "défenseurs" à venir.
Encore que bien des salles d'audiences des palais régaliens ne soient pas plus grandes et agréables qu'une salle de travaux dirigés à la faculté de droit.
Dans cette belle après-midi du lundi 30 novembre 2009, le public se faisait rare devant des examinateurs qui se faisaient attendre, une fois de plus, de plus d'un quart d'heure.
L'explication de retard initial, que les examinateurs du jour n'ont pas cherché à compenser, mais au contraire ont aggravé au fil du passage des candidats, provient de la réservation au plus juste de la salle de préparation pour les candidats. La salle étant occupée au début de l'heure du premier candidat, avec un retard de dix minutes, nous sommes arrivés tout de même à près d'une heure de retard à la fin du passage du dernier candidat.
Les examinateurs ont examinés, tirant leurs questions des approximations et contresens des candidats par rapport à leur exposé, qui pour aucun ne semblait particulièrement en contrepoint avec l'exercice. L'avis personnel des candidats a été fortement sollicité.
Les questions n'ont pas été si nombreuses, car précédées de préambules explicatifs, et dans certains cas uniquement pour entendre prononcer un mot, le mot juste, technique, incontournable, ce faisant démontrant la difficulté de l'exercice y compris pour les examinateurs du jour de questionner sans amener l'évidence de la réponse ni plus piéger le candidat, chaque examinateur voulant à son tour le questionner, puis l'un revenant tandis que l'autre finissait.
L'amphithéâtre est pourtant le lieu se rapprochant le plus d'une salle d'audience et le public devrait y accourir pour écouter les prestations émérites des "défenseurs" à venir.
Encore que bien des salles d'audiences des palais régaliens ne soient pas plus grandes et agréables qu'une salle de travaux dirigés à la faculté de droit.
Dans cette belle après-midi du lundi 30 novembre 2009, le public se faisait rare devant des examinateurs qui se faisaient attendre, une fois de plus, de plus d'un quart d'heure.
L'explication de retard initial, que les examinateurs du jour n'ont pas cherché à compenser, mais au contraire ont aggravé au fil du passage des candidats, provient de la réservation au plus juste de la salle de préparation pour les candidats. La salle étant occupée au début de l'heure du premier candidat, avec un retard de dix minutes, nous sommes arrivés tout de même à près d'une heure de retard à la fin du passage du dernier candidat.
Les examinateurs ont examinés, tirant leurs questions des approximations et contresens des candidats par rapport à leur exposé, qui pour aucun ne semblait particulièrement en contrepoint avec l'exercice. L'avis personnel des candidats a été fortement sollicité.
Les questions n'ont pas été si nombreuses, car précédées de préambules explicatifs, et dans certains cas uniquement pour entendre prononcer un mot, le mot juste, technique, incontournable, ce faisant démontrant la difficulté de l'exercice y compris pour les examinateurs du jour de questionner sans amener l'évidence de la réponse ni plus piéger le candidat, chaque examinateur voulant à son tour le questionner, puis l'un revenant tandis que l'autre finissait.
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