Avec ce week-end qui commence, le stresse va atteindre son apogée.
Il serait parfaitement suicidaire de dire qu'il faut décompresser avant les épreuves écrites de ce CRFPA.
Non, bien au contraire, il faut utiliser le stress positivement pour revoir, encore et encore quelques fiches aide-mémoire et autres outils concoctés par les candidats eux-mêmes.
Ce n'est pas simple. Cela s'est compliqué pour certains avec un évènement inattendus pour certains de ces "certains".
Il n'empêche que les épreuves ne sont pas différées pour autant et qu'il va falloir y aller de son plus grand courage, de ses plus grandes connaissances, pour devenir un bon avocat.
Les critères qualitatifs du bon avocat restent encore inconnus en raison de l'absence sur le marché d'une agence de notation, comme cela se fait dans de nombreux secteurs économiques.
Les règles déontologique ne permettent assurément pas d'obtenir le résultat espéré : un justice au-dessus de tous soupçons.
Comment dans ces conditions les justiciables pourraient-ils lui accorder la moindre confiance ?
Il convient donc de penser à des critères de notation qui devraient permettre à terme de séparer le bon grain de l'ivraie afin que la justice reprenne sa place au coeur d'un système qui déraille depuis longtemps et en de nombreux points.
Cette profession a besoin d'une purge afin que ceux qui n'ont rien à faire parmi les avocats ne soient plus des défenseurs à qui on peut confier, dans une certaine mesure, son destin.
Nous en reparlerons.
Pour le moment, concentrons-nous sur l'examen convoité pour réussir les épreuves avec la tête haute, et à tout le moins y participer avec un certain degré moral.
(179 connexions le vendredi 10 octobre 2008).
1 commentaire:
bravo
Enregistrer un commentaire