Cela va sans dire, mais manifestement, cela ira encore mieux en le disant.
Si vous commentez sous un article qui n'est pas l'objet de votre commentaire, d'une part, votre commentaire sera décalé, mais en plus il pourrait être rendu inaccessible comme l'article lui-même s'il était basculé en mode brouillon.
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Vous êtes juristes, donc cela doit être assez simple à comprendre et surtout à appliquer.
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C'est d'autant plus applicable si votre commentaire, même laconique, présente tout de même un intérêt collectif et correspond à la ligne d'édition de ce cybercarnet.
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Car "anonyme" ne signifie pas "n'importe quoi". Donc, pas de pugilat verbal non plus (le pugilat étant dans sa définition un combat à coups de poings) .
Si vous commentez sous un article qui n'est pas l'objet de votre commentaire, d'une part, votre commentaire sera décalé, mais en plus il pourrait être rendu inaccessible comme l'article lui-même s'il était basculé en mode brouillon.
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Vous êtes juristes, donc cela doit être assez simple à comprendre et surtout à appliquer.
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C'est d'autant plus applicable si votre commentaire, même laconique, présente tout de même un intérêt collectif et correspond à la ligne d'édition de ce cybercarnet.
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Car "anonyme" ne signifie pas "n'importe quoi". Donc, pas de pugilat verbal non plus (le pugilat étant dans sa définition un combat à coups de poings) .
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Merci de votre compréhension attendue.
Merci de votre compréhension attendue.
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Et comme cela a déjà été écrit à de nombreuses reprises, ceux qui ont autre chose à faire que venir se promener sur ce cybercarnet sont parfaitement bien inspirés de le faire : c'est une liberté élémentaire qu'il convient de respecter de façon absolue.
Effectivement, comme l'indique un commentaire récent, mais pas suffisamment avisé pour aller au bout de sa réflexion, il faut, pour les candidats au CRFPA 2008, préparer tous leurs oraux, petits et grand, sachant que le "grand oral", pour être plus clair, l'oral d'exposé-discussion avec les examinateurs n'est pas celui qui "paie" le mieux, mais en revanche se présente comme un véritable couperet lorsque le jury veut éliminer.
Une statistique sur deux années sera soumise à votre sagacité dans quelques temps, pour ne pas dire dans quelques heures. Elle sera dénuée au maximum de toute subjectivité. Vous pourrez en faire le profit (la litière, comme dirait certains enseignants) que vous voulez. Ce seront des chiffres, des moyennes, des médianes, bref, des statistiques. Vous n'aurez ni déciles ni autres variations.
Mais la confiance est là : un juriste sait manier les chiffres, et encore plus un avocat qui utilise un logiciel de taxation de ces clients quasi automatique (temps passé au téléphone, temps de déplacement, temps de recherche, temps pour lire le dossier,...), bref beaucoup de temps qui n'est rien à comparer avec le temps et par conséquent l'argent dépensé pour un "trial" aux États-Unis d'Amérique (cf. la prodigieuse conférence d'hier au soir à la Cour de cassation sur le thème de la crédibilité).
1 commentaire:
Mais quel résultat? Que voulez vous savoir? Il est trop tard d'influencer, de tricher, c'est fini. Maintenant, il faut juste s'interroger sur des questions élémentaires comme un avocat peut-il mentir et préparer les Oraux.
Voilà, n'essayez pas de vous disperser, les oraux arrivent à une vitesse grand V.
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