"295 connexions enregistrées ce mardi 11 novembre 2008", en réalité, il n' s'agit ni de 295 connexions ni d'enregistrements.
Attention aux apparences données par le robot de comptage de ce cybercarnet (qui est le même robot pour bien d'autres).
Il s'agit simplement du nombre de clics sur ce cybercarnet, connexion comprise, dont simplement du nombre de coups d'oeil curieux jetés sur ce cybercarnet.
Quant à la durée des connexions, au nombre d'articles consultés et lus en détail, le robot de comptage ne dit rien, non pas qu'il soit totalement ignorant à ce sujet, mais qu'il ne divulgue pas ces informations qui sont typiquement à l'usage des informaticiens qui gèrent le sité hébergeur (Blogger) de façon à mieux organiser l'accès, à le rendre plus fluide, etc... Bref, des paramètres de gestion qui ne présentent aucun intérêt pour un si petit cybercarnet.
Quant à l'enregistrement, ne vous leurrez pas, il y a un flicage planétaire sur la "toile" destiné à récolter toutes sortes d'informations, et l'hébergeur est, comme pour tout site d'importance (ce cybercarnet n'est pas un site, mais une occurrence du site ; le "site", c'est l'hébergeur, d'où le début d'adresse d'acès à ce cybercarnet), amené à rendre compte de qui vient voir quoi sur réquisition policière.
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Avez-vous entendu parler du fichier Symphonie de France Télécom, ce fichier qui enregistre, non pas tous vos décrochés de téléphone, mais tous vos numéros composés ou reçus, qui ont abouti à une connexion de ligne, même si sa durée est inférieure à une seconde ? Il enregistre l'heure de cette connexion, sa durée, le numéro appelant, le numéro appelé, tant pour les téléphones fixes que pour tous les téléphones portables : une traçabilité sans faille qui montre également la mise en place d'un système informatique très puissant afin d'assurer la connexion voulue, le numéro composé n'apparaissant pas nécessairement sur la première ligne d'une connexion. Le résultat est communiqué sous forme de tableaux en format paysage avec une à trois ligne par connexion, d'où la connexion voulue qui apparaît seulement sur la deuxième ou la troisième après que le serveur informatique ait opéré de lui-même, en quelques micro-secondes, la rectification d'erreur d'orientation de l'appel pour la rendre conforme au numéro composé. Oui, c'est de l'informatique qui gère de l'électronique qui se trompe souvent mais la première sait rectifier la seconde...
C'est un très beau travail informatique, il faut avoir la modestie de le reconnaître, et extrêmement efficace en cas de réquisitions par les services de police ou de gendarmerie.
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QU'EST-CE QUI A SUSCITÉ A CE POINT VOTRE INTÉRÊT POUR VENIR VOUS CONNECTER A DE MULTIPLES REPRISES ?
Cela, c'est une information que vous n'avez pas laissé par un commentaire, même de Anne Haunimme (qui me rappelle les mauvais noms de personne dans des cas pratiques particulièrement affectionné par un enseignant de Paris 12, mais des candidats ne sont pas à l'abri de suivre le même chemin : Anne Haunimme restera certainement un grand inconnu).
Sur le fond, il apparaît notamment qu'un article publié hier concernant une sorte de fonctionnarisation des avocats, gage d'un travail de qualité, de la loyauté des débats. En effet, les Bâtonniers, malgré l'importance des armes juridiques dont ils disposent, sont peu enclins à les utiliser car ils ne veulent pas nourrir une mauvaise publicité sur leur Barreau (en apparence), alors que faire du ménage n'est qu'un fait appréciable : qui accepterait de travailler dans un boui-boui alors qu'à côté, des bureaux propres, modernes, incitant à l'excellence, vous appellent ? Et tant que le salaire est décent, qui a-t-il de déshonorant ?
N'avez-vous pas fréquenté des études avoués où malgré les tarifs réglementés, aucun n'est disposé à abandonner son privilège en dépit de la proposition du Rapport Attali visant à leur suppression (après la disparition des avoués de première instance, chargé jusqu'alors de la postulation, jusqu'en 1971) ?
N'avez-vous pas fréquenté des avocats au Conseil et à la Cour de cassation, qui certes ont une clientèle privée qui les rémunère sans fin, devant conserver cette modestie qu'ils ne sont qu'avocats et non pas des juges, mais qui pour une petite part des dossiers qui leur sont confiés, travaillent en étant rémunéré par l'aide juridictionnelle (une petite part en effet, l'octroi de l'aide juridictionnelle par le Bureau d'aide juridictionnelle établis près la Cour de cassation étant rarissime, et le montant attribué à l'avocat, indécent alors qu'il a une obligation de résultat de produire un dossier égal à celui produit pour n'importe quel client privé) ?
Lorsque l'AJ est attribuée, souvent, trop souvent, de manière partielle alors que le justiciable qui la sollicite est en réalité dans une situation telle qu'il doit faire face à une multitude d'affaires découlant d'un première.
L'AJ est considérée ni plus ni moins par les justiciables qui y ont recours comme de la mendicité.
La justice des mendiants doit-elle être différente de celle des riches ?
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ALORS, l'avocat-suiveur évoqué dans l'article intitulé "Bravo pour le commentaire anonyme de Anne Haunimme du 11 novembre 2008 à 11 heures 15." n'a-t-il pas un intérêt ? N'aurait-il pas la possibilité de faire des prestations annexes rémunérées par ailleurs (enseigants, conférenciers, experts) ?
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L'UNIQUE but recherché, c'est une Justice de qualité, loyale, qui continue à faire défaut dans notre État démocratique.
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