dimanche 5 octobre 2008

5 octobre 2008 : UN AN d'édition pour ce cybercarnet

Voilà qu'aujourd'hui, ce cybercarnet fête sa première année.
Sa création et le premier article datent du 5 octobre 2007.
A cette époque, la création de ce cybercarnet visait à combler une vide d'informations mises à jour en temps réels par l'IEJ de Paris-EST et accessible par tous les candidats (c'était les candidats 2007 et 2008) depuis n'importe quel poste internet.
La mission est remplie, pas totalement, pas avec toute l'aide escomptée.
Cela aurait pu être mieux, ce n'est déjà pas si mal d'avoir réussi seul (ou quasiment), à rendre facilement accessibles des informations qui pour la plupart ne contenaient pas d'erreurs rédhibitoires et par conséquent qui ne dissuadaient pas de venir lire de temps en temps quelques articles de ce cybercarnet, ne serait-ce que les semainiers mis à jours en temps réels la plupart du temps (avec là encore quelques erreurs, notamment due au fait qu'il n'était pas question d'investir de façon incessante le bureau du secrétariat de l'IEJ pour obtenir des informations affichées sur sa porte ou dans les panneaux d'affichages ad hoc. Quelques commentaires (et c'est notamment la raison pour laquelle ils sont fortement sollicités) ont permis d'apporter certaines corrections, ce qui fût une très bonne chose.
Pour le reste, le partage de cette connaissance de la profession dans ses aspects les moins glorieux, vous les connaissez tous et les partagé dès à présent au moment où la course à l'examen fait rage et que le chacun pour soi est à son apogée. C'est chaque année la même chose, un éternel recommencement. La solidarité qui s'exprime dans le prêt de certains cours est illusoire, on l'a vu à maintes reprises et plusieurs techniques d'évitements sont utilisées par les candidats afin de ne surtout pas se créer une concurrence là où ils peuvent l'éviter tout en prétendant avoir un bon esprit de camaraderie. Gérer cette hypocrisie au quotidien relève d'une maladie mentale que l'on attribue globalement à certains juges : la schizophrénie qui s'exprime dans sa forme la plus basique, dire quelque chose et faire son contraire, ce qui arrive à tout à chacun en temps normaux, ce qui devient une pratique quotidienne dans le cadre de cette préparation.
Ainsi, lorsque un candidat demande à un autre de lui communiquer un cours, les 3 cas de figures suivants se présentent majoritairement :
- le GC n'ai pas allé à ce cours (alors qu'à son habitude, il y va pourtant systématiquement) ;
- le GC a le cours, mais ne sait pas où il l'a mis, ce qu'il en a fait, s'en est déjà dessaisi, etc., bref, le demandeur pourra toujours attendre des mois, et en général l'année d'après s'il est encore là pour son "malheur" ! ;
- le GC a une écriture très personnalisée, totalement illisible, qui naturellement n'est pas l'écriture qu'il utilisera sur ses copies d'examen ; ses notes de cours sont par conséquent totalement illisibles sauf pour lui même : c'est là l'hypocrisie la plus absolue, la plus avancée, bref, la plus minable,... et il y a des champions du genre.
Alors, il dira :
"Bien sûr je peux de prêter mes notes, mais tu ne vas rien y comprendre..."
ce qui constitue bien la méthode d'action d'élimination de la concurrence de ce troisième cas de figure.
Pas un n'est pire que l'autre puisqu'en fin de compte, le GC n'aura pas le cours.
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Certes, certains GC sont animés d'une totale hypocrisie, mais il existe d'autres moyens de s'informer et la solitude que vous créés autour de vous par votre hypocrisie (car les autres camarades ne sont pas plus idiots), vous finirez par en rendre compte sous d'autres formes lors d l'exercice de votre profession.
L'internet vous fait aujourd'hui un pied-de-nez, et si vos cours ne valent de l'or que pour vous-mêmes, ils ne valent en réalité rien.
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Voilà un sujet qu'il fallait aborder avec sérénité pour ouvrir cette seconde année de ce cybercarnet aux perspectives inconnues mais pas absentes.
La pertinence, l'information, resteront au cœur de ces articles, qui, peut-on le penser verront le nombre de lecteurs s'accroître.
En 365 jours de vie, ce cybercarnet a connu 6.055 connexions connues, mais beaucoup plus en réalité car le comptage a té installé tardivement, début 2008, et non pas dès sa création début octobre 2007. Si on s'en tient à ce nombre, la moyenne quotidienne de connexions est vite calculée : 16,59 connexions par jour, sachant qu'en réalité, des creux de connexions ont été atteint pendant certaines vacances universitaires, entre 3 et 4 connexions quotidiennes, et des pics ont également été atteint entre 150 et 160 connexions par jours.
Ces derniers jours, les chiffres sont très variables, chiffres qui ne sont pas systématiquement relevés dans leur détails, mais s'échelonnent entre 60 et 100 connexions.
Le compteur s'arrête donc au nombre de 6.055 connexions pour cette première année.
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Ce premier anniversaire sera fêté frugalement, car sans richesses (sinon peut-être celle de la réflexion), ce jour sera finalement comme les autres, en plus d'être particulièrement froid et pluvieux.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Bon anniversaire et bon courage pour la suite.