La préparation de l'oral d'exposé-discussion avec les examinateurs doit être au mieux, sans perdre à l'esprit que si cette note compte pour tous les admis, elle ne sera pas déterminante dans le succès à l'examen.
Il s'agit d'une considération sérieuse car si effectivement, les recalés n'ont jamais une bonne note à cet oral, pas plus qu'à d'autres, ceux qui réussissent l'examen n'ont pas particulièrement une bonne note à cet oral, et les examinateurs ayant les autres notes sous les yeux, on ne peut que se questionner sur l'influence des autres notes sur cette dernière épreuve à Paris 12.
Il ne faut pas s'arrêter que là et il convient de mettre d'autres atouts à son service.
Et les autres atouts, vous les connaissez maintenant tous.
N'épargnez pas plus le coiffeur que votre dressing pour être le plus strict dans un cas comme dans l'autre. Cela c'est pour l'apparence.
Pour les autres critères, chacun ce qu'il en est en substance.
Notamment, il convient d'avoir son opinion, issue de sa démarche de réflexion.
Il est rare que deux candidats successifs tombent sur le même sujet, mais cela existe et rend très facile aux examinateurs de comparer l'un par rapport à l'autre sur le champ.
L'an passé, le meilleur candidat de ce qui a été vu était celui qui satisfaisait le mieux aux 4 critères apparents : il s'agissait d'un candidat, un homme. Toutefois, sa maîtrise exceptionnellement détaillée d'un domaine très particulier laissait songeur, car si tout ce qu'il disait était parfaitement juste, car manifestement déjà connu "sur le terrain", les examinateurs n'ont pas cherché à déborder de ses connaissances certaines. Ce candidat a laissé une très bonne impression, mais pas les examinateurs qui d'une certaine façon, n'ont pas cherché à le décontenancer, exercice pourtant pratiqué de l'autre côté de la barre et pour lequel, à défaut de savoir répondre plutôt que de mentir, il faut alors raisonner "en creux" : en quoi l'affirmation lancée de l'autre côté de la barre n'a-t-elle pas d'influence sur le résultat espéré ?
Il s'agit d'une considération sérieuse car si effectivement, les recalés n'ont jamais une bonne note à cet oral, pas plus qu'à d'autres, ceux qui réussissent l'examen n'ont pas particulièrement une bonne note à cet oral, et les examinateurs ayant les autres notes sous les yeux, on ne peut que se questionner sur l'influence des autres notes sur cette dernière épreuve à Paris 12.
Il ne faut pas s'arrêter que là et il convient de mettre d'autres atouts à son service.
Et les autres atouts, vous les connaissez maintenant tous.
N'épargnez pas plus le coiffeur que votre dressing pour être le plus strict dans un cas comme dans l'autre. Cela c'est pour l'apparence.
Pour les autres critères, chacun ce qu'il en est en substance.
Notamment, il convient d'avoir son opinion, issue de sa démarche de réflexion.
Il est rare que deux candidats successifs tombent sur le même sujet, mais cela existe et rend très facile aux examinateurs de comparer l'un par rapport à l'autre sur le champ.
L'an passé, le meilleur candidat de ce qui a été vu était celui qui satisfaisait le mieux aux 4 critères apparents : il s'agissait d'un candidat, un homme. Toutefois, sa maîtrise exceptionnellement détaillée d'un domaine très particulier laissait songeur, car si tout ce qu'il disait était parfaitement juste, car manifestement déjà connu "sur le terrain", les examinateurs n'ont pas cherché à déborder de ses connaissances certaines. Ce candidat a laissé une très bonne impression, mais pas les examinateurs qui d'une certaine façon, n'ont pas cherché à le décontenancer, exercice pourtant pratiqué de l'autre côté de la barre et pour lequel, à défaut de savoir répondre plutôt que de mentir, il faut alors raisonner "en creux" : en quoi l'affirmation lancée de l'autre côté de la barre n'a-t-elle pas d'influence sur le résultat espéré ?
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