Bien entendu, les méninges s'échauffent tandis que le doute s'installe. C'est ainsi que certains candidats concurrents potentiels jettent les cartes pour cette année, non pas en raison de la "crise" dévoilée hier et qui reste à confirmer, le fait de rester dans le brouillard étant intolérable, mais parce qu'ils ne se sentent pas près à affronter le monde des avocats dont une part non négligeable ne semble pas occupée par les premiers de la classe, ou par les plus méritants, mais par des arrivistes qui ensuite passeront leur temps dans les Juris Nights et autres soirées destinées à rencontrer l'âme soeur.
Oui, un avocat est un être humain et n'est pas épargné par la recherche et la satisfaction de plaisirs charnels. Rien ne le lui interdit, sauf qu'en faire étalage alors qu'il doit avant tout défendre, n'est peut-être pas la meilleure publicité à opérer.
La "crise" dévoilée hier concerne tout au plus une quinzaine de candidats potentiels intéressés à venir composer, autant dire peu parmi des 260 et quelques inscrits dont seulement une petite moitié viendra composer.
Qu'est-ce qui va primer entre le sexe convoité et l'examen convoité ?
L'un et l'autre, car c'est le travers même du pouvoir, comme nous l'a montré en 1981 d'un de nos Président (avocat), dont on n'a jamais trouvé la relève depuis et pour lequel, dans sa filmographie, il ne manquerait que la "vidéo" pour pasticher le célèbre film "Sexe, mensonges et vidéo".
L'exemple à fuir, en somme.
Et pourtant, combien en rêvent...
216 connexions le jeudi 09/10/2008, dont 177 après l'article "info-intox" publié le jeudi 09/10/2008 à 12 heures 30... Ca buzze fort !
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