Beaucoup de monde dans cette grande salle A 114 d'une soixantaine de places, avec un public dépassant quelquefois la vingtaine de personnes.
Les examinateurs du jours sont arrivés très en retard, retard qui n'a jamais été compensé mais s'est au contraire accru. Alors qu'un candidat sortait de la salle, le suivant n'entrait pas immédiatement, mais une ou deux minutes s'écoulaient.
Devant un public, étoffé dans la plupart des cas, les candidats ont géré leur épreuve, tous les types de sujets étant, aujourd'hui comme hier, posés, sujets différents et tous visiblement très orientés sur les droits fondamentaux.
Les exposés sont en général énoncés de manière trop rapide, ce qui ne permet pas toujours de bien comprendre le sens des phrases. Or, c'est le moment privilégié pendant lequel les examinateurs vont prendre des notes qui vont nourrir leurs questionnements. Dans quelques cas, l'impression est de faire étalage de connaissances, plus ou moins certaines, sans rester accroché plus avant sur les principes eux-mêmes.
On doit relever que, de manière générale, la plupart des candidats tentent des réponses trop rapides afin d'éviter des blancs. Or, un silence de deux secondes n'est pas pénalisant avant de tenter sa réponse, et certainement éviterait d'entrer en conflit avec soi-même, ce qui est arrivé à plusieurs reprises, aujourd'hui comme hier, et comme demain probablement.
Ne pas hésiter à énoncer une formule toute faite avant d'avancer sa réponse de fond n'est pas pénalisant ; beaucoup plus est le fait d'entrer en contradiction, ce que les examinateurs se font un devoir de relever, pas toujours.
Les examinateurs du jours sont arrivés très en retard, retard qui n'a jamais été compensé mais s'est au contraire accru. Alors qu'un candidat sortait de la salle, le suivant n'entrait pas immédiatement, mais une ou deux minutes s'écoulaient.
Devant un public, étoffé dans la plupart des cas, les candidats ont géré leur épreuve, tous les types de sujets étant, aujourd'hui comme hier, posés, sujets différents et tous visiblement très orientés sur les droits fondamentaux.
Les exposés sont en général énoncés de manière trop rapide, ce qui ne permet pas toujours de bien comprendre le sens des phrases. Or, c'est le moment privilégié pendant lequel les examinateurs vont prendre des notes qui vont nourrir leurs questionnements. Dans quelques cas, l'impression est de faire étalage de connaissances, plus ou moins certaines, sans rester accroché plus avant sur les principes eux-mêmes.
On doit relever que, de manière générale, la plupart des candidats tentent des réponses trop rapides afin d'éviter des blancs. Or, un silence de deux secondes n'est pas pénalisant avant de tenter sa réponse, et certainement éviterait d'entrer en conflit avec soi-même, ce qui est arrivé à plusieurs reprises, aujourd'hui comme hier, et comme demain probablement.
Ne pas hésiter à énoncer une formule toute faite avant d'avancer sa réponse de fond n'est pas pénalisant ; beaucoup plus est le fait d'entrer en contradiction, ce que les examinateurs se font un devoir de relever, pas toujours.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire